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Sibierski : « Newcastle, ma plus belle année »

Publié le 19 août 2011 par Yannc83

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Sibierski : « Newcastle, ma plus belle année »Antoine Sibierski, l'ancien milieu de terrain de Newcastle et Manchester City, s'est confié au site internet du magazine So Foot sur ses années anglaises. Extraits. Manchester City C’est Kevin Keegan qui vous appelle ! Ça ne se refuse pas. Puis c’est simple, je mets le nom des joueurs sur le papier : Anelka, Reyna, Given, McManaman, Fowler … L’équipe était loin d’être dégueulasse, puis jouer en Angleterre, c’est un rêve. Je suis un gars populaire, ça a compté dans mon choix aussi, City est un club populaire, j’aime le peuple. A Manchester, tu vois plus de bleu que de rouge. Battre United, c’est la chose principale pour les supporters, tu peux même aller jouer en Championship l’année suivante, les supporters ne t’en tiennent pas rigueur si tu tapes United. C’est extraordinaire. Après, j’ai peur que les supporters ne se reconnaissent plus, aujourd’hui, dans ce club, l’âme du club est en jeu même si je me réjouis de voir City en haut de l’affiche. Newcastle Le début a été compliqué, je suis venu gratuitement, ce qui n’est pas logique pour le supporter de Newcastle, tu dois coûter 10-11 millions d’euros pour valoir quelque chose à leurs yeux. Des joueurs dans le vestiaire lâchent même des : « Newcastle perd de son standing ». Mais j’ai mis tout le monde d’accord rapidement, au bout de deux mois, les supporters chantaient mon nom. C’est mon plus grand regret d’y être resté seulement une année, je jouais quand même avec Scott Parker, Emre, Milner, Owen, Martins…. Je serais resté s’il n’y avait pas eu un président incompétent, un de plus… Barton Joey était un peu foufou, il est plus mature maintenant. C’est un joueur de tempérament tout simplement. C’est une mentalité après... En Angleterre, l’engagement est total, c’est un défi qui touche l’orgueil pour un joueur d’aller récupérer le ballon dans les pieds adverses. Par exemple, Joey et Steven Gerrard sont très proches dans la vie, ils sont de la même ville et pourtant sur le terrain, les deux ne se connaissaient plus, ils ne se faisaient aucun cadeau : c’est le fighting spirit. Retrouvez l'intégralité de cet entretien sur le site de So Foot

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