Magazine Cinéma

D.a.r.y.l.

Publié le 13 septembre 2011 par Olivier Walmacq

Daryl

Genre: science fiction  
année: 1986
durée: 1h45

l'histoire: Suite à un accident de voiture, un gamin, Daryl, est retrouvé amnésique au bord de la route par un couple, les Richardson. Ces derniers accueillent l'enfant dans leur foyer. Les extraordinaires capacités physiques et intellectuelles de Daryl font bientôt l'objet d'un article dans la presse locale. 

La critique d'Alice In Oliver:

Parmi les jeunes gosses célèbres avant l'heure, et qui ont totalement disparu de la circulation par la suite, le cas le plus connu se nomme Macaulay Culkin (mon dieu, qu'es-tu devenu ?). Mais un autre acteur peut se targuer (ou non) d'appartenir à la même catégorie: j'ai nommé Barret Oliver.
Le jeune bambin s'est fait remarquer dans L'histoire sans Fin, un très bon film fantastique qui connaîtra un immense succès.

Barret Oliver accède alors au statut de star. Il était donc logique que Simon Wincer fasse appel à ses services pour jouer dans D.A.R.Y.L. (Data Analysis Robot Youth Lifeforce), réalisé en 1986.
Clairement, ce film de science fiction est avant tout un drame familial. Attention, SPOILERS !

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Un jeune gamin amnésique, Daryl, est retrouvé par le couple Richardson au bord de la route. En dehors de son nom, le jeune bambin, ne se souvient de rien.
Mais peu importe, les Richardson l'accueillent sous leur toit, et Daryl ne tarde pas à sympathiser avec le jeune fils de la famille.
Très vite, Daryl se fait remarquer à l'école et auprès de ses camarades. Premièrement, ses capacités intellectuelles semblent illimitées puisqu'il en sait plus que son professeur d'histoire/géographie.

Ensuite, c'est un véritable athlète, capable d'envoyer une balle de baseball à plusieurs centaines de mètre dans les airs.
Très vite, ses facultés exceptionnelles sont relayées par la presse locale et intéressent tout particulièrement l'armée. La vérité ?
Daryl n'est pas un véritable enfant. Tout du moins, ce n'est pas un enfant biologique, mais un robot.

daryl

Voilà alors que le jeune mioche pique sa crise d'identité ! Comment accepter cet état de fait ? Peut-il être considéré comme un être humain à part entière malgré ses particularités physiques ?
Autant de questions peu passionnantes abordées par ce petit nanar. Reste un mauvais film sympathique qui pourra éventuellement séduire le jeune public, voire ceux qui seront nostalgiques des années 80, ou encore les fans de Barret Oliver (soit deux personnes dans le monde).

Note: 06/20 (et c'est sympa !)
Note nanardeuse: 13/20


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