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Chambre Verte - Blake Edwards

Publié le 19 décembre 2010 par Novland
Chambre Verte - Blake Edwards
Je suis très peu cinéphile ou tout du moins si je l’ai été un jour cela n’aura été qu’une lubie passagère, la lubie passagère d’un jeune désœuvré, chômeur de surcroît, qui passait son temps et pensait trouver son bonheur — la vérité ? — au cinéma. De ce court moment de cet « instant cinéphile », il ne me reste plus grand-chose, de vagues souvenirs et un intérêt fluctuant pour quelques cinéastes. Blake Edwards était de ceux-ci, j’aimais sa vraie délicatesse (parfois cachée) son élégance éthylique, son humour nimbé, son burlesque sophistiqué... Voilà il est mort, moins tragiquement que son ami Richard Quine, mais il est mort tout de même et je dois avouer que si je n’ai jamais autant été éloigné de mon « instant cinéphile j’ai été, par contre, ému par la nouvelle de cette mort là. Pour me consoler, je me suis permis de sombrer dans le bon alcool d’un cocktail adroitement composé, j’ai écouté Henry Mancini en me souvenant de Peter Sellers, d’Audrey Hepburn et de Claudine Longet (ah ! Claudine). Voilà…
En hommage, je me permets de reproduire un long entretien positiviste. Sachant que je n’ai aucune autorisation pour le faire, je l’effacerai si les positivistes me le demandent, ce serait fort dommage, mais j’aurai alors la souplesse de me plier à leurs légitimes exigences.
Entretien avec Blake Edwards
Entretien avec Blake Edwards (suite)


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