Magazine Cinéma

Full Contact

Publié le 18 juin 2011 par Olivier Walmacq

full_contact

genre: action (interdit aux - 12 ans)
année: 1990
durée: 1h45

l'histoire: François Gaultier, un trafiquant de drogues, est brûlé vif par un gang. Son frère, Lyon, se trouve dans la Légion Etrangère en Afrique du Nord où il va déserter pour rejoindre les Etats-Unis. Sur place, il fait la connaissance de Joshua, qui l'enrôle dans des combats clandestins.

La critique d'Alice In Oliver:

Il ne faudrait pas caricaturer Jean-Claude Van Damme (JCVD) à un acteur ayant sévi uniquement dans des nanars.
En effet, dans sa filmographie, on relève quelques bons films de baston. Indéniablement, Full Contact, réalisé par Shedon Lettich en 1990, est de ceux-là. Au niveau des influences, Full Contact n'est pas sans rappeler le Bagarreur, avec Charles Bronson.

full_contact

C'est presque un remake en fin de compte. Au niveau du scénario, peu ou prou de surprises. Attention, SPOILERS !
Le frère de Lyon Gaultier, François, un trafiquant de drogues, est brûlé vif par des voyous de passage. Apprenant la nouvelle, Lyon (JCVD) déserte la Légion Etrangère et part aux Etats-Unis.

Malheureusement, une fois sur place, Lyon apprend que son frère est mort, laissant derrière lui une femme et un enfant sans le moindre sou.
Lyon décide alors de sauver cette petite famille mais il doit trouver rapidement de l'argent. Sous l'influence de Joshua, Lyon participe à des combats clandestins.

full_contact_01

Que les choses soient claires, l'intérêt de Full Contact repose essentiellement sur ses séquences de baston, plutôt nombreuses au passage, mais parfaitement chorégraphiées. Autre qualité, Shedon Lettich se concentre sur ses personnages en présence. JCVD est franchement convaincant dans la peau de ce combattant prêt à tout pour sauver sa famille.

Même chose pour les personnages secondaires, certains ayant un vrai capital sympathie. C'est, par exemple, le cas de Joshua, en ancien boxeur blessé et handicapé après un combat qui a mal tourné.
C'est d'ailleurs l'avertissement qu'il donnera à Lyon pour sa dernière confrontation contre un certain Attila, un colosse qui tue tous ses adversaires.
Bref, on ne s'ennuie pas une seconde dans ce film de baston, efficace et parfaitement réalisé. Que demander de plus ?

Note: 14/20


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Olivier Walmacq 11545 partages Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Dossier Paperblog

Magazines