Si vous comprenez l’anglais mais n’avez pas lu ce...

Si vous comprenez l’anglais mais n’avez pas lu ce livre, je vous encourage à entreprendre une introspection personnelle afin de réévaluer vos choix de vie.

Alors que j’écoutais une interview donnée par l’auteur à la radio, je fus frappée de nostalgie - oui, de nostalgie - en repensant aux bons moments que j’ai passés en compagnie de ce livre.

Je l’ai acheté quand j’étais à Londres cet été, et je me rappelle distinctement avoir caqueté telle une poule hilare en le lisant dans un café. Des regards en coin me furent lancés mais j’étais trop occupée à tenter de ne pas pleurer de rire dans un lieu public. Une fois terminé, j’ai répandu la Bonne Nouvelle en offrant l’ouvrage à ma chère amie Alicia. Elle m’a dit avoir ri aussi, et elle a bon goût vu qu’on est amies. Les critiques négatives que j’en ai lues semblent toutes avoir été écrites par des pseudo-intellos qui ont un balais logé là où je pense (DANS L’ANUS, C’EST L’ANUS LE LIEU AUQUEL JE PENSE).

Pendant l’émission de radio, elle a révélé qu’elle allait adapter le livre pour le grand écran, et que ce serait une sorte d’anti-Sex and the City, hourrah! En attendant elle reste une journaliste pour le Times et la reine de Twitter (@caitlinmoran). Ses tweets me font soit rire, soit ressentir une profonde haine à son égard. En effet, quand je la vois taper la causette à des gens avec lesquels moi-même j’aimerais pouvoir papoter, la jalousie me consume tel un barbecue sur la surface du soleil.

Genre quand elle tweet au chanteur de Travis ou celui de Kaiser Chiefs, je me dis “oook”. Quand elle tweet au producteur/auteur de Doctor Who, je me dis “ooOookaAay”. Quand elle tweet avant d’aller interviewer Dylan Moran, je me dis “OOOKAYYY”. Et quand la semaine passée son tweet révélait qu’elle avait passé la nuit précédente à picoler du porto jusqu’à 3h du mat’ en compagnie de Matthew-de-Downton-Abbey, je me suis dit “O O O K A Y”.

Ok quoi. Si vous suivez mon blog, vous comprenez pourquoi le fait qu’elle interagisse avec ces personnes me fait hurler “OKAY”.