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Questions troublantes sur la constante de HUBBLE (3)

Publié le 11 décembre 2010 par 000111aaa

Le problème que j’ai à résoudre résulte des propositions de mon lecteur ( JJ.MICALEF) pour le type d espace qu il revendique … et je dois m efforcer de surmonter les difficultés qui se présentent , en me donnant pour tache de les accepter telles quelles , tout au moins en premier lieu …avant meme dirais-je qu il soit nécessaire de les discuter , voire   de les remettre partiellement ou totalement en question …. Je dois jouer le jeu loyalement et à fond , mais avec mes propres connaissances …. Continuons de rechercher s’il est possible de progresser malgré tout ……un avertissement toutefois : cet article de mon blog fera hurler de douleur les lecteurs qui n aiment pas les maths !!!

1°/ RECONNAISSANCE DES CARACTERISTIQUES DU MILIEU TRAVERSE PAR UNE ONDE E.M

Nous avons vu que pour définir la vitesse de propagation d une onde E.M dans un milieu homogène et isotrope (x) , il était nécessaire de pouvoir atteindre les valeurs de la permittivité électrique ε(x) et de la perméabilité magnétique μ(x) . Comment peut on le faire  de manière canonique ?

Pour la première ε(x) , les lois de l électricité nous fournissent les travaux   et la formule de   CLAUSIUS-MOSSOTI ;   pour la seconde μ(x) , c’est une loi de constitution linéaire du formalisme du magnétisme…. La formule de Clausius-Mossotti est une relation entre la polarisabilité microscopique α d'un milieu diélectrique et sa constante diélectrique macroscopique ε. Elle s'écrit, dans le système CGS :ε-1/ε+2=Nα /3 Cette relation provient de ce que le champ électrique microscopique ressenti par un des dipôles polarisables diffère du champ électrique macroscopique par une correction proportionnelle à la polarisabilité du milieu

Pour ce qui concerne μ(x) ,c’est plus complexe . Si le régime du matériau du milieu est dit linéaire, le champ magnétique B et le champ d'excitation magnétique H sont reliés, dans un matériau donné, par la relation dite « constitutive » : B( vecteur)=μ.H( vecteur) où µ est la perméabilité magnétique du matériau (en H.m-1 ie. henry/mètre). Et bien entendu suivant que le milieu soit ferromagnétique , diamagnétique ou paramagnétique les pentes de l équation linéaire ( ou pas ) ci dessus seront différentes ……Et l on s aperçoit alors qu il s agit de relations ou d’équations qui ne nous permettront pas d aller plus loin   compte tenu du tellement peu que ce que notre auteur nous propose comme caractéristiques intrinsèques ou CONSTITUTIVES du milieu (x) ………

2°/ TENTONS MALGRE TOUT QUELQUES HYPOTHESES……..

Repartons de l hypothèse initiale de notre auteur formulée ainsi (copier coller) : « f) La perte d’énergie d’un photon et d’une onde est également proportionnelle à la distance parcourue. Elle correspond à la constante de Hubble 73 km/s par mégaparsec » . et formulons EN OUTRE nos propres hypothèses supplémentaires suivantes :

-   il est possible de recalculer la constante de HUBBLE pour un trajet t d une seule seconde de parcours d une radiation E.M. dans ce milieu x ( rempli d un éther ou d une pré- matiere ou d une pré -énergie etc ) puisque d apres son equation aux dimensions elle est multiplicative ; je l appellerai constante de HUBBLE REDUITE PAR UNITE DE FREQUENCE E.M , et la baptiserai  H(ט)

-   il est possible de connaître l énergie ( ou l équivalent matiére) d une onde E.M choisie sur sa fréquence fondamentale ט=1 HERTZ et  véhiculée pendant 1 seconde de trajet t , énergie que nous nommerons E (ט=1 ) et saurons calculer  grace à la loi de PLANCK

Les calculs se basent ensuite sur le rapport K entre la longueur de 1 mégaparsec traduite en mètres et la valeur de c en mètres , que pour simplifier nous prendrons égale à 300 000 000 mètres par seconde .

Or    puisque 1 mégaParsec = 3,08 × 10 puissance 22 ,mètres

-   K=3,08 .10   puissance 22/3 . 10 puissance 9=1,02. 10 puissance 13 ; donc   H (ט ) =73/1,02 .10 puissance 13=72 ,9 10 puissance -13 que nous pouvons rapporter à E (ט=1 )

-   Le calcul de E (ט=1 ) se fait par ΔW= hט et vaut environ 1 ,24 .10 puissance -16 / 3 ,33 =0,37 .10 piuissance-16exprimé en électron volt ou encore exprimé en joule 1,24x 1,60x 10 puissance -35 /3,33 =0,67 x 10 puissance-35 joules

-   L’énergie perdue par cette radiation E.M très particulière que j ai choisie est donc 1,24x 72 ,9 x 10 puissance -29/3,33 =27,1 x10 puissance -29 , exprimée en electron volt …. et que l on peut transformer ensuite en gr si l on accepte la relation d EINSTEIN E=mc² ( 1 electron-volt=0,18x10puissance -35 gr environ ) ce qui donne 4,8 .10 puissance -64 gr environ pour notre radiation

Pour aller plus loin encore il faut pouvoir matérialiser le volume d espace parcouru en 1 seconde   par une telle radiation   et émettre l hypothèse ( simpliste ) qu il s agit d un cylindre de 300000km de long et de 300000km de diamètre ...dans lequel  PENDANT  le trajet on a abandonné la masse calculée ci-dessus …..On trouve alors que l énergie-masse perdue   est de beaucoup en dessous de l’ ordre de grandeur de la déjà faiblissime énergie du vide avancée par la majorité des astronomes- cosmologistes , a savoir 10 puissance-29 gramme par cm cube ( cf mon article sur LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE – MARINELLI (1)]

BIEN ENTENDU les hypothèses (CELLES DE L AUTEUR ET LES MIENNES )sont donc a critiquer et nous allons voir dans quel sens on pourrait progresser

A SUIVRE


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