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Le plus mauvais Président: Texte complété

Publié le 13 septembre 2011 par Jpryf1

Y a-t-il eu un plus mauvais Président dela République que Sarkozy ? Je ne le crois pas et c’est pourquoi je publiece texte. Je n’ai pas tout aimé, loin s’en faut, de ce qu’ont accompli GeorgesPompidou, Valéry Giscard D’Estaing, Chirac dont je n’étais pas du même bord, etmême  François Mitterrand que je soutenais. Tous ont eu leur partd’ombre et  il y eut  des épisodes peu glorieux : lesdiamants de Giscard, les nombreuses « affaires » de Chirac, lesécoutes téléphoniques de Mitterrand, mais tous cependant ont dans l’ensembledirigé dignement la France sans opposer les français les uns aux autres et sansabaisser, à l’étranger, l’image de leur pays et de leur fonction.Ce n’est pas le cas de Sarkozy, loins’en faut !Je ne suis pas le seul à partager cetteopinion. Il suffit de regarder et d’étudier les sondages publiés tout au longde sa présidence. Il a aujourd’hui atteint le plus bas niveau de tous lesprésidents de la V° République et même s’il faut ne pas se fier aveuglément auxsondages, leur constance est significative.Mais le temps, et peut-être encore plusde nos jours à l’heure de la communication instantanée et rapide, passe vite etentraîne dans sa fuite une grande part d’oubli. Les français gardent en eux une« impression » sur ce Président mais ils ont, tout cela n’étant pasnécessairement leur priorité, oublié pourquoi ils ont cette mauvaiseimpression, par quoi ils ont été choqués et je veux donc rafraichir lesmémoires en rappelant, non pas tout, ce serait fastidieux, mais quelques unesdes politiques qu’a mené ce président et qu’avec de nombreux français, pasnécessairement des socialistes ou des gauchistes j’estime qu’elles ont abîméesla France et son image dans le monde.Dans le fond ce qui a frappé lesfrançais c’est avant même les décisions, le style de ce Président dont ses amisont dit, pour le soutenir, qu’il était à l’image du pays rajeuni et proche ducitoyen d’aujourd’hui. Le style c’est l’homme.La réalité est qu’un président n’a pas àse rabaisser pour être, prétend ton, à la hauteur de son peuple, mais qu’ildoit avoir pour exigence de s’élever et d’élever son peuple. Mais soyonsclairs, ce n’est pas du tout une volonté d’être proche du peuple que le présidentest tel qu’il est, c’est une façon d’être, celle que je ne supporte pas uninstant, faite d’une familiarité factice avec un discours de  « bateleur de foire », truffé de fautes de français, de mimiques se voulantcomplice avec l’auditeur au point de se laisser aller à l’insulte avec le tropfameux « casse toi pov’ con ». On lira avec intérêt le livredeNicolas Domenach et Maurice Zafran Il fallait voir aussi le ridicule qu’ilse donnait en tentant de faire filmer sa proximité exubérante avec les autreschefs d’états qui, pour certains ressentaient assez mal cette familiarité demauvais aloi.  Il est vrai que ce président, même s’ila  tenté de se rattraper, n’avait que mépris pour « la Princessede Clèves » c'est-à-dire pour ce qui fait, en partie, le génie français,la littérature.Pour rester sur ce style on mentionnerapour mémoire la qualité de sa réflexion qui la conduit, après avoir été élu, auFouquet s et sur le Yacht de son ami milliardaire Bolloré. Cela commençait bienmal alors que les français qui l’avaient élu étaient eux dans la difficulté. Onme dira sans doute, c’est ancien et c’est anecdotique. Pas tant que celapuisque cette proximité inappropriée avec les grandes fortunes a dicté à cePrésident des décisions sur lesquelles je reviendrai plus longuement et qui ontmanifestement avantagé ceux qui avaient déjà beaucoup au préjudice de ceux quiconnaissaient des difficultés.Je placerai aussi dans le « style » ce qui est apparu comme une tendance forte de ce Présidentla tendance à favoriser ses proches au mépris des règles de droit ou deconvenance. En ce qui concerne son fils et sa tentative de la placer, contretoutes raisons, à la tête de l’Etablissement de la Défense, jeune et sansaucune expérience ou diplôme, il a sous la pression de l’opinion publiquereculer. C’est heureux mais la faute politique était commise et l’on a vu,alors le spectacle absolument affligeant de ses amis soutenir d’abord, comme unseul homme, la nomination du fils, puis lors du recul du Président lui emboîterle pas de même manière servile et sans honneur !Mais sur ce terrain du favoritisme au méprisde la compétence et des règles, rien n’atteint me semble t-il le cas de lanomination du fils Tiberi. Malgré l’avis unanime de la Commission chargé dedonner un avis sur le recrutement qui a clairement indiqué que le fils Tiberin’avait pas les compétences nécessaires, il a tout de même été nommé. C’estscandaleux et dénote un mépris des règles et la gestion des nominations à lamanière d’un clan.Que l’on songe également au taritementpurement et simplement sacndaleux de l’affaire Tapie .

Toujours dans ce domaine les français sesouviendront comment il a, chaque fois, soutenu ses ministres embourbés dansdes affaires peu reluisantes. Que n’a-t-il exprimé sa confiance à Woerth, cet« homme honnête » pour le débarquer à la première occasion. Quen’a-t-il soutenu Alliot-Marie dont on se souvient des vacances tunisiennes etde sa proximité avec  un proche du clan Ben Ali. On se souvient de sagestion calamiteuse- et pour cause- de la révolte des tunisiens. Eh bien lePrésident l’a soutenu alors que l’image de la France était totalement dégradée.Il l’a soutenait pour, on, ne pas donner  raison à l’opposition. Cetteposition était pour le moins contre productive pour Sarkozy car en protégeantAlliot-Marie il prenait la faute a son compte. Et il a fallu qu’il en vienne làou il aurait dû commencer : se séparer d’Alliot-Marie. Les français luiaurait été reconnaissants, je pense, de prendre chaque fois dans ces cas dessanctions. Certes il aurait donné raison à l’opposition. Et alors quand elle araison ! Et il en serait sorti a peu prés indemne, alors qu’il a toujoursagi a contre temps.Tout ce que je viens de simplementrappeler paraîtra peut-être à certains anecdotique. Passons donc maintenant àl’examen des politiques qu’il a menées. Je soutiens qu’elles ont fait du tortau pays et qu’elles ont été, le plus souvent, le fruit d’un comportementimpulsif et irréfléchi. Il s’est comporté comme le citoyen lambda, accoudéà un bar pour prendre son café et qui, péremptoirement, refait le monde dans unpropos définitif.Mais ce qui  est admissible du citoyen de base nel’est absolument pas, on me l’accordera, de celui qui se veut le Président dela République.Commençons par ce qui est un marqueur deSarkozy : la sécurité qu’il a promis de donner aux français. A-t-ilréussi ? Chacun le jugera. En tous cas il ne s’est pas privé de« coup de menton » martiaux. On allait voir ce qu’on allait voir. Ilallait terrasser l’insécurité. A chaque fait divers, on a entendu le mêmediscours martial, la promesse-elle ne coûte pas grand-chose de nouvelles lois,mais ce que les français peuvent constater s’ils veulent bien s’en donner lapeine c’est que dans le même temps le gouvernement supprimait des policiers,fermait dans beaucoup d’endroit des services publics qui créaient du liensocial et dont la disparition créait mécaniquement de l’insécurité.Les statistiques enfin-  à quiil faut l’admettre on fait dire un peu n’importe quoi- démontrent que sicertains délits diminuaient les violences augmentaient.De toute manière il est clair, pour desgens raisonnables, que la seule approche répressive ne pouvait éliminer toutecette violence. Certes les policiers ne sont pas comme il l’a dit « desassistantes sociales » mais sans un effort dans le domaine social, il estclair que la sécurité ne sera pas au rendez vous et ce n’est pas en promettantune loi à chaque faits divers, sans donner d’ailleurs les moyens et même letemps de l’appliquer que le problème de l’insécurité sera résolu.Sarkozy n’a d’ailleurs pashésité avec samajorité sous pretexte de sécurité de porter gravement atteinte aux principesessentielles de notre République. Le Conseil Constitutionnel  dans une décisionsans précédent a mis à néant nombre de mesures prises à la va vite, sansreflexion et attentoire aux libertés. Du jamais vu mais qui montre les dérivestrès dangereuses de ce pouvoir au relent vichyste.

Quand la Cour des Comptes, haute juridiction,  dans un rapport documenté met en cause lapolitique de sécurité suivie par Sarkozy,on assiste a une situation sansprécédent :le Minsitre de l’Intérieur et 70 députés de l’UMP attaque  l’impartialité de la haute Juridcition sansque Sarkozy ne réagisse. Autrement dit lorsque sa politique est sévérementcritiqué il accepte que l’on s’en prenne aux institutions de la république, cequi est particulièrement grave et montre qu’une nouvelle fois il sort de sonrôle et les magistrats de la Haute Juridiction sont obligé de défendre leur indépendanceEn réalité il n' y a eu que des mots et voici ce que Sarkozy a fait de son discours de Grenoble
En réalité la politique menée en ce domaine est une vasteescroquerie comme le montre très bien l’article de Serge Bramly dans le Nouvel Observateur
Assez lié à ce problème de la sécuritéil faut revenir sur l’attitude gravement fautive de Sarkozy à l’égard del’institution judiciaire.La Justice dans un état de droit, dansune démocratie est une institution absolument essentielle qui doit à la foisêtre dotée de moyens de fonctionner correctement, qui doit être respectée etqui doit être indépendante. Le Président de la république est garant du bonfonctionnement des institutions et, en l’occurrence, de la Justice. Or sur ceterrain Sarkozy, je le dis avec gravité, à méconnu les devoirs de sa charge enportant atteinte  de manière grave et répétée à cette institution.Il ne lui a pas  tout d’aborddonné les moyens suffisant pour un fonctionnement correct. Il faut rappelerseulement qu’en matière de justice le budget classe la Franceau  rang Européen. Mais en ce qui concerne ce grief je neserai pas juste si je n’ajoutais que Sarkozy n’a, hélas, que suivi ici lecomportement de ses prédécesseurs.Par contre et là il est seul coupable,il a volontairement dévalorisée l’image de la justice par démagogie etpopulisme et il a tenté de porter atteint, ce qui est gravissime, à sonindépendance en voulant supprimer le juge d’instruction , en confiant, dans desaffaires sensibles, l’enquête  au procureur non indépendant ( affaire Bettencourt tout a fait emblématique) pour ne revenir au juge d’instruction quesous la pression de l’opinion.
Il a également  dévalorisé lajustice en  faisant croire  que les juges étaient laxistes,ce que toute étude sérieuse dément clairement et en proposant de manièrepopuliste , sans réflexion véritable, sans étude de faisabilité, d’adjoindre àses juges laxistes des jurés citoyens qui ,eux sauraient se montrer à lahauteur !Toutes ses propositions (suppression du juged’instruction,  jurés en correctionnel) l’ont toujoursété  sur un coup de tête, improvisé et dans aucune réflexion de fond.Ainsi la suppression du Juge d’instruction a été jetée dans un discours devantla Cour de cassation, sans que personne n’ai, au préalable étudié sereinementla question. C’était un « coup » et c’est resté un « coup !Est-ce ainsi que l’on gère un grand corps, essentiel pour la démocratie ?C’était d’ailleurs si improvisé que la suppression du juge d’instruction parexemple, après le coup de clairon de Sarkozy, est vraisemblablement abandonnéealors que de vraies réformes  de la procédure pénale seraientnécessaires mais dans le calme et la sérénité.Vous pourriez medire : « vous êtes de parti pris » tout ce que fait Sarkozyest mal et ne trouve pas grâce à vos yeux. Je vous dirai simplement que lorsquel’un des plus haut magistrat du pays, le Procureur général Nadal, genre depersonne qui ne nous ont pas habitué à être des révolutionnaires permanents,prend la peine dans un discours solennel de faire  les plus gravescritiques que l’ont ait jamais entendu, lorsque les magistrats ,peu habitués àce genre de manifestations, font grève et soulignent le mal que fait Sarkozy àl’institution, c’est qu’il y a un réel problème et qu’il faut, au contraire,être un de ses soutiens indéfectibles de Sarkozy pour ne pas le voir et pour nepas réagir.Et vous pouvez lire aussi ce qu' en pense une journaliste spécialisée qui aconsacré un livre à ce sujet : « Le justicier »

Et aussi cette synthèse claire dans Liberation :

Il en est allé exactement de même dansle domaine de la diplomatie française et là encore des diplomates ont pris lapeine de crier au secours et de critiquer fortement la diplomatie du Présidentqui selon eux abaissaient la France. Je dois à la vérité de dire que, d’autresdiplomates, ont au contraire prétendu que cette diplomatie était efficace. Jecrois qu’ils se trompent gravement et je ne donnerai que quelques exemples surlesquelles je vous appelle à méditer.Toujours avec cette même démarcheimpulsive et irréfléchie, Sarkozy a crée un beau jour l’Union pour laMéditerranée, sans aucune concertation avec l’Europe qui avait travaillésur cette question avec le processus de Barcelone. La démarche était déjàanormale quand on se dit Européen. Mais elle était, par ailleursparticulièrement irréfléchie puisque mettre ensemble de nombreux pays arabes etIsraël dans le contexte qui était celui du moment était erreur vouée àl’échec et cela n’a pas manqué.Ai-je besoin de rappeler l’échec énormede l’attitude de la France devant les révolutions en Tunisie et enEgypte ? Demander aux tunisiens ce qu’ils en pensent. Certes cette erreurqui a consisté à soutenir des dictatures au prétexte qu’elles nousgarantissaient de l’islamisme était une erreur très répandue, mais devant onaller jusqu'à ces marques d’amitié et d’estime qui ont et donné aux Ben Ali,Moubarak et à Kadhafi lors d’une visite honteuse en France ? Certes il s'est rattrapé en prenant des initiatives pour faire tomber ce tyran.Enfin  et toujours en raisonde cette impulsivité Sarkozy a-t-il par ces mouvements d’épaules aider en quoique ce soit la française Florence Cassez et y avait il une raison de mettre àterre les relations avec le Mexique. N’eut-il pas mieux valu, en ce domaine,une diplomatie discrète ? Certainement mais Sarkozy n’aurait pas pu fairele coq devant les télévisions et flatter les instincts bassement vengeurs decertains français. En tous cas c’était totalement improductif et ce n’étaitdonc que du cinéma. Est-cela que l’on attend d’un président ?
Je considère enfin que le suivisme desEtats-Unis et surtout ce qui a été le cas de Georges Bush a été une erreur etavec elle la guerre d’Afghanistan.Voici la carte des erreurs de Sarkozydans le monde étable, c’est vrai par le parti socialiste, mais les socialistesne disent pas toujours des bêtises :Les français ne sont pas dupes et considèrent qu’effectivement Sarkozy a abaissé l'image de la France dans le monde.Et en ce qui concerne l’école a-t-on déjà vu de tels mouvements de protestation ? A-t-on vu des enseignants, des proviseurs renvoyer leurspalmes académiques ?Et en matière économique et fiscale la politique de Sarkozy,profondément injuste socialement et innefficace n’a été qu’un longue suite derennoncement. Certains diront que tout cela est dûeà la crise. Elle a bon dos.En réalité c’était ,je le répéte une politqiue injuste et totalement inefficaceet il a bien fallu que le pouvoir s’en rende’ compte et y renonce. Il l’auraitfait simplement un peu plus tard en l’absence de crise. On lira avec intérêt lasuite des renoncements successifs a propos de la loi TEPA qui constituait la« garnde œuvre » de Sarkozy.Et encore ce rapport accablant Ne parlons pas des promesses non tenues , par exemple , en matière delogement et cela en dépit de déclaration péremptoires et définitives
La pauvreté s’est accrue pendant cette périodeainsi que l’établit les études de L’INSEE et les constatations de tous lesorganismes caritatifs.Abordons maintenant la partie la plus scandaleuse de sapolitique, son populisme de bas niveau visant à prendre des voies au FrontNational en caressant ces même thèmes, en flattant les pires reflexes decertains français et en divisant lui qui devrait unir., ouvrant la voie à unexenophobie, a un racisme qui ose s’afficher de manière choquante.

Après l’échec complet du débat sur l’identité nationale ( aprt d’avoirpermis à des racistes de s’exprimer librement qu’a apporté cedébat ?) on remet cela avec la place del’islam et quand on en vient à faire appel pour débattre à Eric Zemour, ce trublion médiatique condamné par la justice de son pays pour des proposracistes, c’est vraiment que l’on est tombé bien bas !Sarkozy a abanlisé la xenophobie, la haine de l’autre, le sentimentanti-islam et ce sont des sentiments avec lesquels l’histoire a montré qu’il nefaut pas jouer. Il l’a fait par petit calcul électoraliste, par poupulisme.Mais quand, ainsi, on banalise le rejet de l’étranger, quand on fait de ce paysun pays de vieux qui a peur de l’avenir, de l’autre, qui se sent faible parrapport à l’autre alors que la France devrait avoir confiance dans les valeursqui sont les siennes, faut il s’étonner que cela profite au parti d’extrême droite ? Les français se sont habitués à ces idéees et ils préferentdonc qu’elles soient portées par le parti qui les a toujours soutenues plutôtque par Sarkozy qui en a fait un simple moyen électoral. Lisez l’indignationd’une grande voix, celle d’un honnête homme dont toute la vie est un combatpour les valeurs, celle de Robert Badinter qui sauve l’honneur du pays. Il esten colère et il y a de quoi.Ce faisant Sarkozy a commis une très grave faute et le seul espoir que j’aic’est que les républicains sincères s’uniron pour le rejetter lui et sa clique.Ils pourront sans difficulté rejoindre les rangs du Front National dont ilssoutiennent les thèses.Vous disposez d’un rappel, incomplet certes, mais ou l’essentiel figure. Qu’en résulte t-il ? Un Président qui aulieu d’unir les français n’a eu de cesse de diviser, qui au lieu d’élever aabaisser le débat en faisant appel a un populisme qu’il croyait bonélectoralement, qui , au lieu de défendre et de favoriser le bon fonctionnementdes institutions y a clairement porté atteinte, qui a outrageusement favorisé non les riches mais les très riches avec le « bouclier fiscal » qui a été un vrai scandale sur lequel il a, d’ailleurs été obligé de revenir, malgré ses serments de ne jamais y toucher,qui enfin a abaissé l’image de la France àl’étranger et, à la vérité, ce qui dominera ce quinquennat ce sont lesrenoncements en rase campagne de beaucoup des engagements qu’il avait annoncéavec éclat et sans réflexion et sur lesquelles la réalité l’a conduit à revenir.Alors qu’en pensent  les ancienssocialistes, les Kouchner, Besson et autres transfuges, comme le groupuscule deJean Marie Bockel  qui soutenaient qu’ilsavaient conservé leurs valeurs de gauche et qui soutenaient qu’ils feraientévoluer l’UMP de l’intérieur ? En réalité en soutenant  Sarkozy et,nécéssairement  ses dérives, ils se sont reniés et déshonorépour des postes  et de cela personne n’est dupe.Tout cela mepermet de dire que je n’ai jamais eu honte à ce point devoir ce pays dirigé par un tel homme et qu’il a été, en effet, le plus mauvaisprésident de la république que j’ai connu et me conforte l’idée que s’en faitégalement un grand écrivain que j’admire : Michel Del Castillo  dans sonblog que voici :

Et enfin j’adhére totalement à ce qu’écrit Denis Jeambardans son récent livre dont le titre me permet de conclure : "Ne vous représentez pas"

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