Riding the Bullet

genre: fantastique
Année: 2004
durée: 1h35

l'histoire: Le 31 octobre 1969, Alan Parker apprend que sa mère est gravement malade et qu'elle est hospitalisée. Allan doit faire du stop pour se rendre au chevet de sa mère. Mais le voyage d'Allan ne sera pas de tout repos.

la critique de Eelsoliver:

Mick Garris est un fan de Stephen King et ça se voit. Malheureusement, par le passé, il n'a pas toujours été talentueux. On pourra par exemple citer Le Fléau.
Ici, Mick Garris propose une adaptation d'une nouvelle de Stephen King, Riding the Bullet, réalisée en 2004. Ce film fantastique nous plonge alors dans l'Amérique des années 60.
Un jeune homme, Alan apprend que sa mère est gravement malade (voir le synopsis...). Il part alors lui rendre visite mais la route est longue et Alan n'a pas de voiture ni personne de sa famille pour le dépanner. A partir de là, il refuse de partir en week-end avec ses potes et entreprend un long voyage.
Mais la route sera semée d'embûches.

Pour gagner du temps, Alan décide de faire de l'auto-stop. Malheureusement pour lui, il tombe sur des personnages bizarres, des sadiques voire même des meurtriers.
Riding the Bullet nous entraîne alors dans un périple étrange où le héros, Alan, est rapidement ramené à la réalité. La vérité ? Notre jeune héros est schizophrène et il est donc victimes d'hallucinations terrifiantes.

Pour lui, il est donc difficile de faire la part des choses. Mais sa maladie va le contraindre à renoncer à de nombreux projets. Surtout, sa pathologie va nuir à son voyage et le retarder de façon importante. Riding the Bullet fait donc partie des adaptations méconnues de Stephen King au cinéma.
Et on comprend mieux pourquoi... Le film est tout de même très ennuyeux, en sachant que l'intrigue (à savoir un jeune héros en proie à la schizophrénie) est tout de même assez décousue.
Pas nul mais franchement pas terrible...

Note: 08/20