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Où l’on fait diète de coca light

Par Pbmv
Salut les bulles,
Bon, pendant ces examens, j’ai pris une grande décision : j’ai arrêté le coca light pour voir comment ça faisait. Deux semaines d’examen et pas de coca light, c’est double peine.
Où l’on fait diète de coca lightMais j’ai tenu !
Si, si, parfaitement.
J’ai passé les premiers jours à la San Pellegrino, pour garder les bulles. Dès le deuxième jour, je variais avec un diabolo grenadine et une première bière bien fraîche.
Le samedi soir : victoire de Clermont. Jour historique. Ambiance bandas. Ambiance pluie. Ambiance Vélib sans chaîne à 3h du mat dans le XVe. Ambiance trottinette sur un vélo. Conséquence : dimanche matin, au réveil, mon cerveau réclame un pain au lait et une bouteille d’eau. Mais toujours pas de coca.
Le lundi, on dit : traduction torchée, goûter vite arrivé. Puis apéritif au martini.
Le mardi, après avoir dansé toute la soirée, je me retrouvai fort dépourvue quand la bise fut venue. Donc un martini.
À partir du vendredi, la fatigue aidant, je commence à remplacer l’alcool par le café. Mais toujours pas de coca. Le samedi : grande balade. Grosse chaleur. Gros apéro au Champ de Mars. J’ai quand même réussi à changer de la 8 à la 3 sans me tromper.
Mercredi : après six heures à disserter, je craque. Un coca. Mais PAS light.
Jeudi : on va célébrer la libération autour d’un Monaco pour le goûter. On continue à célébrer la libération autour d’une tequila pour le dîner.
Se rappeler juste avant minuit qu’on a un rendez-vous avec son maître de stage le lendemain matin, ça n'a pas de prix.

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