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Les raéliens rencontrent les oraliens (article 95)

Publié le 31 mars 2011 par Snorounanne

veuillez faire jouer l'audio au moment que je le signalerai et pour les nouveaux lecteurs, lire le descriptif afin de mieux jouir de la lecture, merci

Croire que nous sommes les seuls dans cet univers? Retournez dans le ventre de votre mère...

Ai-je besoin de vous dire que le sujet vous choquera, vous intéressera ou vous ennuiera? S'il y a des sceptiques, des antis contre n'importe quoi dans ce monde, ne vous donnez pas la peine de lire cet éditorial.

Personne ne force personne mais sachez que personnellement, j'ai une tendinite aigüe prononcée sur les types centrés sur leur nombril. Ce n'est pas compliqué, ici, vous ouvrez, vous lisez en biais et hop! Vous fermez, sujet clos, on n'en parle plus. Personne ne saura que vous venez ici que pour écouter la musique ou pour savoir si je parle contre quelqu'un... tut tut tut... comme c'est triste la vie d'aujourd'hui.

Il est originalement vrai que je n'ai pas la culture d'un certain monsieur l'intello...  il est vrai que cet homme a une forte tension géograhique orbitale. Chacun a ses forces et ses faiblesses.

Mais je ne laisserai pas ce genre de type butiner d'une plate-bande à l'autre pour affirmer que les femmes sont frustrées, les lesbiennes et les toutounes et qu'en plus, elles ne savent pas rire. Quand on sait banalement que certains hommes comme certaines femmes le sont, oui! Mais, il faut faire la nuance de ne pas généraliser ces zones sinistrées, s'il vous plaît.

Alors monsieur l'intello que votre savoir vous apporte bonheur, vos croisades pour chercher l'âme soeur vous apporte que malheur. (clin d'oeil) Oui,... vaut mieux en rire qu'en brailler. Mais si on ne leur dit pas, si on ne leur fait aucunement sentir notre point... à ces personnes, pourquoi sommes-nous sur Terre? Si ce n'est que pour tout endurer? Est-ce notre karma?

Voyez bien que je ne parlerai de personne pour assouvir votre curiosité et surtout pour certains qui iront l'utiliser et en faire du rapportage, mesdames et messieurs. Ça m'est bien égale. Je vous le certifie. Que ça se passe sur la rue, dans un lieu public, au téléphone, en privé... est-on pour s'en laisser intimider, ou s'en laisser baver? Vous, peut-être mais pas moi.

Et j'assume ma frustration, mon homosexualité et ma toutounerie! Quoique je sais rire et il le sait trop bien et même à ça, il trouve insensé monsieur l'intello, que nous, certaines femmes, nous pratiquions l'humour infiniment plate pour lui. Mes salutations, monsieur l'intello.

Faute de temps... mettons notre objectif sur des choses plus réalistes, si vous en convenez, bien entendu. J'ai sans doute perdu le 3/4 des lecteurs,... avec mes blablas... n'oubliez pas... vous êtes à l'antenne de l'émission conçue pour cela. L'émission d'Humour!

Mardi 29 mars 2011, heure: 16:21:03

snorounanne - Nous sommes de retour, mesdames et messieurs. J'espère que ces quelques pauses commanditaires que nous avons eues vous ont apportées en quelque sorte un soulagement. Nous vous rappelons que cette émission est en directe, aucune coupure, aucune censure à cet effet. J'ai... (manipulant avec mes doigts, les feuilles devant mes yeux) j'ai comme invité pour finir en chaos, d'Humour, l'émission en cours, monsieur Claude Vorilhon. Bonjour monsieur Vorilhon.

Claude Vorilhon - Bonjour mademoiselle d'Humour.

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Le verre d'eau n'a pas été suffisant pour contrer mes irritations...

snorounanne - Vous dégagez limpidement la forme.

Claude Vorilhon - Je vous remercie. À part d'un tout petit rhume, je me sens comme à mes vingt ans.

snorounanne - Fier et tout fringant. Je lis obliquement ce qu'on m'a transcrite comme informations à votre sujet, monsieur Vorilhon sur cette prétendue révélation. Vous affirmez avoir vécu deux expériences de rencontre avec des extraterrestres qui sont les fondements de votre idéologie. Mais... vous a-t-on déjà dit que des coïncidences troublantes penchaient plutôt pour un plagiat de certains ouvrages de Jean Sendy et de la Genèse?

Claude Vorilhon - Bof... vous savez ce qu'est les qu'en dira-t'on et les ouï-dire? Il faut les laisser parler. Ces journalistes n'ont rien d'autre à faire que de chercher la petite bête noire.

snorounanne - Curieux que vous en parliez. Vous avez été vous-même un journaliste dans les années 70. Je suppose que vous savez de quoi les journalistes sont capables.

Claude Vorilhon - Journaliste sportif automobile entre 68 et 73.

snorounanne - Bien oui! Vous aviez plusieurs cordes à votre arc. Même à une époque, vous étiez chanteur.

Claude Vorilhon - Affirmatif. (tout souriant)

snorounanne - D'après votre description, le 13 décembre 1973 au soir, soit 13 jours après l'interdiction des compétitions automobiles par le gouvernement Messmer, alors que vous vous promeniez aux puys de la Vache et de Lassolas, vous avez aperçu une soucoupe volante qui se posait doucement. Puis... puis, un être extraterrestre en sortait, qui parlait français et vous a dit être venu pour vous rencontrer et vous donner un message ayant pour mission de répandre à travers toutes les nations.

Claude Vorilhon - Oui, c'est exact. Et... et je remarque que vous dites cela avec beaucoup d'aisance et de fascination.

snorounanne - Vous n'avez pas tort, monsieur Vorilhon. Je vous envie! Et que vous êtes chanceux d'avoir eu la chance... chanceux, chance... les mots me manquent! Mais dites-moi... Il était comment cet être extraterrestre qui parlait français?

Claude Vorilhon - Il était... il était petit mais pas petit petit hen... un mètre quarante-deux à peu près.

snorounanne - La conversion en pied serait? Qui ici est fort en calcul? (Un technicien me répondait) Comment? 4 pieds et... 7 pouces? Bordel... c'est la grandeur d'une belle-nièce... quasiment (riant un peu) Alors monsieur Vorilhon, il était pas si petit que ça. Et... sa forme, sa consistance, son corps, sa couleur de peau?

Claude Vorilhon - Grisâtre la couleur et une forme de tête ovale. Et des yeux exorbitants.

snorounanne - Habillé? C'est... la description que vous donnée est telle le spécimen que l'armée américaine a découvert, quand, quand... un engin... soucoupe volante s'était écrasée aux États-Unis près de Roswell, au Nouveau-Mexique. Ça fait pas un peu... plagiat, ça aussi?

Claude Vorilhon - J'avoue ne pas trop comprendre, mademoiselle d'Humour.

snorounanne - Écoutez... c'est pas sorcier. Votre accoutrement, votre façon de vous habiller, vous notez rien de copie conforme? Vous projetez une image. Et comment vous les appelez, ces êtres?

Claude Vorilhon - Elohim.

snorounanne - Qui signifie?

Claude Vorilhon - Ceux qui viennent du ciel.

snorounanne - On a des images à vous montrer, monsieur Vorilhon et vous, les gens à la maison. Regardez bien, c'en est presque... presque, en tout cas, on regarde ça ensemble.

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 Invité à l'émission Tout le monde en parle et en reparlait... mon émission

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Émission pour enfants en 1969... Les Oraliens et peut-être que Claude à 23 ans...

snorounanne - Si on regarde ça avec des yeux presque d'un psychanalyste... okay... on dira de vous que vous faites du plagiat partout, monsieur Vorilhon. Que tout ce que vous possédez n'est que de la pure copie conforme. Vous avez vu par vous-même, non? Les oraliens... c'était une émission pour enfants en 1969. Il vous manque le champignon sur la tête pis bingo! (tout le long du visionnement des photos et de ma comparaison, il se prenait la tête et en riait) Et vous trouvez drôle ce que je vous dis...

Claude Vorilhon - On m'avait prévenu avant de venir à votre émission combien vous aimiez jouer avec les mots, les phrases et combien votre humour était déchaîné. Excusez-moi... vous êtes vraiment une comique intelligente. (riant encore)

snorounanne - Vous avez créé un personnage, monsieur Raël et ça vous fait rire. Donc... on se trompe pas quand on dit sur vous que vous prétendez ces choses parce que vous êtes un illuminé. Et que veut dire Raël, au fait?

Claude Vorilhon - (prenant des gorgées d'eau) Raël veut dire, messager, celui qui apporte la lumière des Elohim. Et vous, vous, mademoiselle d'Humour, vous en êtes une.

snorounanne - Une quoi? Si je veux bien comprendre...

Claude Vorilhon - Une messagère.

snorounanne - Ah bien oui. J'en suis une. (me grattant la joue) En plus discrète, si je me permets d'utiliser cette qualité. Je continue de lire mes notes... donc... les entretiens auraient duré six jours, à raison d'une heure par jour et auraient fait l'objet de votre premier livre, dont le titre est Le livre qui dit la vérité et lequel affirme que toutes les formes de vie sur Terre ont été créées par ces extra-terrestres, les Elohim, grâce à une maîtrise du génie génétique et une avance scientifique de 25 000 ans, mesdames et messieurs.  

Claude Vorilhon - Ce que vous, vous appelez, les êtres de lumière, ma chère.

snorounanne - Oui mais ce n'est pas moi qui les ai appelés ainsi. J'ai eu la chance d'avoir dans mon cheminement spirituel, des gens naturels, simples qui m'ont côtoyés et que j'ai côtoyés et les réponses sont venues, la plupart, par eux.

Claude Vorilhon - Insufflées par les Elohim. (très convaincant et convaincu) Je vous ressens très forte mais vous craignez de faire ce qui vous enveloppe, et je veux dire par là, pleinement. Votre incadescence est remarquablement en pleine éruption et vous la retenez, mademoiselle d'Humour... parce que vous craignez.

snorounanne - Je crains.

Claude Vorilhon - Vous craignez quoi? Que ce que votre cartable rouge ait de gigantesques répercussions sur le monde, la planète, l'univers? Vous craignez d'être incomprise? Vous craignez d'être rejetée? Pourquoi ne rejoignez-vous pas notre mouvement raëlien, mademoiselle d'Humour? Vous y sentirez un bien être énorme et des gens vous accueilleront à bras ouvert.

snorounanne - (mes mots sortaient volcaniquement) Allez-vous faire foutre avec votre secte religieuse, vos mouvements d'emprisonnements carcéraux vitaux, je ne serai jamais... et lisez bien sur mes lèvres... je ne serai jamais votre chose sexuelle. On va à la pause, mesdames et messieurs et de retour dans 3 minutes.

Il était calme, serein. Et moi, en furie intérieurement. La maquilleuse me faisait quelques retouches, épongeait mon front, sous mes yeux, mes joues, mon menton. Elle me tamponnait d'une douce poudrette cachant la moiteur. Monsieur Vorilhon s'excusait d'avoir été brusque. Je demandais de remplir nos verres d'eau fraîche. Et... les minutes se changeaient en seconde. Nous étions revenus à l'antenne de cette émission d'Humour, mesdames et messieurs.

snorounanne - Nous sommes revenus à l'émission d'Humour et notre invité, monsieur Claude Vorilhon.

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 Présentation de l'émission

snorounanne - Monsieur Vorilhon... euh... je lis toujours ce que les recherchistes ont trouvé éparpillé par ci par là... vous affirmez avoir reçu la mission d'informer le monde sur ses origines et celle de construire une ambassade en vue du retour des Elohim. Les extraterrestres vous ont donné des explications sur certains mystères, qu'on lira dans ce livre, en s'appuyant sur de nouvelles lectures des textes sacrés, tel que la Genèse. 

- Vous expliquez aussi que, le 7 octobre 1975, vous rentriez de nouveau en contact avec les Elohim qui vous ont emmené sur leur planète où vous avez retrouvé le Bouddha, Moïse, votre  demi-frère Jésus et Mahomet et vous avez reçu de nombreux enseignements que vous décrirez dans votre second livre, le titre, Les extraterrestres m'ont emmené sur leur planète.

- Vous affirmez y avoir découvert des êtres merveilleux, harmonieux et pacifiques qui vous ont enseigné une philosophie fondée sur le plaisir, l'amour, la connaissance et la conscience. Entre autre... le sexe libre! Franchement... monsieur Vorilhon.

Claude Vorilhon - Libre à vous de commenter, d'y croire ou pas. Mais ce sont des faits véridiques.

snorounanne - Les Elohim vous ont demandé de construire une ambassade pour les accueillir d'ici... on ne sait  pas si on sera encore en vie... Les Elohim... êtres de lumière, veulent une ambassade à leur image? Complètement incohérent. S'ils sont source de lumière, monsieur Vorilhon, ces êtres sont déjà riches! Et ils se passeront bien d'avoir une pyramide ou quoi que ce soit d'érigé en leur nom. Cela est clair et net. 

Claude Vorilhon - C'est votre opinion. Vous avez certainement reçu des messages d'eux mais... comme vous craignez de les témoigner, vous resterez dans une ombre.

snorounanne - Pour se sortir un peu de cette histoire, j'aimerais montrer aux gens qui nous regardent à la télé et qui nous lisent, combien beau jeune homme vous étiez il y a plusieurs années avant d'être appelé par les Elohim et de vous faire nommer Raël.

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 Charmeur chanteur, presque du Jacques Brel et il le faisait bien...

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 Claude Celler vs Jacques Brel

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 Eh oui! Un autre qui n'a pas trouvé sa voie et son identité... ressemble un peu avec ses grosses lunettes à Jean-Pierre Coallier  

Claude Vorilhon - De très beaux souvenirs que je garde. Merci à vos recherchistes, vous faites de l'excellent travail, mademoiselle d'Humour. Par contre, vous en tireriez avantage si vous faisiez confiance en la lumière qui vous habite. Je suis sûr et certain que vous ne seriez pas ici, aujourd'hui, jonglant sur des articles qui ne vous met pas en valeur.

snorounanne - Vous avez votre messagerie, vous la soignez et ce que je suis, ce que j'ai, je l'applique selon mon état d'être et mon état d'âme et pis ça, monsieur Vorilhon, je le fais comme je le sens et non comme vous aimeriez que je le fasse.

Claude Vorilhon - En 1980, vous aviez reçu des messages notamment d'eux, spécifiant qu'un gros et grand tourbillon venant de l'espace allait s'écraser du côté de l'Europe du Nord, mademoiselle d'Humour.

snorounanne - D'eux, les Elohim? Monsieur Vorilhon... eux, ne sont certes pas les seuls dans cet univers... n'est-ce pas? Alors comment pouvez-vous avoir la certitude que ces messages proviennent d'eux? Pour faire suite à ce que vous disiez, ça été une expérience que je ne renouvellerai pas. Faire affaire avec des gens de bonne foi mais dont ces messages ont été mal interprétés. Nous avons été la risée d'une fin d'un monde. Et bien parce qu'on n'a rien compris, rien saisi, et mal interprété et le moment n'était pas venu. Et, dans l'insconscience de nos esprits, chacun s'est laissé berné à croire que la pleine lune du mois d'avril de cette année-là  allait coincider avec ces messages.

Claude Vorilhon - Vous admettez avoir fait parti d'un groupe de gens issu d'une même essence, celle des Elohim.

snorounanne - Allez-vous me  lâcher avec vos Elohim! Une dame que j'ai rencontrée à Montréal qui connaissait des amis et on s'était réunis pour déchiffrer ces messages, pour décoder et les comprendre et cela se passait dans nos maisons. Et ça n'avait rien à voir avec le cartable rouge.

- J'admets ma naïveté, mon innocence et un manque de discernement dans ces années passées. Comme je vous le dis, je ne renouvellerai pas cela. Mon parcours se fait seul et accompagné de gens ayant des réponses à ce que je n'ai pas. Et j'avais 21 ans et je cherchais une certaine aide pour comprendre ce qui m'arrivait.

Claude Vorilhon - Voyez-vous, j'ai suivi à distance, la conférence qui a été tenue l'an passé, vous devant la galerie de personnes plus ou moins de niveau moyen d'intelligence, et je me disais, cette femme, oui, cette femme serait tout un être dans notre mouvement raëlien.

snorounanne - Je suis déjà assez à l'écart et dans l'ombre du monde, monsieur Vorilhon, rien ne me dit d'adhérer à votre mouvement.

Claude Vorilhon - C'est votre choix. Et... question pertinente, puis-je?

snorounanne - Allez-y.

Claude Vorilhon - Le 14 février 2009 au soir, vers les vingt-trois heures... que vouliez-vous dire par, C'est le temps des humanités?

snorounanne - (petit silence intérieur) Faute de croire que je l'ai dit. Je n'ai que répété ce que j'ai perçu.

Claude Vorilhon - À votre avis, d'où cela provenait?

snorounanne - De ma garde-robe, j'ai eu... en fait, j'ai eu cette impression.

Claude Vorilhon - (souriait) Vous savez pas? Les Elohim vous ont choisie pour votre profondeur d'innocence et de naïveté et, et, et  je ne dis pas cela méchamment ni négativement. Ils ont mis en vous des volumes de connaissance et là c'est moi qui vais le dire... je vous envie, mademoiselle d'Humour.

snorounanne - Chacun son métier et il sera bien exécuté.

Claude Vorilhon - Dites? Serait-il possible après l'émission que nous ayons une bonne discussion vous et moi? J'aimerais m'entretenir avec vous et de vos connaissances.

snorounanne - Après l'émission, ma copine vient me chercher et nous rentrons à la maison concocter nos passions, monsieur Vorilhon.

Claude Vorilhon - (autre sourire) Ce m'aurait fait un si grand plaisir, vous savez.

snorounanne - Nous allons à une autre pause commerciale, mesdames et messieurs, le mot de la fin tout de suite après!

Étais-je dans la vague de mes spm? Dans les feux tyranniques de tous les volcans de la planète? Pourquoi me sentais-je menacée par ce patelin? Il avait raison... naïve et innocente mais non pour mettre mes valeurs et ma famille dans le pétrin. Je savais trop les protéger. Le mot de la fin a été bref. Un salut de la main en bon soldat et un rendez-vous prochain.

Je me retirais du pupître assise avec un homme ayant un pouvoir de "lavage du cerveau". Il donnait la main aux techniciens et je pouvais sentir ses yeux se poser sur moi. Moi qui l'évitais et prenais le chemin de ma loge. Mais je n'ai su ce qui survenait derrière mon dos. Je pense que j'avais entrecroisé Evelyne Martin, je pense que j'ai cru voir la silhouette de Dédé.

Allaient-ils à la rencontre de ce gourou? Allaient-ils lui serrer la main et lui tenir compagnie et parler à mon sujet? Allaient-ils me défendre ou allaient-ils dévoiler des choses qu'ils savaient sur moi? Pourquoi je ne l'affrontais pas aussi? Pourquoi je craignais... je craindrai. Et je crains...

Mercredi 30 mars 2011. Heure - 11:05

Dans un grand hall d'un centre commercial à Montréal, Genny et moi et mon portable transmettions un message fort attentionné et désiré.

Geneviève Dubois - Tu penses qu'elle va se brancher sur la webcam?

snorounanne - En toute évidence. (attendions le signal du contact)

Geneviève Dubois - Ça fait pas un peu prétentieux, tout ça. Et si on dérangeait?

snorounanne - Attends et regarde.

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 Surprise!

snorounanne - Tiens! Qu'est-ce que je t'avais dit? Bonne fête Céline! Tu nous vois bien? Est-ce que tu nous vois, premièrement?

Céline Dion - Hé! Allo ma snorounne! Pour une surprise, c'en est toute une. Et merci pour les beaux et bons souhaits, je viens de les lire. Oh! Oui, je vous vois. Tu... tu es avec ta copine?

snorounanne - Céline, je te présente ma copine, la femme de ma vie, Genny.

Geneviève Dubois - Heureux anniversaire, Céline et beaucoup de bonheur et du succès pleinement.

Céline Dion - Oh la la... merci Genny. Quel charmant plaisir de te voir. Vous faites un joli petit beau couple. (clin d'oeil) Alors?

snourounanne - Oui...

Céline Dion - Ben là... snorounne...

snorounanne - Ben là quoi?

Céline Dion - Ah... je te dis, elle... faut tout lui mettre dans le bec, dans les mains, sous les yeux. Les billets?

Geneviève Dubois - Elle te parle des billets, ma chérie.

Céline Dion - Ouais, des billets, des billets, tsé les billets?

snorounanne - (sortant d'une poche de mon manteau) Ces billets-là?

Geneviève Dubois - (grossissant ses yeux d'étonnement) Pour le spectacle de Céline à Las Vegas? Oui?

Céline Dion - P'tite snorounne, tu m'as fait peur. J'pensais que tu les avais perdus...

snorounanne - Nous irons, Genny et moi, voir ton show, samedi le 9 avril sans faute! Et mille fois merci!

Céline Dion - Mon cadeau pour votre union. (petit clin d'oeil)

Geneviève Dubois - C'est très apprécié, merci. Oh mon Dieu!  Nous allons à Las Vegas, je peux pas croire!

Céline Dion - Je vous attendrai toutes les deux. Et là, je dois aller veiller à mes deux chérubins. Je vous embrasse. Je t'embrasse fort, snorounne. À bientôt!

snorounanne - Profite de ton 43ième gâteau de fête et encore bonne fête, ma belle! Bye bye et merci d'être venue! (webcam éteint)

Geneviève Dubois - J'arrive pas à le croire! Las Vegas!

snorounanne - Moi non plus. Je pensais pas qu'elle l'aurait fait.

Geneviève Dubois - Quoi donc?

snorounnanne - Les billets, l'avion... l'hôtel...

Geneviève Dubois - Voyons, ma chérie, ça te démoralise tout d'un coup.

snorounanne - Qui dit Las Vegas dit grande robe de soirée... hen? Je pensais pas qu'elle l'aurait fait.

Geneviève Dubois - T'en fais pas. On se paiera toute une belle robe.

snorounanne - Bon sang que je déteste les grandes soirées mondaines...

Geneviève Dubois - Toi... toi, toi, ma p'tite cachotière adorée. (m'embrassant sur la joue) On est à Montréal. On est dans un grand centre commercial. Qu'est-ce que nous attendons pour commencer nos recherches? Allez, amène-toi! Ça va être de toute beauté.

snorounanne - (fermant le laptop) J'en reviens pas qu'elle l'a fait...

samedi 2 avril 2011. Heure - 19:23

Attablés en famille pour une deuxième fois avec ma tendre Genny, nous prenions le souper. Il y avait mes deux soeurs, Lise et Monique, son chum, Gaetan et le mari de ma soeur Lise, Normand. Puis, maman, Genny et moi. Un total de 7 pour un repas.

La discussion, eh bien, chez nous, les sujets sérieux tournent parfois drôles et exagérés. Chacun se relance, les répliques sont spontanées. Et les rires à se tordre. Et il y a que parfois, maman me jette un regard surpris pour ainsi alléger mes délires. Dans la famille, les trois soeurs savons rire et parfois, nous n'avons vraiment pas cette utilité d'ouvrir la bouche pour comprendre un signe, un signal, les éclats de rire et le fou rire sont automatisés.

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 La table familiale ou trois couples y figurent et notre maman, à l'honneur.

Voici la formation de l'équipe: Genny en façade, à sa droite, Gaetan, à sa gauche au bout de la table, mon beau-frère, Normand. Ma mère à l'autre extrémité, à sa droite, Monique, à la droite de Monique, Lise et moi, finalement. J'espère que je ne vous ai pas mêlé?

Mais... en dépit des éclats de rire, des fous rires, des jasettes sérieuses ou plus ou moins, une pensée voguait tous mes sens. Celle d'avoir perdue une amie. Une amie que je m'entendais bien, une kamarade avec un k, il n'y avait qu'elle et moi connaissant la raison du k... une copine du net. Une dame avec qui j'ai évoluée via l'internet, le clavardage et sur la messagerie messenger.

Je lui témoigne un hommage, le mien à ma façon. Je veux lui dire merci. Et rappeler aux gens comme elle me le rappelait occasionnellement quand on se visitait... elle me disait: prends bien soin de ta maman. On en a qu'une dans cette vie. Dis-lui "Je t'aime"

Merci Monique pour tous ces merveilleux moments de tendresse et d'ivresse en rire que nous avons partagés. Et pour t'honorer, j'ai trouvé une chanson. Je termine toujours l'éditorial avec une chanson découvrant tous les aspect des sentiments et des émotions du contenu de chaque éditorial. Alors, pour ceux et celles qui vivent un deuil de leur maman... ce n'est qu'un au revoir, n'oublions pas. Céline Dion chantera "Mama" 

À vous chers lecteurs, j'apprécie votre attention et votre régularité, si je peux m'exprimer ainsi. Bonne écoute et on se revoit à un prochain numéro. Merci d'être là. Bisous!

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J'embrasse ton âme, belle Monique (59 ans)


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