J’ai testé : être twittée et facebookée par Castelbajac !

Il y a certains jours où la vie de Geek est meilleure que d’autres au sein de la rédaction grâce aux réseaux sociaux.

Un jour d’août, après une matinée banale à écouter les nouveautés, regarder les prochaines expos et contacter les attachés de presse, un mail de la bien-aimée directrice, Eloïse V. arrive sur ma boîte de réception. L’objet du message « Castelbajac fête les 100 ans de Gallimard » me fait froncer les sourcils; l’article a été publié 3 semaines auparavant. Le corps du message redonne le sourire mais reste un peu étonnant et obscur.

La fondatrice de Générationnelles est formelle : l’ancien article est numéro 1 des favoris depuis ce matin; la popularité naissante vient de Facebook mais pas de la page Fan du site !

Chaussant la moustache mais me passant d’Hastings et de Miss Lemon – on est un site internet, on n’a pas les moyens d’avoir une secrétaire et un auxilliaire de police perso -, me voila en train de faire mon Hercule Poirot 2.0 à coups de mots-clés sur Google ou pages populaires sur FB. Faire marcher ses petites cellules grises sur le clavier a du bon puisqu’en moins d’un quart d’heure, j’ai trouvé le coupable : Jean-Charles de Castelbajac avait lui-même partagé le lien de mon article sur sa page officielle Facebook, son compte Twitter mais aussi sur sa page personnelle!

La nouvelle se répand assez rapidement entre les rédactrices et chacune y va de ses remerciements au créateur avec son RT, sa Reply ou son identification. Le bilan de cette communication par liens interposés ? Vous avez été plus de 220 à lire l’article ce jour là et beaucoup continuent de suivre maintenant le magazine.

Merci à vous tous et merci à M. Castelbajac!

Solène L.