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‘Éditer Harry Potter était un travail top secret’

Par Benard

Presque pire que James Bond.

Rédigé parAdrien Aszerman, le vendredi 25 mars 2011 à 19h38

Comme le raconte leState Journal-Register, certains emplois restent suffisamment mémorables pour combler une vie entière en anecdotes. Être patron de Charlie Sheen, cardiologue de Gainsbourg, sophrologue de Nicolas Sarkozy…

Susan Jeffers, dont le plus vieux journal de l'Illinois dresse le portrait, a exercé un boulot de cet ordre. Elle a été relectrice pour 6 des 7 volets de la série desHarry Pottermais également correctrice pour les 3 premiers tomes.

Entrée aux éditions Scholastic en 1990, Susan travaille toujours chez l'éditeur du plus fameux des sorciers en tant que relectrice sur des publications majeures.

Elle se souvient qu'à l'arrivée du premier tome des aventures d'Harry Potter, personne n'a soupçonné ce qu'il allait en advenir.Harry Potter et la pierre philosophalen'a ainsi été tiré initiallement “qu'à” 50 000 exemplaires. Le premier tirage des Reliques de la mort”, dernier tome de la série, a été de 13 millions d'exemplaires.

‘Éditer Harry Potter était un travail top secret’

«Nous avions un endroit secret où nous travaillions sur le livre», se souvient Susan. «Très peu de personnes avaient accès à cette pièce et personne d'extérieur ne savait qui y travaillait». Aucune des personnes qui travaillaient chez Scholastic et manipulaient le manuscrit ne le gardaient en leur possession très longtemps. Chaque manuscrit dépassait les 1000 pages. La la correction, la relecture et la mise en page ne se faisait jamais par ordinateur, car il aurait été trop facile de copier ou transmettre une version électronique.

Lire la suite : http://www.actualitte.com/actualite/25113-susan-jeffers-harry-potter-scholastic.htm


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