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En manque

Publié le 28 juillet 2010 par Dateurenserie

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C’est le calme plat dans ma vie. Du moins, surtout du côté des rencontres avec les petites filles. Et pas de rencontre, pas de billets. Pas de billet, pas de rencontre. Enfin, vous comprenez.

Ah oui, il y a toujours N. que je vois deux ou trois fois par semaines. Par contre, je ne suis pas certain que nos soirées à écouter True Blood ou nos soupers aux restaurants vous intéresserait. À moins que si? Voyez de quoi ça aurait l’air.

*****

- Salut N.
- Hey Salut D. on écoute True Blood saison deux épisode cinq?
- Ouais ça va être vraiment bon!

Alors nous nous sommes assis confortablement dans mon divan, mon bras autour de son cou et sa tête collée sur mon épaule et j’ai appuyé sur Play.

53 minute 24 plus tard.

- C’était bon, hein?
- Oh oui… un autre?
- Ok?

*****

On s’entend, c’est vachement plate à raconter! Amusant à faire, certes, mais, comme tous les blogues qui racontent leur week-end ou leur journée au boulot, c’est plate à lire!

J’ai besoin de nouvelles rencontres sans quoi je devrai inventer des histoires! Et moi bien, je n’aime pas ça mentir!

Je ne sais même plus ce que ça fait d’embrasser une nouvelle fille. Le petit papillon qu’on ressent quand on sait que ça va se produire mais que le moment exact dans la soirée est encore inconnu. Quand nos lèvres ne sont plus qu’à quelques millimètres et que nos respirations se mêlent l’une à l’autre. Lorsqu’on laisse un peu le désir monter et qu’on fini par se lancer.

Les moments d’excitations quand on retire le chandail de la fille. La hâte de voir une nouvelle paire de seins. « Seront-ils beaux? », qu’on se dit les yeux plein d’étoiles comme un enfant qui développe un cadeau le 24 décembre en étant persuadé qu’il vient du Père Noël.

En fait, la dernière fille que j’ai embrassé c’était à mes retrouvailles et j’étais complètement bourré. Nos respirations sentaient le fond de tonne et le désir, on l’a plutôt consommé immédiatement. Rien à voir avec le paragraphe précédent, nous en sommes tous d’accord!

J’étais supposé rencontrer un nouveau dossier lundi dernier. Je me revoyais revivre. La fille avait même insisté pour me voir cette journée-là, malgré le fait qu’elle était occupée. Et le lundi soir, elle a chokée. La grippe l’avait frappé. Comme ça, soudainement. Un jour en pleine forme et le lendemain complètement sur le carreau. Ça c’est courant chez moi. Les filles annulent toujours pour cause de maladie. D’après moi j’ai une mauvaise aura. Pensez-vous?

Quoi qu’il en soit, j’ai besoin de ce thrill. Celui des premiers instants, celui qui n’arrive qu’à la première rencontre. J’en ai besoin pour mon propre plaisir. Et pour le vôtre, Mon Public (Marc Labrèche sort de ce corps).

D.


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