Pour avoir fait mettre un violon au violon, Merz s’excuse encore, et encore.
Le spécialiste de l’excuse inutile et maladroite. Il nous ferait un immense plaisir en comprenant qu’il aurait déjà dû s’excuser depuis longtemps de quitter un poste pour lequel il n’a ni la stature ni les compétences.
Pauvre type. Radical de surcroit.
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