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3 Questions à Michel Raffier : Canton de Valmont

Publié le 04 mars 2011 par Aurelinfo

Canton de Valemont tituMichel Raffier, conseiller municipal de Sassetot le Mauconduit et Christel Mouterde, maire de Limpiville, candidats socialistes dans le canton de Valmont sont en campagne dans le canton.
Deux réunions publiques sont programmées : le vendredi 11 mars à 20h30 à Sassetot le Mauconduit, Salle des 2 Chênes et le vendredi 18 mars à 20h30 à Ypreville-Biville, Salle communale. De plus, mardi 22 février, Didier Marie sera en visite cantonale pour inagurer le rond-point de Thiétreville et visiter la caserne des pompiers de Valmont et son extension.
Entre-temps, Michel Raffier et Christel Mouterde nous accordait cette courte interview.
Michel Raffier, quel conseiller général voulez vous être ?
Je souhaite avant tout que la dynamique de progrès, mise en place par la majorité de gauche depuis 2004 sur toute la Seine Maritime, profite pleinement aux habitants du canton de Valmont. Notre canton n’est pas une île. Notre territoire ne s’est jamais inscrit dans les actions impulsées à l’échelle du Département, est resté en arrière des grands projets qui ont fait l’actualité, du tourisme à la culture en passant par l’environnement ou la vie associative. Je souhaite être le conseiller général qui redonnera sa place à notre canton, pour qu’il bénéficie du dynamisme et de l’attractivité qu’il mérite, de la côte d’albâtre à l’intérieur du pays de Caux.
Quels sont les besoins prioritaires du canton de Valmont auxquels vous voulez répondre ?
Christel Mouterde :
Notre canton est un canton très rural. Il est urgent de lutter contre l’isolement et de veiller à ce que chacun puisse accéder à ses droits. En tant que médecin, je suis sensible aux conditions de vie de nos ainés. Je vois dans le maintien à domicile des personnes âgées un objectif et un progrès formidables à développer. Et le Département est un acteur clé en ce domaine, tout autant que dans celui de l’accès à la santé, pour lequel nous devons trouver des solutions innovantes contre la désertification médicale. Je souhaite fortement m’investir dans ce travail fondamental.
Y a-t-il un domaine qui vous tient particulièrement à cœur ?
Michel Raffier :
Nous avons besoin ici plus qu’ailleurs des meilleures conditions d’éveil et d’épanouissement pour nos enfants, que ce soit dans la qualité de l’accueil des tout petits ou dans celle des conditions d’enseignement au collège. Chaque jeune doit trouver un soutien pour construire son avenir. C’est pourquoi nous soutiendrons aussi le sport, la culture et les loisirs pour tous, tout autant que le développement économique et l’emploi.

Source : Les cantonales 2011


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