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Où l’on dresse sa propre classification périodique des éléments

Publié le 30 juin 2010 par Pbmv
(merci à Mademoiselle N. et son bac S spé physique pour le titre)
Bonjour les flans,
Alors, on est tout ramolli par cette chaleur ? Comme une pâtisserie qui aurait trop pris le soleil, n’est-ce pas.
Bon, aujourd’hui, pour changer, je vais un peu te raconter ma vie. Hier soir, vers une heure, quand la température a commencé à baisser assez pour pouvoir mettre une jambe sous la couette, Topi et moi avons entamé une grande conversation par Blackberry Messenger. Autant te dire que ce matin, je n’ai plus de pouce.
Comme le printemps et l’été ont été concentrés en deux semaines, toutes les hirondelles et les gazouillis se sont retrouvés concentrés : ca se bouscule au portillon. Et en grandes penseuses contemporaines, on a réussi à classer tout ça. On n’est pas peu fières de notre travail.
6 classes. 6 situations. Aucun gagnant.
La chope « de circonstance » : une soirée, de l’alcool, une ambiance sympa : toutes les conditions sont réunies pour bien finir la soirée et avoir des choses à raconter aux potes le lendemain.
La chope « synthol » : comme dit la pub, « ca fait du bien là où ca fait du bien », où quelque chose comme ça. Pour aller encore plus loin dans la réflexion : l’intérêt, c’est le côté frais et inattendu. Par de récurrence, sinon le muscle s’échauffe et le produit ne fait plus effet.

La chope « arnica »
: c’est un peu comme un effet placebo. Ca fait du bien même si ça ne résout pas le fond du problème. On le sait dès le départ mais si on ne se l’avoue pas.
La chope « à l’usure » : c’est le garçon qui te court gentiment après, à la limite du relou, mais qui, à force de persévérance, te fait dire au bout d’un moment: « oui, bon, pourquoi pas finalement ». Mauvaise idée dès le départ.
La chope « boulet » : c’est un garçon qui semble de bonne fabrication. On en est raide dingue dans la phase d’approche, et une fois la chose emballée, plop. Le garçon se révèle avoir le charisme d’un poulpe. Quel dommage d’y avoir mis tant d’énergie, un nouvel ensemble chez Princesse Tam Tam et 30 balles de coiffeur.
La chope « jeu dangereux » : tricky one. Au début, on s’amuse à se dragouiller. Et puis un jour, alors qu’on n’a rien vu venir, ca nous tombe dessus. Et ce n’est plus un jeu du tout. Et c’est là que les ennuis commencent.
Mais pas de sentimentalisme ici. Le jeu dangereux pourrait se révéler être une chope « stylo bic », comme Topi vient de me souffler. Mais mon lectorat bien-pensant ne saurait souffrir la description de cette dernière catégorie.
Évidemment, nous pouvons appuyer notre théorie exemple à l’appui. Oui, oui, pour chaque catégorie.

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