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Allons donc, papa (1951)

Par Sheldrake
Allons donc, papa (1951)Maintenant que ses enfants sont grands, Stanley Banks se sent prêt à vivre une nouvelle jeunesse et commence à faire des projets pour occuper son temps libre. Mais sa fille anéantit ses espoirs en lui annonçant qu’il va être grand père.
Ce film est la suite du succès Le Père de la mariée (1950). Toute l’équipe du film s’est donnée rendez-vous un an après pour une suite construite selon le même schéma que le premier film. Tout repose une fois de plus sur les épaules de Spencer Tracy, bon bougre qui panique à l’idée non plus de marier sa fille, mais de devenir grand-père. Cette comédie familiale est sympathique mais trop gentille, les péripéties sont attendues, et le talent comique de Spencer Tracy est très limité. Au final, Allons donc, papa est un divertissement décevant, une œuvre mineure dans la filmographie du talentueux Vincente Minnelli.
Father’s Little Didivend - USA (1951) de Vincente Minnelli, avec Spencer Tracy, Joan Bennett, Elizabeth Taylor, Don Taylor, Billie Burke, Russ Tamblyn. (Acheter le film sur Amazon)


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