Magazine Science & vie

25 - determination de la constante de hubble

Publié le 20 octobre 2011 par Jeanjacques

DETERMINATION RECIPROQUE DE LA CONSTANTE DE HUBBLE ET DE LA MASSE DE L’ELECTRON

La théorie des nouveaux principes de physique envisage l’espace comme un milieu plein d’une substance nommée prématière qui oppose un résistance au mouvement, et au sein de laquelle les ondes se propagent à la célérité C.

1) Consécutivement, la création d’une paire d’électron e+ e- ne peut s’effectuer qu’au delà d’un seuil de résistance de cette prématière. Il ne peut se créer de particule de masse permanente inférieure à celle de l’électron(1). La valeur de cette masse est très exactement significative de la valeur de la résistance linéaire d’un milieu plein. Par ailleurs, tout photon circulant au sein de cette prématière subit naturellement un freinage et une perte d’énergie correspondant tout à la fois à la distance parcourue et à la densité de ce milieu.

2) L’hypothèse d’un espace plein donne sens à l’hypothèse de Dirac sur l’existence d’une mer qui implique une charge électrique négative infinie remplissant tout l’espace et correspondant très précisément à la masse du positron. La valeur de cette masse doit donc s’interpréter comme égale à celle de l’énergie nécessaire à sa création. De là nous confortons l’hypothèse selon laquelle l’espace contenant la prématière est à l’origine d’une énergie infinie.

3) On avait interprété jusqu’à présent la constante de Hubble comme exprimant la vitesse de dilatation d’un espace en expansion. Nous postulons tout au contraire que cette constante mesure le degré de perte d’énergie d’un photon tout au long de son parcours.

4) L’hypothèse est de considérer que la résistance du milieu produit un effet de seuil pour créer une paire d’électron/positron qui est d’identique à la valeur de la perte d’énergie d’un photon sur une distance d mesurée par la constante de Hubble.

La détermination théorique exacte de la constante de Hubble confirmera le parfait accord de la théorie des nouveaux principes avec l’expérience et l’existence consécutive d’une prématière constituant la substance de l’espace. Elle justifie et explique l’existence effective de la mer de Dirac et celle d’une énergie infinie exprimée par résistance la substance constitutive de l’espace.

(1) Nous excluons les neutrinos de faible masse qui n’ont pas le même mode de création que les e+,e-

Calcul théorique de la constante de Hubble

La valeur de Ho expérimentale est de v = 72900 m/s sur 1 Mégaparsec (3.0856 E 22m)

1) Si nous calculons l’énergie de freinage exercée par mètre par la prématière sur une masse m° = 1 kg celle-ci aura une valeur exprimée en joule de : ½ m°.v² soit :

½ 1kg x Ho² /3 ;0856 E22 = 8.6I E -14 Joules

soit ( E = mc²) une inertie de la prématière de 9.581E-31 kg par mètre linéaire.

Cette valeur n’a aucune signification physique et ne nous permet pas de calculer théoriquement la valeur de Ho sans recourir à une mesure expérimentale incertaine.

2) Il faut nous demander si la résistance de la prématière ne peut pas se mesurer autrement par un effet de seuil. Nous postulerons que ce seuil est celui à partir duquel la première particule de matière peut surgir et au dessous duquel cette résistance ne peut être surmontée pour susciter un état de transition prématière>matière.

La première valeur de masse permanente est celle de l’électron soit :

me = 9.10938E -31 Kg

Nous faisons l’hypothèse que l’énergie nécessaire à la création d’une paire e+ e- est égale à la résistance qu’oppose la substance de l’espace.

3) Nous allons rechercher à rebours la valeur de cette résistance sur une distance d du mégaparsec correspond à celle théorique calculée de Hubble. (Cependant, les particules devant être créés par paires, l’énergie sera : ½ me.c² x 2 = me.c² soit :

me. c² x d =>8.1871E-18 j x 3.0856E 22m = ½ m°.v² joules

comme v =Ho

Ho = 71081, 34126 m/s

( l'incertitude est celle de la mesure de la masse de l'électron)

Les mesures les plus récentes, en 2008, donnent une valeur de 71,9+2.6−2.7 (km/s)/Mpc.(On a utilisé des données collectées par Hubble et WMAP concernant l’effet de lentilles gravitationnelles)

CONCLUSION : Il s’agit de la valeur exacte de la constante de Hubble qu’il faut désormais interpréter comme une résistance de l’espace de prématière au mouvement d’un photon et non plus comme la preuve de l’expansion de l’univers


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Jeanjacques 37 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazine