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Victorin LUREL ne se trompe pas ! La Guadeloupe veut une NON EVOLUTION STATUTAIRE !

Publié le 21 août 2010 par Halleyjc
Le récent article de CCN est particulièrement interressant à lire ! il révèle les lourdes menaces qui pèsent une fois de plus sur la Guadeloupe.
Début de citation :
On ne descendra plus dans la rue, uniquement pour woukler contre le prix du litre de sans plomb ou le non respect des accords Bino ! Signé Danik I. Zandwonis.
Fin de citation ! 

Le Journaliste de CCN, lui, se trompe ; Le cadre dans lequel évolue la Guadeloupe n'est pas défini par le Gouvernement Français, mais par la volonté du Peuple Guadeloupéen qui s'exprime, scrutin après scrutin, pour le maintien de son statut de partie intégrante de la France. A demi mot la Guyane et la Martinique ont voulu rompre avec cette constante de la volonté des Electeurs de ces deux Départements Français ; la plus haute instance a siffler la fin de la récréation.  

Le combat qui nous attend sera rude ; ce n'est pas un quelconque combat électoral, mais bien le combat de toujours pour l'avenir d'un Pays qui sait ce qu'il doit à cette règle immuable depuis 1946 : ça ki bon pou zoi bon pou kana !

Mais cette égalité entre les Oies et les Canards ne s'obtient par par un coup de baguette magique, mais par le sérieux des Guadeloupéens à demander, j'allais écrire exiger leur part du gateau, puisqu'ils assurent leur part de sueur et d'effort.

On peut donc descendre dans la rue pour autre chose que le litre de sans-plomb et l'accord Bino... On doit se battre pour maintenir notre statut simplement pour l'avenir de nos enfants.

Le débat est lancé avec la dernière publication de Monsieur Amédée ADELAÏDE à la veille des Universités d'été du CSLR.

http://www.lescrutateur.com/article-tribune-m-lurel-et-l-assemblee-unique-par-amedee-adelaide-55800737.html

http://www.cohesion-sociale-libertes-republicaines.fr/ 

Extrait :

Il faut bien comprendre que

-dans le débat institutionnel ou statutaire, le choix d'une simple décentralisation, d'une autonomie ou de l'indépendance n'intéressent principalement que les dirigeants, et rarement le peuple; opportunément,il semble que le code électoral(cf avis récent du Conseil d'État) permet d'interdire au 80 % des inscritsqui s'opposent aux évolutions institutionnelles voulues par les élus , ou qui les trouventsans intérêt pour la population, de participer à la campagne officielle, empreinte dès lors d'une louche unanimité.

-quelque soit le degré d'autonomie supplémentaire inscrit dans les institutions ou les statuts à venir, les dirigeants politiques n'auront d'action autonomes qu'à hauteur des ressources effectivement produites par leur économie régionale (c'est ce qu'on appelle pudiquement à l'Élysée « l'autonomie économique » fondée sur le « développement endogène »); pour le reste, ils devront négocier avec de puissants interlocuteurs les financements nécessaires àchacune de leurs actions, dans la position exacte de « ravet' douvan poul' », surtout en période de crise. Belle autonomie en perspective!!!


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