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De l'eau, de l'eau...Que d'eau!

Publié le 08 janvier 2011 par Marigotine

 

   Chérie!

   T'es vraiment certaine de vouloir aller à la plage?

   J'ai déja la pédale d'accélérateur qui trempe dans le bouillon...

Des pluies torrentielles s’abattent depuis deux jours dans la région des Abymes, en Guadeloupe, et forment de véritables torrents qui ont surpris les automobilistes au moment où la plupart d'entre eux rentraient chez eux.
Des pluies torrentielles s’abattent depuis deux jours dans la région des Abymes, en Guadeloupe, et forment de véritables torrents qui ont surpris les automobilistes au moment où la plupart d'entre eux rentraient chez eux. (Sylvère Selbonne/AFP)    Epiphanie.....
   Et "pis trempette"....
   Et " pis c'est tout! "
Pour célébrer le jour de l’épiphanie, les Bulgares plongent dans l’eau glacée pour attraper une croix orthodoxe en métal, comme ici dans un lac, à Sofia, jeudi 6 janvier. Le premier à la récupérer sera en bonne santé toute l’année.
Pour célébrer le jour de l’épiphanie, les Bulgares plongent dans l’eau glacée pour attraper une croix orthodoxe en métal, comme ici dans un lac, à Sofia, jeudi 6 janvier. Le premier à la récupérer sera en bonne santé toute l’année. (Nikolay Doychinov/AFP)    Recherchons facteurs ayant leur permis bateau....
Dimanche 2 janvier, la petite ville de Rockhampton, au nord-est de l’Australie, était toujours coupée du reste du pays par les inondations les plus graves de ces cinquante dernières années.
Dimanche 2 janvier, la petite ville de Rockhampton, au nord-est de l’Australie, était toujours coupée du reste du pays par les inondations les plus graves de ces cinquante dernières années. (Mechielsen Lyndon/AFP)    Certains ont les moyens!
   Célébration de la nouvelle année à Hong Kong    Avec d'énormes  bougies flottantes.....
Les célébrations de la nouvelle année ont été marquées par de spectaculaires feux d'artifices partout dans le monde, comme ici au port de Hong Kong.
Les célébrations de la nouvelle année ont été marquées par de spectaculaires feux d'artifices partout dans le monde, comme ici au port de Hong Kong. (Ed Jones/AFP)    Un remake de:
   "Ces fous volants dans leur drôle de machine"
   Non,  bien triste réalité!
              Un engin flottant non identifié......
<b></div>EAUX MORTELLES.</b> C’est une catastrophe. Après des années de sécheresse, l’État du Queensland, dans le nord-est de l’Australie, fait aujourd’hui face à des inondations sans précédent. Plus d’une quarantaine de villes ont déjà été sinistrées et le fragile équilibre écologique de la Grande Barrière de corail est menacé par les tonnes de détritus et de pesticides rejetés en mer par les eaux boueuses. Les inondations, qui risquent de s’étendre aux villes de l'État voisin de Nouvelle-Galles du Sud, affectent plusieurs centaines de milliers de personnes sur une zone grande comme la France et l’Allemagne réunies. La catastrophe a déjà coûté un milliard de dollars australiens (754 millions d’euros). EAUX MORTELLES. C’est une catastrophe. Après des années de sécheresse, l’État du Queensland, dans le nord-est de l’Australie, fait aujourd’hui face à des inondations sans précédent. Plus d’une quarantaine de villes ont déjà été sinistrées et le fragile équilibre écologique de la Grande Barrière de corail est menacé par les tonnes de détritus et de pesticides rejetés en mer par les eaux boueuses. Les inondations, qui risquent de s’étendre aux villes de l'État voisin de Nouvelle-Galles du Sud, affectent plusieurs centaines de milliers de personnes sur une zone grande comme la France et l’Allemagne réunies. La catastrophe a déjà coûté un milliard de dollars australiens (754 millions d’euros). " title="De l'eau, de l'eau...Que d'eau!" />EAUX MORTELLES. C’est une catastrophe. Après des années de sécheresse, l’État du Queensland, dans le nord-est de l’Australie, fait aujourd’hui face à des inondations sans précédent. Plus d’une quarantaine de villes ont déjà été sinistrées et le fragile équilibre écologique de la Grande Barrière de corail est menacé par les tonnes de détritus et de pesticides rejetés en mer par les eaux boueuses. Les inondations, qui risquent de s’étendre aux villes de l'État voisin de Nouvelle-Galles du Sud, affectent plusieurs centaines de milliers de personnes sur une zone grande comme la France et l’Allemagne réunies. La catastrophe a déjà coûté un milliard de dollars australiens (754 millions d’euros). " border="0" /> EAUX MORTELLES. C’est une catastrophe. Après des années de sécheresse, l’État du Queensland, dans le nord-est de l’Australie, fait aujourd’hui face à des inondations sans précédent. Plus d’une quarantaine de villes ont déjà été sinistrées et le fragile équilibre écologique de la Grande Barrière de corail est menacé par les tonnes de détritus et de pesticides rejetés en mer par les eaux boueuses. Les inondations, qui risquent de s’étendre aux villes de l'État voisin de Nouvelle-Galles du Sud, affectent plusieurs centaines de milliers de personnes sur une zone grande comme la France et l’Allemagne réunies. La catastrophe a déjà coûté un milliard de dollars australiens (754 millions d’euros). (NEWSPIX/REX FEATURES)               Une île flottante....
   Mais plutôt version soupe aux choux!
Suite aux catastrophiques inondations qui affectent depuis Noël le nord-est de l'Australie, des localités du Queensland sont littéralement transformées en îles, comme ici à Rockhampton, mardi 4 janvier.
Suite aux catastrophiques inondations qui affectent depuis Noël le nord-est de l'Australie, des localités du Queensland sont littéralement transformées en îles, comme ici à Rockhampton, mardi 4 janvier. (Janie Barrett/AP/SIPA)                                      Chut devant....
                 Le cascadeur kayakiste dompteur de chutes....
( Moi, je vous le dis faut en avoir sous la pagaie! )
<b></div>TROMPE-LA-MORT.</b> Si cette image superposée a été réalisée grâce à un trucage, pour mieux montrer la séquence de la chute, l’exploit du kayakiste est, lui, bien réel. Depuis des années, Rafael Ortiz rêvait de descendre les terrifiantes chutes Big Banana, au Mexique. Une cascade très dangereuse et réputée infranchissable que cet habitué des défis extrêmes a réussi à dompter. Rafael Ortiz a découvert le kayak à Veracruz, avant de perfectionner son style très personnel au Canada. En 2005, il devient le premier Mexicain à concourir aux championnats du monde de kayak freestyle où il termine à la 22eplace. Depuis, il hante les rivières extrêmes du monde, depuis le Pakistan et l’Inde jusqu’au Costa Rica. TROMPE-LA-MORT. Si cette image superposée a été réalisée grâce à un trucage, pour mieux montrer la séquence de la chute, l’exploit du kayakiste est, lui, bien réel. Depuis des années, Rafael Ortiz rêvait de descendre les terrifiantes chutes Big Banana, au Mexique. Une cascade très dangereuse et réputée infranchissable que cet habitué des défis extrêmes a réussi à dompter. Rafael Ortiz a découvert le kayak à Veracruz, avant de perfectionner son style très personnel au Canada. En 2005, il devient le premier Mexicain à concourir aux championnats du monde de kayak freestyle où il termine à la 22eplace. Depuis, il hante les rivières extrêmes du monde, depuis le Pakistan et l’Inde jusqu’au Costa Rica. " title="De l'eau, de l'eau...Que d'eau!" />TROMPE-LA-MORT. Si cette image superposée a été réalisée grâce à un trucage, pour mieux montrer la séquence de la chute, l’exploit du kayakiste est, lui, bien réel. Depuis des années, Rafael Ortiz rêvait de descendre les terrifiantes chutes Big Banana, au Mexique. Une cascade très dangereuse et réputée infranchissable que cet habitué des défis extrêmes a réussi à dompter. Rafael Ortiz a découvert le kayak à Veracruz, avant de perfectionner son style très personnel au Canada. En 2005, il devient le premier Mexicain à concourir aux championnats du monde de kayak freestyle où il termine à la 22eplace. Depuis, il hante les rivières extrêmes du monde, depuis le Pakistan et l’Inde jusqu’au Costa Rica. " border="0" /> TROMPE-LA-MORT. Si cette image superposée a été réalisée grâce à un trucage, pour mieux montrer la séquence de la chute, l’exploit du kayakiste est, lui, bien réel. Depuis des années, Rafael Ortiz rêvait de descendre les terrifiantes chutes Big Banana, au Mexique. Une cascade très dangereuse et réputée infranchissable que cet habitué des défis extrêmes a réussi à dompter. Rafael Ortiz a découvert le kayak à Veracruz, avant de perfectionner son style très personnel au Canada. En 2005, il devient le premier Mexicain à concourir aux championnats du monde de kayak freestyle où il termine à la 22eplace. Depuis, il hante les rivières extrêmes du monde, depuis le Pakistan et l’Inde jusqu’au Costa Rica. (CATERS NEWS/SIPA)    Marigotine

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