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Stargate Atlantis - 3.16 (ou 3.15 ?) - The Game

Publié le 13 janvier 2007 par Heather

Un épisode qui vaut surtout pour pouvoir apprécier Laura Harris (inoubliable pétillante Daisy dans Dead Like Me -plus oubliable Marie Warner dans 24) en guest-star charmante.

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Le concept de départ est très simple : Rodney et Sheppard ont découvert la version des Anciens des Sims. Comme tout être humain confronté à ce jeu, ils sont rapidement devenu accro et ont développé leurs deux tribus sur une planète à travers leurs ordinateurs. Le tout se corse lorsqu'une équipe SGA tombe sur ladite planète supposée fictive lors d'une mission d'exploration, une des nations harborant fièrement comme drapeau, une image du visage de McKay.
L'appareil des Anciens permet en réalité de 'contrôler' (ou guider, selon son point de vue) des dizaines de planètes à travers la galaxie. Zelenka et Lorne ne tardent pas d'ailleurs à expérimenter aussi cette addiction très connue sur la toile, tentant de venir en aide à une planète, mais surtout créant rapidement une vive tension entre eux, et par ricochet entre leurs deux peuples. Car c'est bien le problème auquel toute notre équipe doit faire face dans cet épisode : la menace d'une guerre entre les deux peuples vivant sur la planète sur laquelle Sheppard et Rodney jouent depuis quelques temps. Ces deux-là et leur satané esprit de compétition sont évidemment rentrés en conflit dans le développement de leur peuple. Une opposition qui se reflète dans la mentalité des habitants de la planète qui se préparent à une guerre inévitable, tant leur inimité est inscrite profondément entre eux.
Weir sermonne beaucoup dans cet épisode (ah...ces grands enfants) mais ne réussit pas grand chose concrètement. Ses tentatives de médiation échouent sans panache pour une habituée de ces négociations... Bon, comme nous sommes dans Stargate, il n'y a guère d'inquiétude sur le happy end final, avec une certaine restauration du libre arbitre pour les deux peuples.

J'ai eu un peu de mal à arriver au bout de l'épisode, je l'avoue. Je crois que c'est principalement dû à un manque de rythme assez criant. Ce n'est pas un mauvais épisode, avec de nombreux moments très légers et les tensions exacerbées sont un peu piquantes. Mais il a du mal à intéresser vraiment le téléspectateur qui garde une distance avec tous ces évènements. Et puis, l'humour est assez peu présent, ou du moins pas assez recherché pour arracher plus que quelques légers sourires.

Bilan : Pas indispensable, mais relativement divertissant. A voir pour Laura Harris.


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