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SIDA : un scandale politique

Publié le 30 mai 2010 par Infomysteres

Source: Magazine, Vérités Santé, No 63, 29/07/2003, SIDA : un scandale politique, par Alfredo Embid

A Savoir, en guise d’introduction :
L’inventeur de la PCR et prix nobel de Chimie de 1993 , Kary Mullis, dit : » Il n’y a aucune preuve scientifique que le VIH soit la cause du Sida. Il n’y a pas le moindre document dans la littérature scientifique qui puisse le prouver !  »
SIDA : un scandale politique, par Alfredo Embid (rédacteur en chef de la revue espagnole  » Medicinas complementarias  » qui a consacré son dernier numéro à un dossier intitulé :  » L’Afrique du Sud se révolte contre l’orthodoxie du SIDA « )
- En été 1999, le Président Thabo M’Beki a recu en privé le Vice-président des États-Unis AI Gare, venu vendre les soldes de la drogue AZT à des prix réduits. Rappelons que l’AZT n’est pas un nouveau médicament contre le Sida. Il a été proposé comme chimiothérapie du cancer il y a plus de 20 ans, et a été refusé par la FDA (Food and Drug Administration) car il était trop toxique. Comme la médecine est tenue des moyens et pas des résultats, et le Sida étant considéré comme maladie incurable, l’AZT a été accepté en tant que traitement officiel (cela s’appelle rentabiliser la mort).
En effet, l’AZT provoque une immunodépression (c’est un comble !) de l’anémie, des lymphomes, des hépatites toxiques, etc. D’ailleurs, l’AZT est remis en question chez nous et de plus en plus abandonné. Mais, on essaye de le revendre au Tiers-monde en soldes.
- Octobre 1999 : le Président Thabo M’Beki dénonce la toxicité de cette drogue dans une conférence aux leaders des provinces en se référant à un important volume de littérature sur ce sujet. Il en profite pour remettre en question l’hypothèse officielle de l’origine du Sida dans le \/IH (réf. Dossier Vérités Santé Pratique n’ 3 : La guerre des virus de Léonard Horowitz).
- Novembre 1999 : le Président Clinton promet que les États-Unis  » aideront  » les pays africains à  » obtenir  » des médicaments pour traiter le Sida. L’ONU, à ce moment, démarre un programme dans le Tiers-monde pour procurer de l’AZT aux femmes séropositives et à leurs enfants.
- Décembre 1999 : les Nations Unies déclenchent l’alarme sur l’explosion du Sida en Afrique. L’Unicef s’aligne sur le même discours.
- 9 Janvier 2000 : le Conseil de Sécurité de l’ONU se réunit avec ses 15 membres en session extraordinaire pour débattre du problème sanitaire du Sida en Afrique, et de ses conséquences. AI Gare préside la réunion et sollicite une augmentation des subsides pour lutter contre le Sida en Afrique.
Pendant ce temps, M’Beki prend contact avec un groupe de scientifiques dissidents par rapport à Io pensée unique, et les invite dans son pays.
- 3 février 2000 : M’Beki annonce un débat sur le Sida où il donnera la parole à ces scientifiques indépendants et envoie des invitations aux autres pays.
- 3 avril 2000 : M’Beki écrit à Clinton et à d’autres présidents de la planète pour faire part de sa position au sujet du Sida et dénonce, en outre, la censure établie sur les scientifiques dissidents au sujet du Sida.
- 16 avril 2000 : le programme  » Search for Solutions  » est émis sur toute l’Afrique (44 pays) dans  » Carte Blanche de M Net « .
- 19 avril 2000 : La réponse de Clinton arrive  » Le Sida est une menace pour la sécurité nationale des EEUU « . Cette déclaration classe le Sida ou degré du terrorisme. Clinton annonce dans la foulée une augmentation de  » l’aide « . il y a quelques années, un autre sujet avait été considéré comme une menace pour la sécurité nationale des EEUU : l’augmentation de la population dans le Tiers-monde @les mass-médias ont occulté la relation entre ces deux faits).
- 6-7 Mai 2000: Réunion des scientifiques orthodoxes et dissidents à Prétoria (Sudafrique). Un panel d’experts se constitue des deux côtés. Une autre réunion est prévue en juillet.
- 9 Mai : Les multinationales décident de réduire le prix des médicaments  » supposés  » contre le Sida pour l’Afrique et les pays en voie de développement. Il faut dire que les dites multinationales ont de plus en plus de mal à refourguer leur drogue aux pays riches. Mais, les petites gens applaudiront pour ce bel altruisme!
Pendant ce temps, les scientifiques pro VIH manigancent pour faire annuler la conférence internationale sur le Sida du 8 juillet à Durban (Sudafrique).
- L’affaire est à suivre.
COMMENT ON INVENTE UNE FAUSSE EPIDEMIE DE SIDA EN AFRIQUE
Sous la pression des services d’épidémiologie des CDC et de l’EIS (la CIA médicale), l’OMS a admis un diagnostic sans test pour les pays sous-développés sur de simples critères cliniques tels que : perte de poids de 10 %, diarrhée chronique, fièvres récurrentes pendant un mois, et un critère mineur d’une liste qui commence par: toux (!).
Quant au test Elisa, il faut savoir qu’il détecte plus de 80 % de faux séropositifs. Ceci a été dénoncé par la plus importante revue de médecine officielle : le New England Journal of Médecine. C’est ainsi que l’on obtient un test positif dans les cas de malaria, de tuberculose, dans la plupart des maladies infectieuses (dont la grippe) dans les cas de dénutrition et d’hépatite, etc.
Question : pourquoi continuer à pratiquer un test non fiable?
Réponse: il faut le vendre.
- Le test de confirmation Wester Blott présenté valable à 100 % a aussi été classé non spécifique par les travaux des scientifiques australiens publiés en juin 1 993 dans  » Biotechnologie  » sans contestation ultérieure.
De plus, l’interprétation du Wester Blott diffère dans les divers pays.
Exemple : il faut 4 bandes pour être diagnostiqué positif en Australie, mais seulement 2 en Afrique. C’est scientifiquement malhonnête
Ainsi, on peut être séronégatif en Occident et en même temps séropositif en Afrique.
Le Sida n’est pas une maladie sexuelle.
La proportion de séropositifs est en Afrique de 50 % entre les hommes et les femmes. Par contre, la proportion aux États-Unis est de 90 % pour les hommes et seulement 10 % pour les femmes. Ceci remet en question que le Sida soit une maladie infectieuse et sexuellement transmissible, à moins que ce ne soit pas le même Sida aux États-Unis qu’en Afrique.
Tout porte donc à croire que l’épidémie de Sida africaine a été inventée et n’existe pas, et que ce sont simplement des maladies de pauvreté qui ont été délibérément redéfinies comme Sida.
Pourquoi?
C’est très simple. Voici le plan d’action :
- réduction des aides pour les maladies endémiques de la pauvreté, puisque ces maladies s’appellent maintenant Sida conséquence: encore plus de mortalité- augmentation des aides pour le Sida -terrorisme médiatique sur le sexe et répartition massive de Condoms: conséquence: moins de naissances Si nous additionnons ces deux variables, n’importe quel quidam peut en comprendre la stratégie.
Contrôle et réduction de la population.
Contrôle aussi de l’immigration. Plus de 50 pays refusent l’entrée aux séropositifs pour des considérations sanitaires.
Si vous pensez que nous écrivons de la science fiction, considérez les données suivantes:
L’exemple de l’Ouganda.
L’Ouganda a investi seulement 36000 dollars pour la malaria. La malaria est endémique et comme la tuberculose, indifférenciable du Sida par les tests officiels.
Donc, elle n’existe plus et ne sera plus traitée puisque c’est du Sida.
Dans la vidéo de Méditel (non émise dans nos pays), on peut visiter les hôpitaux de Rakai, à l’épicentre de la fausse épidémie, qui sont vides – ceci pour la simple raison que les malades doivent maintenant payer les médicaments relatifs aux maladies endémiques alors que ceux-ci leur étaient précédemment offerts gratuitement.
En sinistre contrepartie, l’Ouganda investit des milliers de dollars dans le Sida et diffuse un terrorisme sexuel par l’intermédiaire de 700 ONG dont le travail est de contaminer mentalement la population avec l’hypothèse orthodoxe.
Le Sîda, une invention politique.
Il faut être clair : chaque dollar investi dans l’hypothèse officielle du Sida dans le tiers monde assassine des milliers de personnes.
Nous assistons à un génocide camouflé, soigneusement préparé depuis des années par un machiavélique conditionnement psychologique à l’échelon mondial.
Nous avons les preuves irréfutables que l’invention du Sida en Afrique entre dans la stratégie de l’ordre mondial de contrôle de 10 population du Tiers-monde. Le Sida n’est pas un sujet médical mais purement politique. C’est une fraude et un colossal mensonge.
Il Suffit, pour se faire une idée, de consulter des références officielles telles que:
- les documents du conseil de sécurité national des États-Unis entre 1 974 et 1 977 et maintenus secrets pendant longtemps, qui affirment que la croissance de la population dans le Tiers-monde est une menace pour la sécurité nationale des États-Unis (Monde et Mission Institut Pontifice de missions étrangères volume 9 n’ 1 – Édition 1 992).
- un autre document édité en 1 988, émis par le centre d’études internationales et stratégiques titré  » Tendances démo raphiques mondiales et implications pour la sécurité nationale  » qui réaffirme que la croissance de la population dans le Tiers-monde est une des grandes menaces pour la sécurité des États-Unis. Ce document mentionne le Sida en tant qu’espoir pour remédier à cette croissance démographique (Rev. Washington Quaterly Printemps de 1989, J. Brewda  » La démographie raciste de la stratégie militaire des Etats-Unis, exécutive intelligence rev. cir. 1, 7, 91).
- Pour plus d’informations, il est possible de consulter deux articles en espagnol sur le site: Web: < amemh. org >
Ces documents sur le Sida en Afrique doivent circuler et se diffuser. Il faut agir vite. Beaucoup de vies sont en jeu.
A.
E.


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