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Supergirl

Publié le 07 mai 2011 par Olivier Walmacq

 supergirl

l'histoire: Un jeune homme est ensorcelé par la sorcière Selena pour qu'il tombe amoureux d'elle au premier regard. Malheureusement, la première femme sur qui il pose les yeux est Supergirl. Cette dernière déclenche alors la colère de la sorcière.

la critique d'Alice In Oliver:

Hum... le beau film qui pue bien du derche ! Et oui, en raison de l'énorme succès de Superman au cinéma, il était temps de réaliser un film sur les aventures de sa cousine, une blondasse nommée Supergirl.
De ce fait, Supergirl a exactement les même pouvoirs que Superman, à la seule différence que notre blondinette semble avoir du mal à inspirer les scénaristes américains. 
Par conséquent, l'histoire qui nous est proposée, est pour le moins indigente.

Dans Supergirl, le bad guy de service est une femme, plus précisément, une sorcière qui se fait appeler Selena. Cette dernière est tombée amoureuse d'un beau brun au regard d'ahuri permanent.
Elle lui jette un sort pour qu'il succombe à ses charmes de vieillarde neurasthénique. Mais pas de bol, la première femme qu'il croise se nomme Supergirl.
A partir de là, le film se transforme en un affrontement entre les deux protagonistes.

En même temps, cette production foireuse n'était pas gagnée d'avance. En effet, c'est Jeannot Szwarc qui réalise Supergirl, un cinéaste à qui l'on doit Hercule et Sherlock.
C'est dire la médiocrité de ce nullard, toujours prêt à vomir sur le cinéma. Pour le reste, Supergirl contient de nombreux défauts.
En dehors d'une absence totale de scénario, Supergirl a bien du mal à se démarquer de son cousin venu de la planète Krypton.

Quant aux acteurs, ils sont unanimement mauvais ! La pauvre Helen Slater incarne la blondinette niaise et ridicule: pas étonnant qu'on ne l'ait plus jamais revu au cinéma...
Pourtant, on retrouve tout de même quelques grands acteurs dans ce nanar de super héros: Peter O'Toole et Faye Dunaway qui devaient avoir probablement des factures à payer...
Inutile de préciser que le film fut un véritable échec commercial. Et c'est franchement mérité.

Note:

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