Le Choeur de Malestroit, en l’Isle.

Pendant qu’il est encore temps, et bien que diverses activités m’éloignent, difficilement, de l’objectif de ce blog, d’une part (mais le temps est par essence provisoire).

Comme il sera ici question de musique, et de belle musique, d’autre part.

Dans la mesure, enfin, où des amis chanteurs - un choeur, magnifique  - ont encore une fois l’occasion de partager une oeuvre, méconnue.

Pour toutes ces raisons je leur fait ici une page de publicité, à mon sens largement méritée, ceci n’engageant bien entendu que moi (gardons un minimum de lucidité, au sein de cette invite superbe, stricto sensu). C’est également pourquoi ce billet est publié, exceptionnellement, dans la catégorie “musique”.

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(ultime répétition)

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J’ai déjà eu l’occasion de planter ici ou là, des photos piquées pendant des répétitions ou des concerts de ce choeur, dirigé par Philippe le Fèvre .

Parfois, afin de diversifier le travail du choeur, Philippe ne puise pas dans le répertoire baroque (dont il est fin connaisseur) mais inspecte de plus près des oeuvres modernes, voire contemporaines. Cette saison il a choisi une oeuvre de jeunesse de Puccini, la Messa di Gloria .  Le Choeur de Malestroit s’est remarquablement impliqué dans l’aventure, proposant au final, avant-hier soir, un très beau concert à Bry-sur-Marne.

(avant le concert, mardi 21 h.)

Samedi prochain, après-demain donc, ce même choeur, ce même chef, accompagnés du Cappriccio Français , créeront sans doute la même émotion à Saint-Louis-en-L’Isle. Je leur souhaite de tout… coeur, une jolie réussite. Si vous êtes dans le coin, de passage, entre le hue et le dia, venez ! L’église est assez grande mais pas trop, l’accoustique parfaite pour une formation de cette ampleur. Vingt heures trente, j’y serai.

J’aurais bien aimé vous proposer un extrait mais non, rien à faire, le serveur est sourd.

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Sinon ?

Eh bien sinon, ça va. Il est encore permis de lire, ce que l’on veut. Ecrire aussi, à peu près.

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Je ne sais toujours pas si ce qui peut lier, d’amitié, un homme et une femme est une petite antipathie physique. L’auteure du blog où je viens de lire ceci rajoute (espiègle ?) … ou une grande différence d’âge. Le temps est trop gris, impossible cependant de ne pas discerner un humour vivace,  mais je me réserve.

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Le temps, donc.