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Où l’on admire la beauté du sport

Publié le 01 juin 2010 par Pbmv
« Sol lucet omnibus ».
Bonjour les gnous,
Amis bien-pensants bouchez-vous les oreille: samedi soir, j’ai découché.
Haaaaan.
Non mais rassure-toi, j’étais en tétard dans un sac de couchage. Et c’était plus raisonnable que de remonter dans le XXeme avec un Vélib sans chaîne. Et puis il était tard (il y a donc au moins deux wannabe grenouilles dans ce billet, les as-tu trouvées ?).
Donc, samedi soir, forte de mes 50 % de sang auvergnat et de tous les kilos d’Aligot que je me suis enfilés depuis ma plus tendre enfance (enfilé-Aligot, tu saisis ?), j’ai évidemment bloqué une grosse case dans mon Google Agenda pour regarder la finale du Top 14. Les seules personnes à qui mon portable restait ouvert étaient l’amie infiltrée au Stade, et les commentaires des autres dès que Morgan Parra investissait l’écran de ses petits yeux malicieux. Et pourtant Dieu sait que je n’aime pas les bruns aux yeux marrons.
Sur Twitter, une supportrice clermontoise s’est laissée emporter par la foule et a eu un article dans Centre France-La Montagne. C’est un peu la consécration. Mais moi j’ai eu une révélation. J’ai toujours dit que malgré ses cheveux blonds et son poste de trois-quarts plutôt avantageux, Aurélien Rougerie était moche. Eh bien samedi soir, mon vieux, je me suis mordu la langue avec mon petit suisse et je suis revenue sur mon jugement à l’emporte-pièce.
Où l’on admire la beauté du sportRegarde comme il était choupi quand il était jeune sélectionné en équipe de France…
Bon, après tout ça, le temps que Mademoiselle M. sorte du stade et que je change 3 fois de métro, nous nous sommes retrouvées au Métro. Il y avait des supporter perpignanais, des supporter clermontois, des gens du « rugby club concarnois », sponsorisés par Guy Cotten (non, ce n’est pas une blague).
On a bu des bières, chanté avec les bandas, pris la pluie, roulé sur un vélib sans chaîne.
Où l’on admire la beauté du sport
Et le lendemain matin, malgré les yeux qui collaient, en ouvrant les volets, j’ai été subjuguée par la vue imprenable sur la Maison de Radio France. J’ai donc fait coucou à Ali Baddou et suis repartie.

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