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Roger Waters-In The Flesh-2000

Publié le 16 juillet 2010 par Numfar
Roger Waters-In The Flesh-2000

Déçu peut-être du succès rencontré par son ancien groupe sans lui, Roger Waters décide de contre attaquer avec une tournée rétrospective géante qui donnera un double CD en décembre 2000 : “In The Flesh” (#170 UK-#136 US).

In the flesh (Waters)

The happiest days of our lives (Waters)

Another brick in the wall-2 (Waters)

Mother (Waters)

Get your filthy hands off my desert (Waters)

Southampton dock (Waters)

Pigs on the wing-1 (Waters)

Dogs (Waters-Gilmour)

Welcome to the machine (Waters)

Wish you were here (Waters-Gilmour)

Shine on you crazy diamond (Waters-Gilmour-Wright)

Set the controls for the heart of the sun (Waters)

Breathe (Waters-Gilmour-Wright)

Time (Waters-Mason-Gilmour-Wright)

Money (Waters)

5:06 AM-every strangers eyes (Waters)

Perfect sense-1&2 (Waters)

The bravery of being out of range (Waters)

It’s a miracle (Waters)

Amused to death (Waters)

Brain damage (Waters)

Eclipse (Waters)

Comfortably numb (Waters-Gilmour)

Each small candle (Waters)

Musiciens :

Roger Waters : chant, guitare, basse

Doyle Bramhall : chant, guitare

Andy Fairweather-Low : guitare, basse

Snowy White : guitare

Andy Wallace : claviers

Jon Carin : chant, claviers

Graham Broad : batterie

Norbert Satchel : saxophone

Katie Kissoon : chant

Susannah Melvoin : chant

PP Arnold : chant

Un résumé/best of de la carrière de Waters avec l'accent mis sur les années Floyd, pas fou le Roger.

Le véritable problème chez Roger Waters quand il reprend du Floyd, c'est qu'il n'y a plus David Gilmour et là ça fait mal, très mal.

"Dogs" par exemple, j'étais fou de joie qu'il reprenne ce titre sur scène, surtout que Jon Carin fait une jolie imitation de la voix de Dave, lui qui a accompagné le Floyd de 1987 à 1994.

Par contre Snowy White, s'il est un excellent guitariste, cherche trop à coller au style de Gilmour, et ses solis me restent un peu en travers des oreilles.

On sent que Waters est prêt à tout pour retrouver le grand public, quitte à utiliser des musiciens/chanteurs imitant David Gilmour.

Pour faire court : les titres du Floyd sont une bonne imitation, mais rien ne vaut les originaux et les morceaux solos de Roger Waters ne sont pas inoubliables, "The perfect sense" par exemple, vaut surtout pour l'incroyable prestation de PP Arnold.

Pour les afficionados, le dernier titre "Each small candle" est un titre inédit, inspiré par la guerre au Kosovo, l'un des meilleurs qu'il ait composé depuis 1984.

En 2001, sortie d'une énième compilation "Echoes" qui mélange maladroitement toutes les périodes du groupe pour un résultat un peu confus.

Un seul inédit "When the tigers broke free" datant de 1982.

A quand, une vraie anthologie chronologique avec tout les inédits???

A la même époque, David Gilmour fait une tournée "unplugged" qui donnera un DVD "David Gilmour In Concert".

En 2005, Roger Waters a publié un opéra sur la révolution française intitulée "Ça Ira".

Prévu initialement pour être chanté en Français sur des textes d'Etienne Roda-Gil lors du bicentenaire de la révolution française en 1989, l'opéra à finalement été ré-écrit par Waters lui même en anglais.

Mais la grande surprise de 2005, ce fut la réunion de Gilmour, Waters, Wright et Mason (Pink Floyd #2) pour le festival Live 8 organisé par Bob Geldof, réunion historique, les 4 musiciens n'ayant pas joué ensemble depuis 1980.

Ils y interprétèrent : "Breathe", "Money", "Wish you were here" et "Comfortably numb".

Ce fut le dernier concert donné par les quatre membres historiques du Pink Floyd.

© Pascal Schlaefli

Urba City

Juillet 2010


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