Magazine Focus Emploi

d'Humour et ses résolutions pour la nouvelle année (article 82)

Publié le 30 décembre 2010 par Snorounanne

Veuillez faire jouer l'audio au moment que je le signalerai et pour les nouveaux lecteurs, prenez le temps de lire le descriptif, merci

Ma résolution est de 1024 X 768 pixels...

Ce n'était pas de bonne guerre l'idée d'avoir jeté à la corbeille, la lettre, cette déclaration inquiétante, de Lady Gaga. Pour vous, qu'aurais-je dû faire? Accepter ou refuser? Oui... Nous vivons à l'ère des télés quizz, mesdames et messieurs.  Le Banquier!

J'avais carrément refusé. Et selon, le boss, j'avais eu carrément tort d'avoir refusé. Alors, dès ce lundi 27 décembre 2010. Une autre convocation des plus pressantes dans le bureau de monsieur Pierre Karl Péladeau, m'invitait gentiment.

Tenue deux pièces, beau tailleur... coût: 173$ chaussures non-incluses.

Pierre Karl - Avez-vous un quelconque problème personnel avec la chanteuse la plus populaire de cette fin de décennie, mademoiselle d'Humour?

snorounanne - Si j'en ai? Vous voulez rire? Entre elle et moi, ça toujours super bien été, les interviews. Vous en savez quelque chose. Mon rendement est strictement professionnel avec cette chanteuse et... (me grattant la nuque) Il se peut que...

Pierre Karl - Il se peut que... Quoi?

snorounanne - Que... (regardant l'autre homme) J'ai manqué de tact, je l'admets. Bon d'accord, je lui ai fermée ma porte sur tout article rédigé dans une revue hebdomadaire, dans un magazine, dans le journal de Montréal, soit dit aussi... Les interviews et la possibilité de se présenter à l'émission "snorounanne reçoit ce soir" Elle a porté plainte?

Pierre Karl - Que croyez-vous? (sortant d'un tiroir, des preuves) Toutes ces lettres vous ont été adressées durant des mois par Lady Gaga. Vous êtes tenace, mademoiselle d'Humour. Mais il est inadmissible de décliner des rendez-vous, des interviews et de bloquer, pour des raisons personnelles, une tête d'affiche internationale comme l'est Lady Gaga.

snorounanne - Vous avez fouillé mon bureau? De quel droit?

Pierre Karl - Monsieur Hudson, ici présent est le sous-directeur administratif des courriers entrants et sortants de cet établissement. Et tout ce qui entre dans cet établissement nécessite une signature du destinataire et vous en aviez faite aucune apparemment. Sur les envois express de la chanteuse, dois-je préciser.

snorounanne - Vous attendez quoi de moi, alors?

Pierre Karl - Ici, c'est moi qui décide de ce qui se fait et ne se fait pas. Et pour ce faire, mademoiselle d'Humour, vous allez retourner dans votre bureau, prendre le téléphone et lui accorder un entretien exclusif pour demain. (petit silence)

snorounanne - C'est tout? Vous ne... Vous ne me punissez pas, vous ne me retirez pas du poste, vous ne réduisez pas mon chèque de paie?

Pierre Karl - Ne recommencez plus ce manège de petite gamine.

snorounanne - Je ne voudrais pas être déplaisante, monsieur Péladeau, elle s'est comportée, elle aussi, comme une gamine. Mais... Nous tous savons que dans ce métier, il faut ravaler sa petite pilule, si on tient à ne pas se retrouver les fesses à l'eau.

Pierre Karl - Et je vous prierais de lui faire des excuses. Maintenant, laissez-nous.

snorounanne - (murmurant entre mes dents) À l'avenir, j'utiliserai la déchiqueteuse.

Pierre Karl - Mademoiselle d'Humour?

snorounanne - (ayant la main autour de la poignée de porte) Oui, monsieur Péladeau?

Pierre Karl - (se levant de son fauteuil et s'approchant tout près et d'une voix posée) Est-il vrai que... Que vous avez... Enfin, vous savez de quoi je parle?

snorounanne - (scrutant son intérieur) Il est vrai. Elle vous a tout raconté? (tournant la poignée de porte) Bonne journée.

Pierre Karl - Bonne journée mademoiselle d'Humour. (le sourire aux lèvres)

snorounanne - Monsieur Hudson... (faisant un signe de salutation)

Je retournais à mon bureau et prenais soin de verrouiller la porte. Mes yeux s'attaquaient sauvagement à cette maudite corbeille et d'un coup de pied, je la faisais valser dans le fond de la pièce, mâchant des mots ingrats envers Lady Gaga.

Ce n'était pas tout, mesdames et messieurs. Vous avez entendu comme moi ce que monsieur Péladeau a ordonné, n'est-ce pas? Prendre le téléphone et... Je m'asseyais sur mon divin fauteuil, le plus calmement possible. Oui... Il était sans doute temps pour les pardons. J'empognais le récepteur après avoir trouvé le numéro de téléphone de son agent.

Fixant dans le vide, je songeais à ce merveilleux et beau Noël que nous avions passé, Genny et moi. Un peu tendu, dans sa famille, entre autre avec la jeune Karo. Mais, j'ai réussi à lui plaire. Évidemment! Elle avait eu un cadeau que ses parents s'objectaient à lui acheter et cela en tout temps.

J'ai défié, brisé les chaînes. Et toute la soirée du souper de Noël, nous jouions à cet extraordinaire jeu vidéo xbox 360 kinect. Fabuleux! Épatant! Excitant! On bouge avec ce jeu également, mesdames et messieurs. Ouais... On bouge. Toujours est-il que nous sommes condamnés à se murer avec tous ces gadgets. Mais... À chacun et chacune de faire la répartion avec le virtuel et le réel.

Mardi 28 décembre 2010

Aussi extravagante qu'irréelle, voici cette entrevue exclusive avec Lady Gaga. Avec l'ordre du boss: Sois belle et tais-toi...

Cette chose passera d'ici deux semaines sur illico (tv payante)

L'émission que vous lisez a été traduite en français.

snorounanne - Bonsoir Lady Gaga!  Vous allez bien?

Lady Gaga - On ne peut mieux, ma belle snorounanne! Et merci de m'avoir invitée, ce soir. On est en directe?

snorounanne - Pour l'instant, oui. Mais cette présentation sera diffusée que dans deux semaines seulement. Alors, on peut couper et ne pas couper, si vous voyez ce que je veux dire?

Lady Gaga - Tu es très belle et ce foulard fuchsia te va si bien. Je suis contente de te l'offrir en cadeau et au nom de notre amitié.

snorounanne - Merci. Je le trouve beau et comme couleur, y a pas à dire... (La phrase que vous lirez a été prononcée en français face à la chanteuse) Je le porterai pas tous les jours de peur de faire croire qu'il me va si bien (tout sourire).

Lady Gaga - Qui veut dire? Je n'ai pas compris le sens.

snorounanne - Ça n'a pas d'importance. Vous avez eu plein de cadeaux de Noël? Quel a été celui qui vous a le plus marquée?

Lady Gaga - Oh... Oh mince!  J'en ai tellement eu de la famille, des amis, des fans.

snorounanne - Le Père Noël s'est montré généreux envers vous, Lady Gaga. Si on se fie à votre style vestimentaire. Il est fait de quoi, cette fois-ci?  De rubans décoratifs? Vous avez tout pris les babioles décoratifs pour orner ces boîtes de Noël?

Lady Gaga - C'est cela que j'adore chez toi, snorounanne. Tes répliques spontanées drôles, sarcastiques, mordantes (riant).

snorounanne - Ben quoi... Vous avez, par ailleurs, engagé de petits enfants chinois pour broder cette robe? Ça vaut combien en dollar? (Lady était knock-out de rire) Vous voulez que je reformule la question? Je peux? On a tout le temps, vous savez? Étant donné, mesdames et messieurs que nous bavardons de costumes d'halloween, j'ai une photo à vous montrer via la caméra et vous, Lady Gaga... Vous avez repris votre sérieux là? (sourire) Visionnez le moniteur ici.

Cette robe a été patchée de viande! Je vous mens pas!

snorounanne - Vous avez été invitée sur le plateau de l'émission d'Ellen DeGeneres, l'amie de tout le monde et la mienne, entre autre. Mais qu'est-ce que vous pensiez passer comme message, comme terreur aux gens, Lady?

Lady Gaga - Ce n'est certainement pas un manque de respect envers les végétaliens et les végétariens. Comme tu le sais, snorounanne, je suis la personne la plus tolérante qui soit. Cependant, on peut faire plusieurs interprétations mais pour moi, si nous ne défendons pas ce en quoi nous croyons et si nous ne nous battons pas pour nos droits, très prochainement nous serons considérés comme de simples bouts de viande. Et justement, je ne suis pas un bout de viande.

snorounanne - Mais... Okay je ne suis pas trop portée sur ces états d'âmes que vous caressez, Lady Gaga. Mais, croyez-vous fermement que les gens vont s'implanter ce type de message, de pub dans le crâne en ne pensant plus de se regarder comme si nous étions un bout de viande? Nous sommes de la viande! Nous sommes fait de chair et de sang, avons des os comme l'animal et quoi que... Quoi qu'on en dise... On est de la viande.

Lady Gaga - Tu vois? Tu réagis comme un primate.

snorounanne - Cro magnon? Oups... Désolée, ça m'a échappée.

Lady Gaga - Tu n'es pas d'accord avec ce que j'ai passé, ce soir-là, comme message, c'est ton droit. Mais, c'est ma façon de me produire.

snorounanne - Vous auriez pu être complètement à poil, nue et passez aussi parfaitement votre message. Car notre corps couvre chair et sang.

Lady Gaga - Oh grand Dieu! Oh que non, jamais! Je suis pudique.

snorounanne - Ah... (ce que je doutais, en somme) Si je vous répétais et que je vous citais quelque chose officiellement songé... Lady?

Lady Gaga - Comme?

snorounanne - Je pense que vous devriez faire une pause pendant un petit moment. Vous en faites trop, vous êtes beaucoup trop médiatisée. Vous pourriez pourtant devenir la future Madonna si seulement vous saviez tirer les épingles de votre jeu.

- Je vous aime bien, mais franchement, j'en ai un peu marre de vous. Oui, vous devez faire un break, ne serait-ce qu'une heure de temps ! Tous les jours vous avez un truc nouveau. Mais ce qui vous rend si spéciale finira par vous détruire, si vous ne vous calmez pas un peu.   - Qui est votre manager ? Il devrait en tout cas vous murmurer à l'oreille de la jouer plus cool pendant plusieurs mois, pour que les gens s'intéressent encore à vous. Il faut que les gens vous désirent, vous savez!

Lady Gaga - C'est grossier tout ce que vous m'avez dite, snorounanne!

snorounanne - Ah mais je m'excuse, je ne faisais que répéter et citer ce que le bon vieux Ozzy Osbourne a déclaré sur vous, Lady. Tenez! Lisez, vous verrez par vous-même. (lui passant l'article dans un magazine US)

Lady Gaga - Et qui c'est Ozzy... (relisant le nom) Ozzy Osbourne?

snorounanne - Un chanteur, cocotte, un chanteur. Nous allons prendre quelques minutes et passer aux commanditaires, ensuite, nous vous reviendrons avec l'excentrique Lady Gaga, mesdames et messieurs.

Une heure en sa compagnie, ça été ma torture exécutoire. Parfois il faut prétendre aimer et bien paraître que de perdre des dollars au bout de la ligne. Eh oui, mesdames et messieurs, Lady Gaga avait encore piqué une de ces crises hystériques et contre Osbourne. Il a été celui qui l'a visée. Pendant ces pauses commerciales, je vous jure... Ne vexez pas la Gaga!

En dépit de tout cela, elle n'a pas encore su ni trouvé son identité. Elle se cherche, la pauvre. Un jour peut-être, elle mettra de côté ces déguisements et affichera l'être qu'elle cache à cause, bien entendu, de son manager, son gérant.

Ce que je trouvais de très agréable, c'était que pendant les congés de fêtes, mon chauffeur n'était nulle autre que Genny. Celle-ci avait eu ses vacances. Et tous les jours, elle venait me chercher et me déposer dans l'édifice de TVA ou si vous voulez, de Péladeau. Dédé appréciait ce geste. Et moi donc!  Je relaxais... Je n'écoutais plus ses farces plates machos, hen? Pendant ces congés, je me reposais de lui.

Ce que le temps passe vite. Aux abords de la fin 2010, aux abords du début 2011. Non loin de ces prédictions apocalyptiques des Mayas... Prévues pour 2012.... Le monde régnant sur la Terre, ce peuple terrien abondant tous les continents davantage en ces millions d'années d'évolution, allons-nous enfin connaître le vrai malheur? On ne cesse de nous enfoncer qu'un jour nous connaîtrons le bonheur... Peut-être qu'un méga malheur dans le monde réajusterait notre perception?

Petit repas de la veille du jour de l'An, en ce vendredi 31 décembre 2010, chez mon trésor, Genny, avec un invité de marque, notre ami, Dédé.

Pas facile être à l'écoute, vérifier les plats, la disposition des aliments, la cuisson

Geneviève Dubois - Elle t'a frappée? Et, et, tu ne l'as pas rapportée à ton boss?

snorounanne - J'ai dit frapper?  Ah excuse-moi. Non, elle ne m'a pas frappée, elle a frappé le caméraman qui lui a fait un joli close up sur elle pendant sa furie.

Geneviève Dubois - Ça exigeait une plainte, non?

snorounanne - Tu penses que les légumes sont trop cuites ou pas assez cuites? À mon avis, on devrait peut-être leur donner un 10 minutes de plus de cuisson. J'y ai goûté, ça manque de cuisson.

Geneviève Dubois - Tu penses?

snorounanne - Je suis allée dehors prendre quelques bûches pour le foyer. Dédé s'en occupe. Oui... Ça manque, d'après moi, un peu de cuisson. Goûte!

Geneviève Dubois - (Goûtait) Oh si... Tu as entièrement raison. Pour une personne qui ne cuisine pas, tu as un fin palais. (clin d'oeil) On va les remettre dans la poêle et les chauffer, cinq minutes max.

snorounanne - (L'aidant à transvider les assiettes dans la poêle) Monsieur Péladeau a été mis au courant de ces affronts vulgaires de Lady Gaga. C'est le caméraman qui en a été le divulgateur.

Geneviève Dubois - Par chance. Tu sais, je l'aime guère, cette jeune chanteuse. À part de quelques chansons mais ça s'arrête là.

snorounanne - Et terminé avec Gaga! Il n'y aura plus d'exclusivité avec les médias Québecor et Astral. La voilà aux oubliettes. C'est ce que le caméraman nous a rapportés.

Geneviève Dubois - (agitant la poêle au-dessus de l'élément chauffant) Donc, fini les entrevues? Eh bien, tu auras gagné malgré tout.

snorounanne - (voyant apparaître dans la cuisine Dédé) Tu commences à te sentir seul au salon, mon grand?

Dédé - Sans aucune participation femelle, oui. Vous n'auriez pas quelque chose qu'un homme pourrait faire dans la cuisine? (se frottant les mains)

Geneviève Dubois - Tu veux être galant et servir du vin rouge à ces belles demoiselles? Le choix de bouteilles de vin, de ce côté, monsieur.

Dédé - Trop aimable. Oh! Tout un vaste choix! Magnifique rangement de bouteilles. Vous désirez une marque de vin en particulier? (parcourant des yeux les étiquettes)

snorounnane - S'il est rouge, parfait pour moi.

Geneviève Dubois - Celui-ci fera l'affaire. Et les coupes sont dans ce compartiment. Puis, ma chérie, je vais finir, ici, okay? Va avec ton ami, Dédé, au salon, prendre le vin. Je vous y rejoindrai dans une couple de minutes.

snorounanne - Très bien. (on s'embrassait)

Dédé - (décapsulant la bouteille et versant dans les 3 coupes, ce bon vin rouge) Pour toi, Genny.

Geneviève Dubois - Merci Dédé. Et allez, vous deux, au salon. J'y serai dans pas long. Et on pourra manger d'ici une demi-heure.

Dédé - (me donnant la coupe de vin) Entendu. Ça sent si bon que je devrais tout de suite appeler le resto et annuler la commande...

snorounanne - Espèce de blagueur! Allez avance. (retirant ma longue veste)

Seuls, tous les deux au salon, nous échangions nos belles histoires vécues sur certains reportages entrepris durant cette année. M'enfin, avec lui quand Paella a décidé de vivre sa vie pleinement. Au fait, j'ai eu de bonnes nouvelles à son sujet. Une opération chirurgicale avait été nécessaire, quelques semaines avant Noël. Elle s'en portait très bien.

Il est curieux qu'entre elle et moi, le lien ne se soit pas tranché. Je veux dire par là... Ah mais si vous n'avez pas tout lu sur les articles précédents, et d'il y a bien des mois, vous ne pourrez encore vous ajuster.

Le contact est sans équivoque moins régulier mais le contact est présent. Alors, je me pose cette question:

snorounanne - Elle a été en relation avec ces écritures codées mais à l'inverse de ce que j'essaie de comprendre, nous avons toujours gardé contact. Est-ce parce que... Serait-ce parce que,...

Dédé - Tu ne les lui as pas proposée de les lire, de les voir, de les regarder. Tu me dis que c'était sa nièce qui a délibérément dérobé deux feuillets de ce cartable rouge. Je te sers encore un peu de ce vin?

snorounanne - Oui, vas-y molo, s'il te plaît. Alors? Dois-je en comprendre que le lien, à ce moment, ne se brise pas définitivement?

 discussion sérieuse...

Dédé - Tu n'as pas forcé l'entrée. Il se peut que ce soit ainsi.

snorounanne - Mais je ne vois pas autre chose. Toutes les autres personnes qui sont passées dans mon quotidien et que j'ai eu la joie de leur partager ces documents appelés "secrets"  sont rayées.

Dédé - Un fait étrange.

snorounanne - Je te les ai pas montrés, hen? Parce que si,...

Dédé - Non et je te rassurerai en te disant que je ne veux pas les voir non plus.

snorounanne - (sourire) Ça me rassure, crois-moi.

Dédé - Je te conseillerais de mettre un système d'alarme sur ce cartable rouge.

snorounanne - Il partirait souvent. Y a que chez moi, c'est rempli de fantômes. (tirant la langue)

Geneviève Dubois - Qu'entends-je? On parle de fantômes?  (s'installant sur le fauteuil)

Dédé - Les fantômes de snorounanne... Elle les collectionne.

snorounanne - Ouais! Je les collectionne. Je ne les vois pas, je ne sais pas de quoi ils ont l'air. Un peu de vin, trésor?

Geneviève Dubois - Volontiers.

snorounanne - (lui en versant dans sa coupe) Je ne les sens pas, vraiment pas. Certaines personnes les voient, les sentent la nuit, le jour. Moi pas. Voilà mon coeur et... levons nos coupes et buvons en cette veille de l'an, en notre amitié, Dédé et notre amour, Genny.

Geneviève Dubois - Chin chin! (tous les 3 claquions nos verres en disant chin chin) Que de bonheur à tous et gardons-nous en santé!

snorounanne - Et soyons quelqu'un de spécial et faisons quelque chose de spécial pour ce monde-ci!

Geneviève Dubois - À table! Avant que tout soit trop cuit et que je réclame à Dédé, le menu du resto.

Dédé - (se levant et allant à la cuisine) Ç'aurait été du chinois, les filles.

Du chinois... Un délice de temps en temps. Je ne vous arrêterai pas de rouler votre moniteur d'images. En appuyant sur l'audio, vous aurez droit à continuer vos songeries.

Les miennes sont intérieures et bien vivantes et... Je sais que ce jour viendra pour lesquelles, elles prendront des formes. Cette chanson est chantée par Eliza Bennett. Écoutez bien les paroles. Et si vous ne comprenez pas l'anglais, allez sur google et tapez "my declaration" paroles en français par Eliza Bennett. Tout y est sur l'internet quand on en fait bon usage, vous savez cela. Et il en serait de même pour les autres chansons que vous ne compreniez pas.

En mon nom personnel, je vous souhaite à chacun et chacune d'entre vous, un beau jour de l'An et que 2011 nous prépare à de meilleurs objectifs sur notre parcours.

À bientôt! Bisous!

Genny et moi, au souper de l'An, chez ma famille.


Retour à La Une de Logo Paperblog