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The Toxic Avenger 4

Publié le 27 avril 2011 par Olivier Walmacq

toxic_avenger_4

genre: trash, gore, comédie, inclassable (interdit aux - 16 ans)
année: 1999
durée: 1h50

L'histoire: A Tromaville, la mafia des couches culottes prend en otage des handicapés. Toxie, aidé de son amis, Gras du Cul, tente de les arrêter. Mais les malfrats déclenchent une bombe qu'ils ne peuvent désamorcer. Afin de sauver l'école de Tromaville, l'ami de Toxie va avaler la bombe alors que le Toxic Avenger s'enfuit avec deux jeunes handicapés.

la critique d'Alice In Oliver:

Suite des aventures du vengeur toxique dans ce qui reste le dernier chapitre de la saga. Bienvenue dans Toxic Avenger 4, toujours réalisé par Lloyd Kaufman. Alors, que dire de ce dernier chapitre ?
The Toxic Avenger 4 est probablement le volet le plus timbré de la franchise, à se demander ce qui traîne dans la tête de Lloyd Kaufman !
Clairement, le réalisateur est complètement dingue !

En vérité, The Toxic Avenger 4 est une sorte de grand bordel qui mélange gore, film d'horreur, fantastique, comédie, humoir noir et film érotique.
Impossible de ranger ce dernier opus dans une catégorie particulière... C'est clairement un film de barge, réalisé avec les moyens du bord.
D'ailleurs, cette série B n'est pas sans rappeler, par certains côtés, les premiers films de Peter Jackson. On pense surtout à Braindead.

Toutefois, Toxic Avenger 4 va encore plus loin. Définir ce dernier volet de la saga est totalement impossible ! Pour le scénario, c'est simple, c'est encore du grand n'importe quoi.
Sauf que Toxic Avenger 4 se veut nettement plus trash que les épisodes précédents. Vive le mauvais goût totalement assumé !
C'est vulgaire, rempli de rôts, de pets, de femmes à poil, de monstres improbables et de nichons !

Non là, sincèrement, Lloyd Kaufman frappe très fort. Certaines séquences sont franchement bien vues.
Cette fois-ci, le Toxic Avenger doit sauver quelques handicapés retenus en otage par un gang de voyous totalement décérébrés !
A partir de là, le film se permet toutes les exentricités: lesbianisme, héros impuissant, homme-vache, tête décapitée qui passe par le trou du cul d'un gros lard ahuri, vomi...
Bref, le spectacle présenté est totalement indescriptible mais fait preuve aussi d'une véritable inventivité dans le gore, le trash, le vulgaire assumé et l'humour pipi-caca.
Autant vous prévenir, le film est interdit aux moins de 16 ans mais impossible de ne pas rire aux éclats devant ce véritable ovni du cinéma.
Le meilleur chapitre de la saga.

Note: 16/20
Note nanardeuse: 19/20


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