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Resident Evil After Life

Publié le 03 octobre 2010 par Olivier Walmacq

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Genre: horreur (interdit aux - 12 ans)
année: 2010
durée: 1h40

L'histoire: Dans un monde ravagé par un virus, transformant ses victimes en morts-vivants, Alice continue sa lutte à mort avec Umbrella Corporation. Elle poursuit son voyage à la recherche de survivants et d'un lieu sûr où les mener. Cette quête les mènent à Los Angeles mais ils constatent très vite que la ville est infestée par des milliers de morts-vivants. Alice et ses compagnons (dont un vieil ami inattendu) sont sur le point de tomber dans un piège d'Umbrella.

La critique de Eelsoliver:

Et oui, encore un nouvel épisode de Resident Evil, en sachant qu'un cinquième volet a déjà été annoncé ! Et au regard de la fin de ce véritable naveton, on n'a aucun doute sur les mauvaises intentions des producteurs ayant la volonté de lobotomiser le cerveau des spectateurs.
Bienvenue dans Resident Evil After Life ! Où en étions-nous déjà au niveau du scénario (enfin... scénario...) ?

Le monde est ravagé par une saloperie de virus qui a transformé la population humaine en zombies assoiffés de sang. Les survivants ne sont plus qu'une petite poignée.
Après une introduction des plus vulgaires qui voit Alice affronter des tas de militaires responsables de la contamination, cette dernière se retrouve en Alaska, la seule terre pas encore contaminée.

Pourtant, une fois sur place, Alice est surprise. Personne en vue et la terre promise ne se trouve pas en Alaska non plus. Le lieu non contaminé se nomme Arcadia, et c'est en venant à la rescousse de quelques rescapés de l'apocalypse qu'Alice trouve cet endroit (qui n'est autre qu'un immense bateau).
Pour le scénario, Paul Anderson repassera, le but étant de proposer un divertissement bourrin, involontairement idiot, bourrin et sans intérêt.

Pour ce qui est de l'utilisation de la 3D, elle ne sert ici strictement rien. Au niveau des effets spéciaux et des effets visuels, Resident Evil After Life affiche une laideur à toute épreuve.
Je n'évoquerai même pas les dialogues stupides, les situations convenues et la musique techno qui fait mal aux oreilles. Tel est le spectacle indigent proposé par ce tâcheron de Paul Anderson.
Le pire épisode de la saga ! Mais comment peut-on aimer ça ???

Note: 0/20


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