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Le cancer, une maladie en forte expension...

Publié le 05 mai 2010 par Philippejandrok

2f9661cde9030532e141170b83cfe1e6.jpgCe n’est plus un secret pour personne, mais le cancer au XXe siècle est une maladie en très forte expansion comparativement aux siècles précédents où des maladies épidémiques saisissaient la société par vagues, puis disparaissaient pour réapparaître à la faveur d’une situation climatique, d’une guerre, mais toujours pour des raisons que l’on parvient à expliquer si l’on se penche sérieusement sur la question.

Dans l’antiquité romaine, pour débarrasser la ville de sa puanteur et des risques épidémiques encourus par la population de certains quartiers, Vespasien a développé avec intelligence des réseaux d’évacuation afin de débarrasser la cité de ses eaux sales et contrairement à ce que l’on imagine, il n’est pas à l’origine des « vespasiennes », même si les romains avaient déjà mis en place des toilettes publiques communes et ouvertes, sans la moindre intimité. La promiscuité faisait partie d’un comportement social et l’on se retrouvait assis à côté d’un inconnu qui satisfaisait un besoin naturel. Le nettoyage des parties intimes se faisait à l’aide d’un bâton au bout duquel se trouvait fixée une éponge trempée dans du vinaigre à coté de chaque emplacement.

Vespasien a fait réaliser nombre de rénovations d’édifices et de nouvelles constructions et ce que nous lui attribuons au niveau des vespasiennes a été inventé et installé à Paris au XIXe siècle, en 1834 pour être exacte. Si au XVIIIe siècle, on faisait disposer à Paris des barils d’aisance aux coins des rues pour satisfaire les besoins naturels des passants, cela ne changea pas véritablement les conditions d’hygiène de la cité. Plus tard, des édicules ont été mis en place par le préfet Rambuteau dans les rues de Paris. Appelés par raillerie, « colonne Rambuteau », on nommera plus tard l’édicule urinoir, colonne vespasienne ou pistières, qui deviendra au XXe siècle, pissotière.

En revanche, l’appellation vespasienne a été attribuée suite à l’impôt que l’Empereur romain avait fait lever sur l’urine qui servait aux artisans tisserands et aux cordonniers qui utilisaient, les uns, pour nettoyer et fixer les couleurs et les autres pour le tannage et la souplesse du cuir. C’est à la suite de cet impôt que Titus, fils de l’Empereur lui aurait fait des reproches sur cet impôt et que Vespasien aurait répondu que « l’argent n’avait pas d’odeur ».

Et bien, pour le cancer, je crois que l’argent a effectivement une odeur, un parfum de mort lente et insupportable.

Qui pourrait-on blâmer pour cette maladie, car il y a toujours un coupable à chercher, une cause directe ou indirecte.

Ma réponse vous étonnera peut-être, mais je pense que la société de consommation est principalement responsable de cet état et du développement intempestif de la maladie :

Le XXe siècle a vu le développement exponentiel de la production, de la productivité à outrance sans jamais se poser la question de savoir si ce gain de productivité aurait des conséquences sur la santé des individus et sur l’environnement.

Pour nourrir la population il a fallu trouver des moyens de protection des récoltes et l’on a inventé les pesticides, les produits chimiques, des molécules que des millions d’années d’évolution humaine ne connaissaient pas et que notre corps, quoique l’on en dise, ne pouvait synthétiser que jusqu’à un certain niveau.

Ainsi cette chimie sensée apporter la garantie de production des aliments pour les populations des pays riches s’est retrouvée dans notre corps à se battre avec notre système immunitaire qui ne comprenait, qui ne comprend toujours pas, comment l’aliment qui doit le nourrir contient des molécules qui le tuent.

Alors dites-moi comment notre cerveau peut-il faire la part des choses ?

Comment peut-il envoyer les informations nécessaires à notre corps pour digérer ces poisons et les évacuer ?

La réponse est qu’il ne peut pas, il n’a pas été préparé à cela, il ne sait pas s’en débarrasser, alors, il les stocke et la maladie s’insinue lentement dans notre sein et nous, naïfs et ignorants, nous continuons lentement mais surement l’empoisonnement en pourrissant involontairement notre système et en développant malgré nous et en nous-mêmes, nos maladies, dont le cancer est un exemple précis.

Car le cancer ne vient pas naturellement, il a une cause, une naissance, un développement, ces causes nous devons les chercher dans notre environnement proche. La proximité des plastiques, des micro ondes, des aliments pollués, des sous-sols dans lesquels on a enterrés des déchets toxiques (voir Italie du Sud), les pesticides sont, non seulement dans l’air, mais dans l’eau (PCB), puis dans les fruits et les légumes, dans nos vêtements également, le lait de vache ou lactose, responsable de nombre de dysfonctionnement auprès de certains individus qui ne possèdent pas l’enzyme pour leur permettre de le synthétiser, peut-être faut-il aux êtres vivants du temps pour comprendre que ce qui est bon au goût, ne l’est pas forcément pour le corps.

Le délicieux chocolat, par exemple, qui contient des élément nutritifs et du magnésium, est sensé être un aliment de bon aloi, mais pour un allergique au lactose, c’est un poison, pour un chien, c’est un poison, le chien est incapable de digérer le chocolat, cet aliment le tue, par exemple, cent grammes de chocolat noir tue un chien de 10kg, tous les vétérinaires vous le diront et pourtant, c’est si bon...

Ainsi, on parvient finalement à expliquer que certaines migraines proviennent directement d’intolérances alimentaires qui ne peuvent être découvertes qu’au cas par cas, ce n’est pas une vérité universelle et nous ne sommes pas égaux devant la maladie.

Certaines personnes ne savent pas ce qu’est une migraine, se sont les chanceux, d’autres les vivent quotidiennement sans savoir, sans réaliser qu’une partie des causes de déclenchement sont peut-être lié au foie qui n’a pas pu gérer un aliment plus qu’un autre. Nous avons tendance à oublier, à négliger notre corps en laissant notre propre volonté diriger par ignorance notre corps et en ne lui faisant pas confiance.

Souvent, on dit d’un aliment qu’on ne l’aime pas, ce n’est pas nécessairement un caprice, c’est un rejet naturel de notre corps, une mise en garde de nos sens, et puis, il y en a d’autres et vous vous jetez dessus comme si vous n’aviez pas mangé depuis des lustres, parce que justement, cet aliment là est idéal pour votre chimie organique intérieure.

Pour les nouvelles générations d’obèses, il en va autrement, un véritable trouble psychiatrique bloque toute forme d’instinct naturel, les poussant à chercher du plaisir dans l’ingestion de sucre, de sodas, de gras, de mélanges de viandes et de protéines diverses, un surcroît de sucre, de lipides, de glucides le tout mélangé dans une sorte de diarrhée alimentaire qui va jusqu’à troubler à un point le cerveau, qu’il lâche prise, laissant la volonté personnelle gérer un corps qui se meurt à force de mauvais traitement.

Il n’y a et n’y aura jamais d’obèses dans la nature, pourquoi ?

Parce qu’il n’y a aucune société de consommation dans la nature, si l’on veut manger, on doit chasser ou vivre de cueillette comme un ours, ou faire comme les fourmis, exploiter les pucerons pour récolter le miellat, comme nous le faisons avec les vaches pour récolter le lait.

Ainsi la société de consommation parvient à pervertir l’humain à un point qu’il devient son esclave malgré lui, en acceptant de manger tout et n’importe quoi, tant du point de vue alimentaire que du point de vue culturelle et politique.

Pourtant, nous savons que chaque chose dans l’univers a une fréquence, une résonnance, un dégagement d’énergie positive et négative, c’est valable pour le concombre, la terre meuble, un éléphant, enfin, toute chose vivante ou inerte.

Il y a quelques années, pour des raisons de santé publique, les Allemands refusaient à raison de vendre de l’eau dans des bouteilles en plastique, malheureusement, ils ont cédé aux lois du marché.

Et je ne parle pas des médicaments que nous avalons comme des bombons pour satisfaire le besoin des labos qui nous font tomber malades en nous inventant une quantité de pathologies dont on a jamais entendu parler auparavant.

- Tiens prends ça, c’est bon pour ce que tu as…

- Mais qu’est-ce que j’ai ?

- Je ne sais pas, mais c’est bon !

Pour conserver notre société telles qu’elle est, nous devons la faire fonctionner, pour la faire fonctionner, nous devons accepter les poisons qu’elle nous offre pour tomber malade et entretenir la spirale hospitalière, la chirurgie, les machines, les traitements, tout est tristement lié.

L’homme moderne a reproduit le modèle de la chaine alimentaire pour sa société de consommation, et si l’on fait sauter un maillon de la chaine, tout s’écroule, c’est pourquoi, et c’est horrible à dire, une société atteinte par la maladie entre en résonnance avec la production qui se transforme systématiquement en espèces sonnantes et trébuchantes, et l’argent récolté en pouvoir, un pouvoir, qu’exercent ceux qui ont plus que les plus pauvres et qui ont certainement plus à perdre que les pauvres.

Aujourd’hui, une maladie à des coûts et surtout le cancer, ces coût se chiffrent en millions d’euros, toutes les maladies d’ailleurs se chiffrent, il y a des spécialistes qui sauront se charger des chiffres bien mieux que moi et qui pourront, je l’espère compléter cette note par leur expérience et leur savoir.

Alors oui, le cancer est une maladie en forte expansion, à cause, entre autre de ce qui a été expliqué dans cette note. La solution, chacun doit la trouver pour lui-même, mais surtout ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, le traitement du cancer passe inévitablement par des traitements modernes pratiqués dans les hôpitaux spécialisés.

Etre conscient d’une réalité ne doit pas limiter le champ de pensée et de soins que nous offre et nous propose la médecine moderne, c’est la société moderne qui nous a rendu malade, c’est elle qui nous guérira de nos misères.

Nous vivons une époque formidable…


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