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Rambo

Publié le 22 février 2008 par Vincent Gache

rambo


Hier je suis allé faire un petit tour dans les salles obscures et j’ai vu Rambo.
Alors je ne vais pas faire de comparaisons avec les précédents parce que je n’en ai plus beaucoup de souvenirs. Mais je dois dire que cet opus m’a bien plu. Disons que par rapport à mes attentes, le film les remplit très convenablement.

Je ne voulais pas me prendre la tête devant Rambo. Mission accomplie. L’histoire doit tenir sur une carte postale.

Je voulais voir un Superheros. Mission accomplie. Un petit superhéros de temps en temps ça n’ fait pas de mal. Ça permet de se détendre. Ça permet de rêver agréablement.

Je voulais voir de l’action et du sang. Mission accomplie. Ca pète, ça fume, ça pétarade, ça fuse dans tout les sens. Du vrai bonheur pour les yeux et les oreilles. Bon, les gens qui se font déchiqueter et éclater la tête un peu moins.

Je voulais voir tout ce qui fait les bons films d’actions : la testostérone, les flingues, les explosions, les blondes, les otages, les gros salauds, la jungle, les clichés. Mission accomplie. Sylvester Stallone, les beretas, les bombes, Julie Benz, Julie Benz et les autres, le colonel pédophile qui fume une clope tranquilou pendant les exécutions, la jungle de Birmanie, la blonde emprisonnée, le docteur cul serré, le militaire raciste avec un pois chiche dans la tête… Toute la panoplie y est.

Une bonne satisfaction ce Rambo vous dis je. D’ailleurs pendant le film je me suis laissé aller au jeu de Feyrtys (tout en bas) que je pratique couramment aussi. Et j’ai poussé le bouchon encore plus loin. Non seulement j’ai tenté de reconnaître les acteurs qui passaient à l’écran mais j’ai également recherché à quoi me faisaient penser certaines scènes. En vrac, j’ai reconnu :

Pour les acteurs, bon c’était fastoche : Julie Benz (Dexter) qui au passage à une voix de merde (un peu celle d’une minette qui a une envie pressante) et Paul Schulze (les Sopranos, 24, …).
Pour les scènes, j’y ai vu du Band of Brother, du Far Cry, du Deadwood et des Larmes du Soleil. Alors Sylvester, ai-je raison ?


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