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France anti-Israël

Publié le 09 février 2011 par D.ieu Nous Aime...
Drapeau Israël 8a.jpgEn Israël, les activités et colloques anti-israéliens menés par des groupuscules proches de l'islamisme terroriste et niant le droit à l’existence de l’État juif, ne sont pas rares. La liberté d’expression est exploitée par les antisionistes.
Centre Culturel Français Romain Gary à Jérusalem 1.jpg
Le Centre Culturel Français Romain Gary censé promouvoir la culture française et la coopération culturelle dans la capitale de l’État juif, se joint à ces activités à caractère antisioniste flagrant.
Le Centre Romain Gary, antenne culturelle du Quai d’Orsay dans la capitale juive, se fait le coorganisateur avec la Cinémathèque de Jérusalem d’une projection-débat, aujourd'hui le 8 février 2011, où les intervenants seront exclusivement des opposants farouches à l’existence même d'Israël.
Les personnes invitées par la Cinémathèque et par le Centre Romain Gary à intervenir lors du débat qui suivra la projection du film documentaire "la parole ou la mort" sont Michel Warschawsky, Huda Al Imam et David Neuhaus.
Michel Warschavsky.jpgMichel Warschavsky aurait pu être le représentant type de l’Alyah de France.
Fils d’une figure de proue du Judaïsme de l’Est de la France, l’ancien Grand Rabbin du Bas-Rhin, Max Warschavsky, Michel a fait son Alyah en 1967.
Il a étudié dans la prestigieuse yeshiva de Mercaz Harav, bastion du sionisme et là d’où est parti le Goush Emounim, le mouvement de repeuplement juif de la Judée-Samarie, du Golan, de la Bande de Gaza après la Guerre des Six Jours.
Ensuite, Il a quitté la yeshiva et a étudié la philosophie à l’Université hébraïque de Jérusalem.
Matzpen, mouvement antisioniste.jpgMichel Warschavsky a alors rejoint le Matzpen prônant le rapprochement avec des organisations terroristes et l’anéantissement de l’État d’Israël comme État juif dans un mélange d’idéologie marxiste-trotskyste-maoïste à la sauce tiers-mondialiste assimilant le sionisme au racisme et à l’impérialisme, avant même que cette diffamation de nature antisémite ne soit reprise ensuite par les milieux antisionistes en Europe et dans le monde.
FDPLP (Front démocratique et populaire de libération de la Palestine).jpgJoignant la pratique à la théorie, Michel Warschavsky a établi le contact avec le FDPLP (Front démocratique et populaire de libération de la "Palestine") de Nayef Hawatmeh, un groupuscule palestinien d’assassins connu pour sa radicalité bestiale lors d’attentats et de prises d’otages.
En 1988, Michel Warschavsky a été arrêté par le Service de sécurité générale (Shabak). Il a été condamné à 30 mois de prison ferme sous un chef d’inculpation de trahison pour collusion avec une organisation terroriste.
CAPJPO-EuroPalestine.jpgTrès lié à la CAPJPO-EuroPalestine et à des cercles qui ont nourri l’antisémitisme en France et en Europe ces dernières années, il est aujourd’hui derrière toutes les initiatives européennes de boycott d’Israël.
Michel Warschavsky n’épargne pas la gauche israélienne partisane d’un compromis négocié avec les Arabes. Il qualifie ses fidèles de "colons de la gauche".
Huda Al Imam, directrice du Centre for Jerusalem Studies.jpgFatah 1.jpg
Huda Al Imam, est directrice du Centre for Jerusalem Studies, une institution arabe dans la capitale, financée par des organisations terroristes comme le Fatah dont l’objectif est d’inoculer la falsification de l’histoire, à savoir que Jérusalem n’a jamais été la capitale de la Nation d’Israël, ni même une ville juive à aucun moment, mais une métropole arabe que les sionistes ont ravie à la Nation arabe.
David Neuhaus, vicaire du Patriarcat latin de Jérusalem.jpgBetselem.jpg
David Neuhaus s’est converti au Christianisme et en entré dans l’ordre jésuite. Il est le Vicaire du Patriarcat latin de Jérusalem.
Il est actif dans Betselem, une association engagée à la déligitimation et à la destruction d’Israël derrière une vitrine humanitaire.
Centre culturel français Romain Gary à Jérusalem 4 - Olivier Debray, directeur.jpgOlivier Debray, le directeur du Centre Culturel Français Romain Gary, interrogé sur leur participation à cette soirée, a affirmé que son institution cherche à promouvoir le dialogue et les débats avec des partenaires israéliens, en l’occurrence, la Cinémathèque de Jérusalem, dans les murs de laquelle est organisée cette projection-débat sur le thème de la montée du fondamentalisme.
Il ajoute que le Centre Romain Gary cherche à faire connaitre la culture française aux Israéliens et est ouvert à tout partenariat et à tout dialogue.
Cette initiative du Centre Romain Gary s’ajoute à d’autres faits inadmissibles de la part du Consulat général de France.
Israël 2.jpgJérusalem 2b.jpg
On peut noter la mention "Territoires occupés" sur les papiers d’enregistrement officiel de citoyens français résidents du Goush-Etzion, le fait que des quartiers de la capitale comme Baqaa soient mentionnés comme quartiers "palestiniens" dans des documents officiels français alors que Baqaa est un quartier de la capitale d’Israël depuis 1948.
Tout ceci contribue à donner le sentiment que les institutions officielles françaises en Israël œuvrent à introduire un ordre du jour post-sioniste et de partage de la capitale éternelle du peuple juif, la culture étant mobilisée à ce dessein.
Il est à noter qu'il y a deux centres culturels français à Jérusalem, le Centre Romain Gary pour les Juifs et le Centre Châteaubriant pour les résidents arabes de la capitale d’Israël.
Ceci du fait que la République française ne reconnait pas Jérusalem comme la capitale du peuple juif et donc, de l’État juif.
Que ceux qui n'aime pas Israël, la quitte.
Seigneur, protège Ton peuple et sa terre.

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