Awada sur toutes les bouches

Juliana Awada

Awada est actuellement une marque très controversée en Argentine et je vais vous dire pour quoi.

Juliana Awada est la femme du Chef du Gouvernement de la ville de Buenos Aires, Mauricio Macri, et sa marque du même nom est la continuité évidente d’une entreprise familiale.

Juliana Awada et son compagnon Mauricio Macri

Avec Mauricio Macri ils fréquentaient le même gymnase et aujourd’hui ils sont devenus une famille car la venue de leur fille, Antonia arrive à grands pas. Mais ce qui nous intéresse à nous c’est elle.

Issue d’une lignée connue dans l’industrie de la mode en Amérique Latine, Juliana Awada doit faire face à deux casquettes qui ne sont pas toujours faciles à porter.

Visage de sa marque, Juliana  est née le 3 avril 1974 à Buenos Aires, et elle ainsi que ses grands frères et soeur ont grandit au milieu des tissus et de mode. Fière d’être la fille de Pomi Awada (sa mère dirige l’entreprise familiale depuis plus de 50 ans) Juliana est actuellement en charge du design, le cœur de la maison.

Juliana est plus que la fille de…, elle est aussi la femme de… et dans ce rôle elle se transforme vite dans une cible intéressante. Actuellement accusée de sous-traiter à des ateliers clandestins pour une partie de leur production, Juliana n’a pas effectué des déclarations à ce sujet et je ne vais pas me prononcer sans plus d’information car le sujet est très sensible.

Aujourd’hui sa marque est sur toutes les bouches et je viens de vous expliquer pour quoi.

La collection Awada pour l’Eté 2012 est fraîche, jeune et leurs tissus sont très beaux. Juliana est une excellente représentante de ses propres créations et elle la porte partout. Juliana « vit » sa marque et elle nous donne envie de lui ressembler.

Collection Awada Eté 2012

Du style, de la simplicité et de la classe de l’Amérique du Sud, un condensée qui exprime bien cette collection qui est ouverte aussi à la vision particulière de chacune des femmes.

Alors en total look comme en adaptation personnelle, il est de bon ton à Buenos Aires d’avoir quelque chose d’Awada dans son dressing.