Malgré les progrès techniques et les restrictions apportées successivement à la circulation aérienne, les riverains des aéroports et les habitants des couloirs d’approche et d’envol des avions sont exposés à des nuisances sonores importantes, bien que bon nombre d’entre eux sont venus s’y installer en toute connaissance de cause, ce qui n’empêche en rien de vouloir améliorer leur sort.
Les décisions annoncées sont de deux ordres, l’une technique destinée à diminuer le volume du bruit dans un rayon de 10 à 20 Km des pistes en obligeant les avions à l’approche de relever leur altitude de 300 mètres.
La seconde est d’ordre financière pour dégager des recettes supplémentaires destinées à accélérer les subventions relatives à l’insonorisation des habitations notoirement insuffisantes, en augmentant les taxes existantes et en créant une taxe supplémentaire pour les mouvements entre 18 et 22 heures.
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