Pour ce premier numéro d’une série documentaire, le comédien Vincent Perez, dont les parents sont d'origine espagnole et allemande, s'est prêté au jeu et s’est lancé sur les traces de la généalogie de ses aïeuls.
Il y avait des vides importants sur son passé familial, et il s’aperçoit au fil de l’enquête, que la guerre a détruit ses ancêtres :
du côté maternelle en Allemagne, avec le régime nazi,
du côté paternel en Espagne avec le régime franquiste.
On ressent dans cette émission toute la fragilité, l’émotivité, la douceur et la féminité masculine de Vincent Perez
Le plus important c’est de se tourner vers l’avenir. Ses recherches étaient un devoir de mémoire.
Un intense moment d’émotion.
* * *
La deuxième partie de l’émission est consacré à Clémentine Célarié
Promenade dans l’histoire de sa famille, promenade plus légère que celle de Vincent Perez, où le passé a été tragique.
Elle va de Paris à Marseille puis … à sa grande surprise à Nazareth en Israël et termine à la Basilique Saint-Denis.
Elle apprend que :
Du côté maternelle :
qu’elle descend de Jean-Michel Venture de Paradis, un des proches de Bonaparte lors de la campagne d’Egypte en tant que premier traducteur.
Du côté paternel :
qu’un de ses ancêtres n’est autre que Bertrand du Guesclin, connétable de France sous le roi Charles V
Pour une fois une remarquable émission de télévision bien construite, sans de larmoyantes superflues.
Crédit photos DR
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