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Roaarrr : Les Fauves d’Or

Par Mo

Roaarrr Challenge

Le Fauve d’Or : Prix du meilleur album, décerné au Festival d’Angoulême par un jury officiel, récompense l’album de bande dessinée jugé le meilleur parmi ceux publié en français depuis le festival précédent. Décerné pour la première fois en 1976, il a connu de nombreuses formules (prix unique, séparation des œuvres étrangères et françaises, séparation des œuvres réalistes et humoristiques) et dénominations (Meilleure œuvre, Alfred du meilleur album, Alpht-Art du meilleur album, Prix du meilleur album).

(Source : Wikipedia).

Alack Sinner, t.1 : Alack Sinner de Carlos Sampayo & José Muñoz (Le Square)

- 1978 : Meilleure Œuvre réaliste étrangère -

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Alack Sinner, t.2 : Flic ou privé de Carlos Sampayo & José Muñoz (Casterman)

 - 1983 : Alfred du meilleur album -

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Alix t.13 : Le Spectre de Carthage de Jacques Martin (Casterman)

 - 1978 : Meilleure œuvre réaliste française -

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Andy Capp, t.4 : Si c’est pas pire, ça ira ! de Reginald Smythe (Sagédition)

- 1977 : Meilleure œuvre comique étrangère -

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(L’) Autoroute du soleil de Baru (Casterman)

- 1996 : Alph-Art du meilleur album français -

Choco : « Plus dense, plus dur et malgré tout moins léger que son prédécesseur, l’album s’inscrit dans la lignée de ces albums sociaux dont Baru est désormais la marque de fabrique »,

Mo’ : « Un road-movie bien rythmé qui, au passage, aborde les thèmes du racisme, de l’amitié, des réseaux organisés et du passage à l’âge adulte »,

Vepug : « Cette BD est extrêmement violente. Les scènes sanglantes et les scènes sexuelles sont très présentes »,

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(Le) Baron noir de René Pétillon & Yves Got (Yves Got éditions)

- 1977 : Meilleure œuvre comique français -

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Basil et Victoria, t.2 : Jack de Yann & Édith (Les Humanoïdes Associés)

- 1993 : Alph-Art du meilleur album français -

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Bone, t.1 : La Forêt sans retour de Jeff Smith (Delcourt)

- 1996 : Alph-Art du meilleur album étranger -

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Boule et Bill t.14 : Ras le Bill ! de Jean Roba & Raoul Cauvin (Dupuis)

- 1978 : Meilleure œuvre comique étrangère -

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Cages de Dave McKean (Delcourt)

- 1999 : Alph-Art du meilleur album étranger -

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(Le) Cahier bleu, t.1 : Le Cahier bleu d’André Juillard (Casterman)

- 1995 : Alph-Art du meilleur album français -

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Calvin et Hobbes, t.1 : Adieu, monde cruel ! de Bill Watterson (Editions Hors Collection)

- 1992 : Alph-Art du meilleur album étranger -

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(Le) Canard qui aimait les poules de Carlos Nine (Albin Michel)

- 2001 : Alph-Art du meilleur album étranger -

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(Légende et réalité de) Casque d’or d’Annie Goetzinger (Glénat)

- 1977 : Meilleure œuvre réaliste française -

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(Le) Chemin de l’Amérique de Jean-Marc Thévenet & Baru (Albin Michel)

- 1991 : Alph-Art du meilleur album français -

Choco : « Sans montrer aucun combat, il réussit à aborder un sujet difficile en relatant de manière quasi documentaire un parcours d’importance »,

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Cinq mille kilomètres par seconde de Manuele Fior (Atrabile)

- 2011 : Prix du meilleur album -

KBD : « Sans concertations, le travail graphique de Manuele Fior a été salué par l’unanimité de notre groupe de lecteurs »,

Badelel : « Des sensations soulignées par un travail des couleurs original et vivant »,

ChezLo : « Un trait raffiné, des silhouettes légères. Beaucoup d’élégance dans l’art de peindre l’aquarelle »,

Choco : « J’attendais, qu’à cette histoire universelle qu’on a tous plus ou moins connu, un supplément d’âme qui n’est pas venu »,

Joëlle : « J’ai bien aimé le dessin mais je lui ai parfois quand même trouvé quelques défauts, souvent associés aux mêmes défauts que j’ai trouvé dans l’histoire : les personnages ne m’ont pas paru attachants ! »,

Lunch : « La réponse se trouve sûrement dans le traitement du récit, dans ce chassé croisé entre trois personnages qui se sont connus adolescents et qui vivent leur vie, ensemble et séparés à la fois »,

Mo’ : « Une histoire intemporelle qui parle du Premier Amour »,

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(Les) Cités obscures, t.2 : La Fièvre d’Urbicande de Benoît Peeters & François Schuiten (Casterman)

- 1985 : Alfred du meilleur album -

KBD : « Si la Fièvre d’Urbicande permet aux deux auteurs de créer une étonnante nouvelle cité, elle est aussi – et nos quatre chroniqueurs se rejoignent là-dessus – l’occasion de mener certaines réflexions sur les frontières qui nous séparent, et les ponts qui parfois se tissent bien malgré nous »,

Lunch : « Chaque album visite une ville différente, avec sa propre ligne architecturale et politique. Bien qu’évoluant dans le même monde, elles sont toutes très différentes, ce qui donne une succession de one-shots aux aspects sans cesse renouvelés »,

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(Le) Combat ordinaire, t.1 : Le Combat ordinaire de Manu Larcenet (Dargaud)

- 2004 : Prix du meilleur album -

Lunch : « On apprend du poids des mots, du silence qui suit… »,

Mo’ : « Ce que j’ai le plus apprécié, c’est le travail de fourmis que les frères Larcenet (Patrice à la couleur) ont fait afin de permettre une écriture à double vitesse »,

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Corto Maltese, t.1 : La Ballade de la mer salée d’Hugo Pratt (Casterman)

- 1976 : Meilleure œuvre réaliste étrangère -

KBD : « L’ensemble des blogueurs ayant participé à cet article est unanime, Corto incarne l’image de l’aventurier charismatique, intelligent, charmeur avec ce côté sarcastique qui est un petit plus indéniable »,

Badelel : « Si comme moi, vous avez lu des Corto sans en apprécier la saveur, suivez mon conseil : lisez La ballade de la mer salée, car le héros de Hugo Pratt prend toute sa dimension et son intérêt dans cet album »,

Lunch : « Mais il y a pleins de protagonistes secondaires qui ont tout autant de charisme et qui mériteraient qu’on parle d’eux : le lieutenant Slütter par exemple… »,

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Couma acó d’Edmond Baudoin (Futuropolis)

- 1992 : Alph-Art du meilleur album français -

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Fax de Sarajevo de Joe Kubert (Vertige Graphic)

- 1998 : Alph-Art du meilleur album étranger -

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(La) Femme du magicien de Jérôme Charyn & François Boucq (Casterman)

- 1986 : Alfred du meilleur album français -

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Gai-Luron, t.2 : Gai-Luron en écrase méchamment de Gotlib (Audie)

- 1976 : Meilleure œuvre comique française -

Joëlle : « On peut voir l’évolution du dessin noir et blanc avec un Gai-Luron méconnaissable au début et le pire, c’est qu’on le voit rire, chose impensable et surprenante ! »,

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Gazoline et la planète rouge de Jano (Albin Michel)

- 1990 : Alph-Art du meilleur album français -

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(Le) Génie des alpages, t.3 : Barre-toi de mon herbe ! de F’Murrr (Dargaud)

- 1978 : Meilleure œuvre comique française -

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Gens de France de Jean Teulé (Casterman)

- 1989 : Alph-Art du meilleur album français (ex-aequo) -

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(L’) Histoire du Corbac aux baskets de Fred (Dargaud)

- 1994 : Alph-Art du meilleur album français -

KBD : « Conte moderne et absurde heurtant un peu plus les esprits, chacun de nous aura été frappé à des niveaux différents par la qualité de cet album, sans aucun doute l’une des grandes œuvres des années Fred »,

David : « Il y a tout un plaisir de l’écriture, une volonté de montrer que la bande dessinée est avant tout un art narratif avant d’être un art uniquement graphique »,

Lunch : « Les dessins de Fred évoluent selon la circonstance, alliant la sobriété et le dépouillement de certains rêves aux richesses décoratives démesurées du palais de la Baronne »,

Mo’ : « Le ton est donné, l’absurdité de l’univers n’est pas niée au contraire, Fred le Poète joue avec les mots et le comique de situation »,

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Ibicus, t.2 : Livre 2 de Pascal Rabaté (Vents d’Ouest)

- 2000 : Alph-Art du meilleur album français -

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Isaac le pirate, t.1 : Les Amériques de Christophe Blain (Dargaud)

- 2002 : Alph-Art du meilleur album -

KBD : « Cependant, et tant pis si le rédacteur de la chronique sort de sa réserve, Isaac le pirate apparaît encore comme une œuvre originale, par cette envie de raconter les choses d’une manière différente »,

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Jack Palmer, t.12 : L’enquête corse de René Pétillon (Albin Michel)

- 2001 : Alph-Art du meilleur album français -

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Jimmy Corrigan de Chris Ware (Delcourt)

- 2003 : Alph-Art du meilleur album -

Joëlle : « Mais l’histoire familiale est devenue de plus en plus nette au fil de ma lecture et il est difficile de ne pas s’émouvoir pour le pauvre Jimmy, qui semble enfermé dans son monde clos abandonné de tous »,

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Jonas Fink, t.1 : L’Enfance de Vittorio Giardino (Casterman)

- 1995 : Alph-Art du meilleur album étranger -

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Jonathan, t.7 : Kate de Cosey (Le Lombard)

- 1982 : Alfred du meilleur album -

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Jonathan Cartland, t.8 : Les Survivants de l’ombre de Laurence Harlé &  Michel Blanc-Dumont (Dargaud)

- 1988 : Alph-Art du meilleur album français -

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Là où vont nos pères de Shaun Tan (Dargaud)

- 2008 : Prix du meilleur album -

KBD : « Au final, nous nous rassemblons tous derrière cet ouvrage majestueux qui compte 128 planches de crayonnés d’une grande qualité »,

Badelel : « Dans tous les cas, si certaines caractéristiques fixent la BD dans un lieu et une époque (…), elle reste intemporelle et imaginaire (créatures, objets, écriture qui n’existent pas) »,

ChezLo : « Les dessins sont extraordinairement aboutis, nuancés de lumière, aux teintes sépia, aux contours cotonneux »,

Enna : « Surprise tout d’abord par l’absence de texte, mais très vite je me suis laissée emporter par la poésie et le réalisme de cette histoire »,

Joëlle : « L’ensemble a ainsi un petit côté intemporel et universel, qui permettra sûrement à cet album de traverser le temps en gardant toute sa puissance »,

Lunch : « L’auteur nous fait rentrer dans la peau du personnage en nous faisant vivre une aventure humaine merveilleuse, en plongeant le lecteur dans un monde imaginaire, dans lequel il perd tous ses repères… »,

Mo’ : « Shaun TAN a su trouver un langage universel pour dépeindre le bouleversement provoqué par un départ à l’étranger »,

MrZombi : « Cet album est un fantastique hommage muet à tous ces gens qui ont décidé de tout quitter et de partir dans un pays étranger dans l’espoir de pouvoir y vivre une vie meilleure pour eux et leur famille »,

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Léon la came, t.2 : Laid, pauvre et malade de Sylvain Chomet & Nicolas de Crécy (Casterman)

- 1998 : Alph-Art du meilleur album français -

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Manuel Montano de Fernando Luna & Miguelanxo Prado (Casterman)

- 1991 : Alph-Art du meilleur album étranger -

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Marcel Labrume, t.2 : À la recherche des guerres perdues d’Attilio Micheluzzi (Les Humanoïdes Associés)

- 1984 : Alfred du meilleur album -

Mo’ : « La trame narrative, en se basant sur des faits historiques, offre donc un décor intéressant pour ce ce héros sombre et cynique »,

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Maus, diptyque d’Art Spiegelman (Flammarion)

- 1988 : Alph-Art du meilleur album étranger pour le tome 1-

- 1993 : Alph-Art du meilleur album étranger pour le tome 2-

KBD : « Bouleversant, formidable, œuvre essentielle, humaniste, universelle, un témoignage qui devrait figurer dans toutes les bibliothèques et dans les programmes scolaires, un récit magistral, troublant, magnifique, incontournable, rare et précieux, qui nous fait nous sentir un peu plus humain »,

Emmyne : « C’est cette intransigeance de l’auteur qui ne s’accorde – ne nous accorde -  aucune concession, la sobriété de son récit qui fait la force de Maus« ,

Joëlle : « L’utilisation d’animaux pour représenter les différentes nationalités est déroutante au début mais au final, elle se révèle parfaitement adaptée »,

Lunch : « Pour autant, moi qui m’attendais à une lecture difficile, laborieuse et complexe, j’ai été très agréablement surpris : Art Spiegelman n’a pas seulement raconté l’holocauste, il a développé une véritable dynamique de récit par le biais de sa relation père-fils »,

Mo’ : « Le lecteur découvre à la fois un récit intimiste et un témoignage historique d’une grande portée »,

MrZombi : « En plus de conférer plus de force au récit, le fait d’avoir choisi des animaux pour représenter les personnages fait directement référence à la propagande nazie, puisqu’ils représentaient les juifs par des souris (nuisibles…etc.) et les polonais par des cochons »,

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Monsieur Jean, t.4 : Vivons heureux sans en avoir l’air de Philippe Dupuy & Charles Berberian (Les Humanoïdes Associés)

- 1999 : Alph-Art du meilleur album français -

ChezLo : « Entre humour, réflexions, poésie, l’histoire mêle réalisme et rêve avec ce tableau très particulier qui sera un cadeau de mariage incompris »,

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NonNonBâ de  Shigeru Mizuki (Cornélius)

- 2007 : Prix du meilleur album -

KBD : « Cette œuvre nous fait passer du rire aux larmes et les passages lyriques renforcent l’implication du lecteur dans cet univers (..). C’est assez rare de constater un engouement unanime d’autant que nous sommes 7 lecteurs aux goûts assez éclectiques »,

Badelel : « Mizuki présente clairement ce manga comme traitant de son enfance, tout en présentant ses aventures avec les Yokai comme des faits réels »,

Joëlle : « On découvre un Shigeru qui grandit, bercé par les histoires de NonNonBâ mais qui grandit aussi face aux tragédies de la vie quotidienne, qui sont abordées subtilement »,

Lunch : « L’éducation, c’est vraiment un principe fondateur de ce manga. Il en est question en permanence »,

Mo’ : « Malgré le poids des traditions et des croyances populaires, il en ressort réellement un certain amour de la vie et une douceur de vivre »,

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Notes pour une histoire de guerre de Gipi (Actes Sud)

- 2006 : Prix du meilleur album -

OliV’ : « Gipi réfléchit donc sur le libre-arbitre. Ces garçons de 17 ans qui ont une arme et s’en servent sont-ils des victimes infantilisées à soigner ou de jeunes adultes qui savent parfaitement où ils vont, et avec qui il faut parler franchement, d’égal à égal ? »,

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Paracuellos de Carlos Giménez (Audie)

- 1981 : Alfred du meilleur album (ex-aequo) -

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Pascal Brutal, t.3 : Plus Fort que les Forts de Riad Sattouf (Audie)

- 2010 : Prix du meilleur album -

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Passage en douce d’Helena V. Klakocar (Fréon Editions)

- 2000 : Alph-Art du meilleur album étranger -

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(Les) Peaux-Rouges, t.1 : Les Maîtres du tonnerre d’Hans Kresse (Casterman)

- 1977 : Meilleure œuvre réaliste étrangère -

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Pinocchio de Winshluss (Les Requins Marteaux)

- 2009 : Prix du meilleur album -

KBD : « Winshluss a eu le droit à foule de compliments sur les différents blogs des chroniqueurs »,

Choco : « Pinocchio s’avère un spectateur muet de la décadence de notre monde. Winshluss énonce ici une sacré critique de nos sociétés menées par la guerre, le vice et l’appât du gain avant tout »,

Lunch : « Pour porter son histoire, Winshluss nous présente un récit qui se passe la plupart du temps des mots. Les cases se succèdent et se suffisent à elles-mêmes »,

Mo’ : « Un lieu où les 7 péchés capitaux ont tout loisir de s’exprimer ouvertement »,

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Poulet aux prunes de Marjane Satrapi (L’Association)

- 2005 : Prix du meilleur album -

ChezLo : « Je l’ai trouvé très bon ce poulet aux prunes, relevé de malice et d’humour, saupoudré de rêveries et de souvenirs »,

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Qui a tué l’idiot ? de Nicolas Dumontheuil (Casterman)

- 1997 : Alph-Art du meilleur album français -

Mo’ : « Très jolie descente en pente douce vers la folie, ce livre nous livre à un monde à la morale parfois dérangeante »,

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Silence de Comès (Casterman)

- 1981 : Alfred du meilleur album (ex-aequo) -

KBD : « Pour beaucoup Silence est une critique du genre humain avec son flot d’insanités, de dérives et de perversité »,

Mo’ : « Le récit fait s’opposer religion et superstition sans tomber dans la caricature »,

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(Le) Silence de Malka de Jorge Zentner & Ruben Pellejero (Casterman)

- 1997 : Alph-Art du meilleur album étranger -

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Théodore Poussin, t.3 : Marie-Vérité de Frank Le Gall (Dupuis)

- 1989 : Alph-Art du meilleur album français (ex-aequo) -

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Torpedo, t.4 : Chaud devant ! Enrique Sanchez Abuli & Jordi Bernet (Albin Michel)

- 1986 : Alfred du meilleur album étranger -

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Trait de craie de Miguelanxo Prado (Casterman)

- 1994 : Alph-Art du meilleur album étranger -

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Tribu terrible (La) de Gordon Bess (Le Lombard)

- 1976 : Meilleure œuvre comique étrangère -

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Un Été indien d’Hugo Pratt & Milo Manara (Casterman)

- 1987 : Alfred du meilleur album étranger -

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V pour Vendetta d’Alan Moore & David Lloyd (Zenda)

- 1990 : Alph-Art du meilleur album étranger -

KBD : « Car ce qui frappe dans ce récit c’est sa profondeur, sa richesse et tous les questionnements qu’il nous apporte sur notre société mais aussi sur nous-même »,

Badelel : « V pour Vendetta est une critique des médias, objets de pouvoir du fascisme politique. C’est une sorte de 1984 de la bande dessinée à la fois post-apocalyptique »,

Joëlle : « Il met aussi en avant le courage nécessaire pour s’élever contre un régime répressif et comment ce courage peut être trouvé en soi »,

Lunch : « Les croisements sont tellement parlants. Ces image du tout début de l’album, ces premières pages, vous vous en souvenez ? Tout est minutieusement pensé. Le scénario est parfaitement huilé »,

Mo’ : « V pour Vendetta est tout bonnement diabolique »,

MrZombi : « Le dessin de Lloyd accompagne à merveille le récit (même si tout le monde n’accrochera pas forcément), je trouve qu’il retranscrit bien toute l’horreur du quotidien dans une société totalitaire »,

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(Le) Vagabond des Limbes, t.2 : L’Empire des soleils noirs de Christian Godard & Julio Ribera (Hachette)

- 1976 : Meilleure œuvre réaliste française -

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Vic Valence, t.1 : Une Nuit chez Tennessee de Jean-Pierre Autheman (Glénat)

- 1987 : Alfred du meilleur album français -

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Watchmen (Les Gardiens) d’Alan Moore & Dave Gibbons (Zenda)

- 1989 : Alph-Art du meilleur album étranger -

Joëlle : « Submergée par des détails, des descriptions, des histoires parallèles, j’ai trouvé l’ensemble touffu et un peu trop long »,

Mo’ : « Quant au scénario, je n’ai qu’un mot pour le définir : splendide ! Il recourt à de nombreux allers et retours passé/présent pour aider à la compréhension de la construction des personnages »,

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