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IRVING, John, Dernière nuit à Twisted River, Le Seuil , 2011, 561 p.

Par Leojl53
Cette espèce de saga familiale, celle de la famille Baciagalupo (le baiser du loup), nous fait revisiter 50 ans d'histoire américaine (pas la grande, la quotidienne) à travers les récits anecdotiques de la vie de Dominic, le « cuistot »; Danny, le fils; Joe, le petit-fils; Ketchum, l'ami; Jane l'Indienne; Pack de Six; Charlotte; Amy Tombe du Ciel... C'est également le récit d'une fuite (on voyage beaucoup!) et de rencontres dans lequel on salive beaucoup avec les plats et les recettes du « Cuistot » italien. Danny, le fils écrivain reconnu, se livre, comme Irving, à une mise en abyme de son oeuvre romanesque qui est sa vie sans être sa vie : la fiction se nourrissant de la réalité sans être la réalité. Tout comme Irving et Danny, j'ai pu insérer quelques points-virgules dans ce compte-rendu. Même si l'on se perd quelque peu dans le cadre temporel, on s'attache aux personnages « baroques » de ce roman très bien écrit (traduit). C'était mon premier Irving !

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