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Lettre de Spielberg à Lucas

Par Raoulvolfoni

Lettre de Spielberg à Lucas

En 1977 sort le premier épisode de la franchise Star Wars. L’effet est immédiat auprès du public et, quelques années plus tard, Star Wars est devenu cultissime pour nous tous.

A l’époque, celui qui tient le haut du Box Office depuis 1975 n’est autre que Steven Spielberg avec le très bon Jaws (Les Dents de la Mer). Son film est novateur dans l’approche technique, imparable sur le rythme du scénario et bien interprété – une réussite cinématographie et financière.

La critique de l’époque est unanime et les spectateurs vont donner un 100% à Jaws. Ce score chez Rotten est suffisamment rare pour le signaler.

Lettre de Spielberg à Lucas

Les recettes au Box Office vont suivre et Jaws deviendra le 7ème plus gros film générateur de recettes de l’histoire (en recettes ajustées).

Lettre de Spielberg à Lucas

Puis déboule dans les salles la bombe Star Wars en 1977. Georges Lucas ne se doute pas, à l’époque, de l’ampleur que prendra le phénoménal succès de cet épisode et de ceux qui suivront. D’ailleurs, la critique des spectateurs est loin d’être élogieuse au tout début et nombreux sont ceux qui n’adhèrent pas faute de saisir l’idée.

Lettre de Spielberg à Lucas

Le Box Office prend de l’ampleur crescendo pour atteindre finalement un score épique tellement peu égalé que Star Wars est le 2ème plus gros film en recettes de tous les temps.

Lettre de Spielberg à Lucas

Star Wars aujourd’hui est pour nous bien plus qu’un film, c’est une idée, comme la grandeur de Rome l’était à l’époque. Presque une vision, un bouleversement dans notre mode de consommation et un lifestyle. Star Wars est LE film qui a généré ce qui n’existait pas à l’époque, le merchandising.

Détrôné et très largement, Spielberg, loin d’être rancunier, écrira d’ailleurs une lettre à son pote Lucas pour le féliciter. En voici la copie.

Lettre de Spielberg à Lucas

Comme quoi, on peut être très pro, perdre et garder le sens des valeurs. C’est d’ailleurs un trait de caractère chez Spielberg, comme je vous l’avais déjà dit à propos de James Bond.


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