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The Mangler

Publié le 13 avril 2010 par Olivier Walmacq

mangler

genre: gore (interdit aux - 16 ans)
année: 1995
durée: 1h45

l'histoire: Une ouvrière est tuée par une antique presse à linge: un banal accident de travail ? C'est ce que pense d'abord l'inspecteur Hunton. Mais lorsque la machine récidive, il doit se rendre à l'évidence: quelque chose vit à l'intérieur du titan d'acier.

la critique de Eelsoliver:

S'il existe bien un réalisateur surestimé, c'est bien Tobe Hooper ! Certes, on se souviendra de lui pour le fameux Massacre à la tronçonneuse.
Mais en dehors de ce film gore, choc et dérangeant, pas grand chose à tirer de ce cinéaste. Oui, on pourra citer quelques oeuvres horrifiques de niveau correct: les vampires de Salem ou encore le crocodile de la mort.

Mais pas de quoi crier au génie... Vers la fin des années 80 jusqu'au milieu des années 90, Tobe Hooper ne sortira que des films immondes.
Après quelques échecs artistiques et commerciaux, le nouveau cru de Hooper, à savoir The Mangler, est attendu au tournant.
Tobe Hooper donne l'impression d'un réalisateur malade et en panne d'inspiration.

Mais peu importe, tout le monde croit que le cinéaste va se rattraper. Surtout que le speech fait rêver: une presse à linge meurtrière tue les ouvriers d'une usine !
Une idée de base franchement fendarde qui aurait pu donner lieu à un film d'horreur décérébré, fun et déjanté. La vérité ?
The Mangler est une véritable abomination.

Non là vraiment, rien à sauver de ce film gore qui met pourtant la machine infernale en action: mains coupées, doigts arrachées, corps écrasés sous la mécanique de la presse à linge diabolique et habitée par un démon... Le film n'est pas avare en matière de séquences sanglantes.
Mais impossible de ne pas rire devant ce très mauvais film gore. Absolument débile et nullissime ! Surtout la fin, lorsque la machine sort de ses gonds (façon de parler...) et se tranforme en démon robotique (véridique !). Bref, The Mangler a tout du nanar. Pour les suicidaires, il existe une suite...

Note: (regardez bien en haut du postérieur, et vous pourrez voir un furoncle !)


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