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Mange, Prie, Aime : again

Publié le 01 octobre 2010 par Laviereveedunefee

Mange, Prie, Aime : again

Puisque le livre ne m’a pas suffit, je me suis offert l’agréable sensation d’aller m’enfermer dans une salle obscure en ce dimanche dernier pluvieux. J’avais besoin de chamallows à la fraise, de petits oiseaux qui font cuicui pour contrer ce rhume et cette recherche d’emploi déprimante. Je suis donc aller voir Mange, Prie, Aime que j’avais lu au mois de juillet dernier.

Pas de surprise, ce ne sera pas un des meilleurs films de ma vie…

MAIS :

- Même si je suis d’accord qu’il faut pouvoir être à l’aise financièrement dans sa vie pour entreprendre ce genre de voyage sans bosser (je le précise car moi aussi j’ai tout laissé mais j’ai taffé en Australie), ça donne quand même de quoi se questionner sur sa vie.

- Le concept de dolce farniente, ça déchire quand même sa maman et moi j’aime bien : manger et se la couler douce, la vie rêvée quoi. (et faire l’amour aussi sauf qu’elle pratique pas dans l’histoire) (dommage pour elle hein).

- Apprendre l’italien parfaitement en 3 mois, je doute quand même un peu, même si cette langue est so sexy.

- OK, l’étape prière et purification en Inde, c’est chiant, mais l’Inde quoi, ces couleurs, cette ambiance…

- Pour une nana qui tient sa vie dans une valise, elle change quand même souvent de tenue et c’est toujours à peu près assorti. Mwé, à d’autres.

- Elle se fait souvent draguer par des beaux mecs, cette chanceuse. Trop facile.

- Elle me fait penser à moi quand elle a très peur d’aimer. Ça m’a donné de l’espoir. Je vous ai déjà dit que je consultais un professionnel ?

Il manque des éléments du bouquin bien évidemment, on passe sur beaucoup de détails, notamment la relation tumultueuse qu’elle a avec le jeune premier et les problèmes qu’elle a eu suite à son acte de charité envers sa copine balinaise.

De toute façon, même très mauvais, je serais aller voir le film pour 2 très bonnes raisons : Julia Roberts qui dégage la beauté dont je rêve quand je serais grande et Javier Bardem que j’aime d’amour tellement il dégage une sensualité à couper le souffle (on m’a d’ailleurs fait remarquer que mon ex a un faux-air de Javier, je comprends mieux pourquoi je kiffais ce mec, la sensualité en moins).

Mange, Prie, Aime : again



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