Les degâts d'une telle catastrophe écologiue ne seront jamais totalement réparables. Les domages et intérêts payés ne peuvent être qu'une consolation. Mais le jugement de l'ERIKA restera dans les annales. Pour la première fois en France, un jugement reconnaît en effet, l'existence d'un préjudice pour "atteinte à l'environnement".Total SA, l'armateur, le gestionnaire et la société de classification verser solidairement 192 millions d'euros de dommages et intérêts. Ils devront payer aussi des amendes allant de 75.000 à 375.000 euros pour "fautes d'imprudence". Le principe du "pollueur payeur" en actions....