Magazine Côté Femmes

La revue de presse décalée...

Publié le 22 octobre 2011 par Marigotine

 

   Miroir, mon beau miroir…


Dis moi que c'est bien l'équipe de France qui va gagner....

Car on va broyer du noir!

   All Blacks  méfiez-vous, ricanez tant que vous voulez.


  Le coq va sortir ses ergots, et il ne pataugera pas les deux pattes dedans....


<B></div>Miroir, mon beau miroir…</b> La tête en l’air, comme flottant en apesanteur, les visiteurs néo-zélandais de l’exposition de Luc Peire à la Auckland Art Gallery ont pu apprécier les talents d’illusionniste de l’artiste belge mort en 1994. Grâce à la réédition de son œuvre <i>Environnement 3</i> de 1973, le travail de ce peintre et graveur est à nouveau mis en lumière. Né en 1916 à Bruges, Luc Peire fait ses débuts avec les expressionnistes flamands, puis rejoint le groupe Jeune Peinture belge. C’est au cours des années 60 qu’il atteint le cœur de son approche artistique avec ses célèbres Graphies. Des installations où l’emploi de miroirs au sol et au plafond permet aux spectateurs de se projeter dans l’espace. Miroir, mon beau miroir… La tête en l’air, comme flottant en apesanteur, les visiteurs néo-zélandais de l’exposition de Luc Peire à la Auckland Art Gallery ont pu apprécier les talents d’illusionniste de l’artiste belge mort en 1994. Grâce à la réédition de son œuvre Environnement 3 de 1973, le travail de ce peintre et graveur est à nouveau mis en lumière. Né en 1916 à Bruges, Luc Peire fait ses débuts avec les expressionnistes flamands, puis rejoint le groupe Jeune Peinture belge. C’est au cours des années 60 qu’il atteint le cœur de son approche artistique avec ses célèbres Graphies. Des installations où l’emploi de miroirs au sol et au plafond permet aux spectateurs de se projeter dans l’espace. " title="La revue de presse décalée..." />Miroir, mon beau miroir… La tête en l’air, comme flottant en apesanteur, les visiteurs néo-zélandais de l’exposition de Luc Peire à la Auckland Art Gallery ont pu apprécier les talents d’illusionniste de l’artiste belge mort en 1994. Grâce à la réédition de son œuvre Environnement 3 de 1973, le travail de ce peintre et graveur est à nouveau mis en lumière. Né en 1916 à Bruges, Luc Peire fait ses débuts avec les expressionnistes flamands, puis rejoint le groupe Jeune Peinture belge. C’est au cours des années 60 qu’il atteint le cœur de son approche artistique avec ses célèbres Graphies. Des installations où l’emploi de miroirs au sol et au plafond permet aux spectateurs de se projeter dans l’espace. " border="0" />


La tête en l’air, comme flottant en apesanteur, les visiteurs néo-zélandais de l’exposition de Luc Peire à la Auckland Art Gallery ont pu apprécier les talents d’illusionniste de l’artiste belge mort en 1994. Grâce à la réédition de son œuvre Environnement 3 de 1973, le travail de ce peintre et graveur est à nouveau mis en lumière. Né en 1916 à Bruges, Luc Peire fait ses débuts avec les expressionnistes flamands, puis rejoint le groupe Jeune Peinture belge. C’est au cours des années 60 qu’il atteint le cœur de son approche artistique avec ses célèbres Graphies. Des installations où l’emploi de miroirs au sol et au plafond permet aux spectateurs de se projeter dans l’espace. (Stefan Wermuth/REUTERS) Dévastée. Les éléments en colère: la nature envoie ses eaux dévastatrices
<b></div>Dévastée</b>. C’est une région noyée. Les habitations de la province de Pathum Thani, en Thaïlande, ont été littéralement englouties par les eaux alors qu’une pluie battante continue de tomber. Pour l’heure, Bangkok est épargnée, mais la capitale se prépare au pire. Les habitants ont fait des provisions de bouteilles d'eau, de nouilles, de riz et de conserves. Plusieurs d'entre eux ont stationné leur voiture dans des garages surélevés et ont installé des sacs de sable devant leur maison et leur commerce. Dévastée. C’est une région noyée. Les habitations de la province de Pathum Thani, en Thaïlande, ont été littéralement englouties par les eaux alors qu’une pluie battante continue de tomber. Pour l’heure, Bangkok est épargnée, mais la capitale se prépare au pire. Les habitants ont fait des provisions de bouteilles d'eau, de nouilles, de riz et de conserves. Plusieurs d'entre eux ont stationné leur voiture dans des garages surélevés et ont installé des sacs de sable devant leur maison et leur commerce. " title="La revue de presse décalée..." />Dévastée. C’est une région noyée. Les habitations de la province de Pathum Thani, en Thaïlande, ont été littéralement englouties par les eaux alors qu’une pluie battante continue de tomber. Pour l’heure, Bangkok est épargnée, mais la capitale se prépare au pire. Les habitants ont fait des provisions de bouteilles d'eau, de nouilles, de riz et de conserves. Plusieurs d'entre eux ont stationné leur voiture dans des garages surélevés et ont installé des sacs de sable devant leur maison et leur commerce. " border="0" /> C’est une région noyée. Les habitations de la province de Pathum Thani, en Thaïlande, ont été littéralement englouties par les eaux alors qu’une pluie battante continue de tomber. Pour l’heure, Bangkok est épargnée, mais la capitale se prépare au pire. Les habitants ont fait des provisions de bouteilles d'eau, de nouilles, de riz et de conserves. Plusieurs d'entre eux ont stationné leur voiture dans des garages surélevés et ont installé des sacs de sable devant leur maison et leur commerce. (Christophe Archambault/AFP) Rond dans l'eau. Comme un:  "S-EAU-S" lancé à Dieu
<b></div>Rond dans l'eau</b>. Comme au temps de la conquête de l’Ouest, quand les pionniers formaient un cercle avec leurs chariots pour se protéger des attaques des Indiens, ces Thaïlandais se sont regroupés autour d’un rond-point surélevé, au nord de Bangkok, pour essayer d’échapper à la montée des eaux. Depuis de nombreuses semaines, la Thaïlande fait face à de terribles inondations qui ont déjà noyé sous plusieurs mètres d’eau un tiers de ses provinces .Au moins 315 personnes ont perdu la vie dans des glissements de terrain ou des effondrements. Devant la panique qui commence à s’emparer du pays, l’armée a installé dans l’urgence plus de 1 million de sacs de sable pour renforcer les digues qui protègent Bangkok.Rond dans l'eau. Comme au temps de la conquête de l’Ouest, quand les pionniers formaient un cercle avec leurs chariots pour se protéger des attaques des Indiens, ces Thaïlandais se sont regroupés autour d’un rond-point surélevé, au nord de Bangkok, pour essayer d’échapper à la montée des eaux. Depuis de nombreuses semaines, la Thaïlande fait face à de terribles inondations qui ont déjà noyé sous plusieurs mètres d’eau un tiers de ses provinces .Au moins 315 personnes ont perdu la vie dans des glissements de terrain ou des effondrements. Devant la panique qui commence à s’emparer du pays, l’armée a installé dans l’urgence plus de 1 million de sacs de sable pour renforcer les digues qui protègent Bangkok." title="La revue de presse décalée..." />Rond dans l'eau. Comme au temps de la conquête de l’Ouest, quand les pionniers formaient un cercle avec leurs chariots pour se protéger des attaques des Indiens, ces Thaïlandais se sont regroupés autour d’un rond-point surélevé, au nord de Bangkok, pour essayer d’échapper à la montée des eaux. Depuis de nombreuses semaines, la Thaïlande fait face à de terribles inondations qui ont déjà noyé sous plusieurs mètres d’eau un tiers de ses provinces .Au moins 315 personnes ont perdu la vie dans des glissements de terrain ou des effondrements. Devant la panique qui commence à s’emparer du pays, l’armée a installé dans l’urgence plus de 1 million de sacs de sable pour renforcer les digues qui protègent Bangkok." border="0" /> Comme au temps de la conquête de l’Ouest, quand les pionniers formaient un cercle avec leurs chariots pour se protéger des attaques des Indiens, ces Thaïlandais se sont regroupés autour d’un rond-point surélevé, au nord de Bangkok, pour essayer d’échapper à la montée des eaux. Depuis de nombreuses semaines, la Thaïlande fait face à de terribles inondations qui ont déjà noyé sous plusieurs mètres d’eau un tiers de ses provinces .Au moins 315 personnes ont perdu la vie dans des glissements de terrain ou des effondrements. Devant la panique qui commence à s’emparer du pays, l’armée a installé dans l’urgence plus de 1 million de sacs de sable pour renforcer les digues qui protègent Bangkok. (Christophe Archambault/AFP) Généralisée.            (La Grèce) Le feu, l'autre élément ravageur, mais rien de bien naturel La main de l'homme en colère!                   à moins que ce ne soit cet arbre,    tout droit sorti de la saga d'Harry Potter qui se fâche.....
<b></div>Généralisée</b>. C'est la plus grosse manifestation en Grèce depuis le début de la crise de la dette. Plus de 120.000 personnes ont défilé jeudi contre l’austérité, dans les principales villes du pays. A Athènes, alors que les premiers piétinaient sur la place Syntagma, la fin du cortège était encore devant le musée archéologique, à plus de trois kilomètres. La capitale était envahie, toutes les rues étaient remplies par la foule. Mais le rassemblement, pacifique a une nouvelle fois rapidement dégénéré. Des incidents ont éclaté entre une partie des manifestants et la police, avec des jets de pierres et de cocktails Molotov, d'un côté et des grenades lacrymogènes, de l'autre. Aujourd’hui, au deuxième jour de grève, la situation reste toujours très tendue entre policiers et manifestants. Généralisée. C'est la plus grosse manifestation en Grèce depuis le début de la crise de la dette. Plus de 120.000 personnes ont défilé jeudi contre l’austérité, dans les principales villes du pays. A Athènes, alors que les premiers piétinaient sur la place Syntagma, la fin du cortège était encore devant le musée archéologique, à plus de trois kilomètres. La capitale était envahie, toutes les rues étaient remplies par la foule. Mais le rassemblement, pacifique a une nouvelle fois rapidement dégénéré. Des incidents ont éclaté entre une partie des manifestants et la police, avec des jets de pierres et de cocktails Molotov, d'un côté et des grenades lacrymogènes, de l'autre. Aujourd’hui, au deuxième jour de grève, la situation reste toujours très tendue entre policiers et manifestants. " title="La revue de presse décalée..." />Généralisée. C'est la plus grosse manifestation en Grèce depuis le début de la crise de la dette. Plus de 120.000 personnes ont défilé jeudi contre l’austérité, dans les principales villes du pays. A Athènes, alors que les premiers piétinaient sur la place Syntagma, la fin du cortège était encore devant le musée archéologique, à plus de trois kilomètres. La capitale était envahie, toutes les rues étaient remplies par la foule. Mais le rassemblement, pacifique a une nouvelle fois rapidement dégénéré. Des incidents ont éclaté entre une partie des manifestants et la police, avec des jets de pierres et de cocktails Molotov, d'un côté et des grenades lacrymogènes, de l'autre. Aujourd’hui, au deuxième jour de grève, la situation reste toujours très tendue entre policiers et manifestants. " border="0" />  C'est la plus grosse manifestation en Grèce depuis le début de la crise de la dette. Plus de 120.000 personnes ont défilé jeudi contre l’austérité, dans les principales villes du pays. A Athènes, alors que les premiers piétinaient sur la place Syntagma, la fin du cortège était encore devant le musée archéologique, à plus de trois kilomètres. La capitale était envahie, toutes les rues étaient remplies par la foule. Mais le rassemblement, pacifique a une nouvelle fois rapidement dégénéré. Des incidents ont éclaté entre une partie des manifestants et la police, avec des jets de pierres et de cocktails Molotov, d'un côté et des grenades lacrymogènes, de l'autre. Aujourd’hui, au deuxième jour de grève, la situation reste toujours très tendue entre policiers et manifestants. (John Kolesidis/REUTERS) Tout feu tout flamme.                         (L'italie) Encore un qu'a rien compris au maniement des extincteurs....
<b></div>Tout feu tout flamme</b>. On a coutume de dire qu’il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Et bien maintenant, en Italie, on dira peut-être qu’il ne faut pas lancer un extincteur quand le feu se propage. De fait, à Rome, les manifestants n’y sont pas allés de main morte. Pendant des heures, samedi, à l’occasion de la Journée mondiale des indignés, la cité a connu ses pires violences depuis les« années de plomb »et le temps des brigadistes. Le centre-ville, à quelques pas de la place Saint-Jean-de-Latran, a été le théâtre de véritables scènes de guérilla. Au moins 135 personnes ont été blessées, dont 105 policiers, tandis que les dégâts matériels sont évalués à1million d’euros.Tout feu tout flamme. On a coutume de dire qu’il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Et bien maintenant, en Italie, on dira peut-être qu’il ne faut pas lancer un extincteur quand le feu se propage. De fait, à Rome, les manifestants n’y sont pas allés de main morte. Pendant des heures, samedi, à l’occasion de la Journée mondiale des indignés, la cité a connu ses pires violences depuis les« années de plomb »et le temps des brigadistes. Le centre-ville, à quelques pas de la place Saint-Jean-de-Latran, a été le théâtre de véritables scènes de guérilla. Au moins 135 personnes ont été blessées, dont 105 policiers, tandis que les dégâts matériels sont évalués à1million d’euros." title="La revue de presse décalée..." />Tout feu tout flamme. On a coutume de dire qu’il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Et bien maintenant, en Italie, on dira peut-être qu’il ne faut pas lancer un extincteur quand le feu se propage. De fait, à Rome, les manifestants n’y sont pas allés de main morte. Pendant des heures, samedi, à l’occasion de la Journée mondiale des indignés, la cité a connu ses pires violences depuis les« années de plomb »et le temps des brigadistes. Le centre-ville, à quelques pas de la place Saint-Jean-de-Latran, a été le théâtre de véritables scènes de guérilla. Au moins 135 personnes ont été blessées, dont 105 policiers, tandis que les dégâts matériels sont évalués à1million d’euros." border="0" /> On a coutume de dire qu’il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Et bien maintenant, en Italie, on dira peut-être qu’il ne faut pas lancer un extincteur quand le feu se propage. De fait, à Rome, les manifestants n’y sont pas allés de main morte. Pendant des heures, samedi, à l’occasion de la Journée mondiale des indignés, la cité a connu ses pires violences depuis les« années de plomb »et le temps des brigadistes. Le centre-ville, à quelques pas de la place Saint-Jean-de-Latran, a été le théâtre de véritables scènes de guérilla. Au moins 135 personnes ont été blessées, dont 105 policiers, tandis que les dégâts matériels sont évalués à1million d’euros. (Insidefoto Samantha Zucchi/Olycom/Abacapress) Baptême. (Espagne) Ha! là on fait les marioles hein....    Mais la crise vous y pensez, bandes d'inconscients?
<b></div>Baptême</b>. Alors que des milliers d’étudiants en médecine reprennent les cours, l’heure est au bizutage. Et la faculté de Grenade, en Espagne, n’échappe pas à cette tradition aigre douce. Ainsi, depuis plusieurs jours, des jeunes de première année sont littéralement aspergés d’œufs, de sauce tomate, d’alcool, avec toujours beaucoup de farine pour homogénéiser le tout. Ces actes font la Une de la toile universitaire mais ces images de jeunes humiliés en public sont loin de faire l’unanimité. Baptême. Alors que des milliers d’étudiants en médecine reprennent les cours, l’heure est au bizutage. Et la faculté de Grenade, en Espagne, n’échappe pas à cette tradition aigre douce. Ainsi, depuis plusieurs jours, des jeunes de première année sont littéralement aspergés d’œufs, de sauce tomate, d’alcool, avec toujours beaucoup de farine pour homogénéiser le tout. Ces actes font la Une de la toile universitaire mais ces images de jeunes humiliés en public sont loin de faire l’unanimité. " title="La revue de presse décalée..." />Baptême. Alors que des milliers d’étudiants en médecine reprennent les cours, l’heure est au bizutage. Et la faculté de Grenade, en Espagne, n’échappe pas à cette tradition aigre douce. Ainsi, depuis plusieurs jours, des jeunes de première année sont littéralement aspergés d’œufs, de sauce tomate, d’alcool, avec toujours beaucoup de farine pour homogénéiser le tout. Ces actes font la Une de la toile universitaire mais ces images de jeunes humiliés en public sont loin de faire l’unanimité. " border="0" /> . Alors que des milliers d’étudiants en médecine reprennent les cours, l’heure est au bizutage. Et la faculté de Grenade, en Espagne, n’échappe pas à cette tradition aigre douce. Ainsi, depuis plusieurs jours, des jeunes de première année sont littéralement aspergés d’œufs, de sauce tomate, d’alcool, avec toujours beaucoup de farine pour homogénéiser le tout. Ces actes font la Une de la toile universitaire mais ces images de jeunes humiliés en public sont loin de faire l’unanimité. (STR New/REUTERS) Tombé. A force d'avoir mis ton peuple sous les feux de tes milices.    Te voila en sang!    Face à face avec ton "illumination démentielle" C'est ton ultime combat, garder ton dernier souffle de vie .....    Le monde entier le sait, tu ne gagneras pas cette fois.
<b></div>Tombé</b>. Cette image, prise avec un téléphone portable est présentée par l'Agence France-Presse comme celle de la dépouille du Guide. «Nous annonçons au monde que Kadhafi a été tué aux mains des révolutionnaires», a indiqué à la presse le porte-parole officiel du CNT à Benghazi, Abdel Hafez Ghoga. «C'est un moment historique, c'est la fin de la tyrannie et de la dictature. Kadhafi a rencontré son destin». L'ancien «guide» libyen aurait été blessé à la tête et aux jambes par une attaque aérienne de l'Otan alors qu'il tentait de fuir Syrte, dernier bastion kadhafiste pris dans la journée par les forces du Conseil national de transition. Il a ensuite succombé à ses blessures. Tombé. Cette image, prise avec un téléphone portable est présentée par l'Agence France-Presse comme celle de la dépouille du Guide. «Nous annonçons au monde que Kadhafi a été tué aux mains des révolutionnaires», a indiqué à la presse le porte-parole officiel du CNT à Benghazi, Abdel Hafez Ghoga. «C'est un moment historique, c'est la fin de la tyrannie et de la dictature. Kadhafi a rencontré son destin». L'ancien «guide» libyen aurait été blessé à la tête et aux jambes par une attaque aérienne de l'Otan alors qu'il tentait de fuir Syrte, dernier bastion kadhafiste pris dans la journée par les forces du Conseil national de transition. Il a ensuite succombé à ses blessures. " title="La revue de presse décalée..." />Tombé. Cette image, prise avec un téléphone portable est présentée par l'Agence France-Presse comme celle de la dépouille du Guide. «Nous annonçons au monde que Kadhafi a été tué aux mains des révolutionnaires», a indiqué à la presse le porte-parole officiel du CNT à Benghazi, Abdel Hafez Ghoga. «C'est un moment historique, c'est la fin de la tyrannie et de la dictature. Kadhafi a rencontré son destin». L'ancien «guide» libyen aurait été blessé à la tête et aux jambes par une attaque aérienne de l'Otan alors qu'il tentait de fuir Syrte, dernier bastion kadhafiste pris dans la journée par les forces du Conseil national de transition. Il a ensuite succombé à ses blessures. " border="0" />  Cette image, prise avec un téléphone portable est présentée par l'Agence France-Presse comme celle de la dépouille du Guide. «Nous annonçons au monde que Kadhafi a été tué aux mains des révolutionnaires», a indiqué à la presse le porte-parole officiel du CNT à Benghazi, Abdel Hafez Ghoga. «C'est un moment historique, c'est la fin de la tyrannie et de la dictature. Kadhafi a rencontré son destin». L'ancien «guide» libyen aurait été blessé à la tête et aux jambes par une attaque aérienne de l'Otan alors qu'il tentait de fuir Syrte, dernier bastion kadhafiste pris dans la journée par les forces du Conseil national de transition. Il a ensuite succombé à ses blessures. (Philippe Desmazes/AFP) Bienvenue ! Merci de me féliciter pour l'heureux évènement Marigotine, Mais par pitié n'en remet pas une "couche" par raport à la crise! Car les "couches" je vais être dedans, et pour un moment!
<b></div>Bienvenue !</b> Nicolas Sarkozy, papa, assure que le bébé et sa maman «vont très bien ! » En costume, écharpe bleu marine et dossiers à la main, le chef de l'État a fait un bref passage ce matin à la clinique de La Muette (Paris XVIe) où son épouse Carla Bruni-Sarkozy a accouché d'une petite fille, et s'est ensuite conformé à son programme de président-candidat en partant en déplacement en Mayenne. Pour l’heure, on ignore encore le prénom de l’enfant. C'est la première fois qu'un président de la Ve République devient père dans l'exercice de ses fonctions.Bienvenue ! Nicolas Sarkozy, papa, assure que le bébé et sa maman «vont très bien ! » En costume, écharpe bleu marine et dossiers à la main, le chef de l'État a fait un bref passage ce matin à la clinique de La Muette (Paris XVIe) où son épouse Carla Bruni-Sarkozy a accouché d'une petite fille, et s'est ensuite conformé à son programme de président-candidat en partant en déplacement en Mayenne. Pour l’heure, on ignore encore le prénom de l’enfant. C'est la première fois qu'un président de la Ve République devient père dans l'exercice de ses fonctions." title="La revue de presse décalée..." />Bienvenue ! Nicolas Sarkozy, papa, assure que le bébé et sa maman «vont très bien ! » En costume, écharpe bleu marine et dossiers à la main, le chef de l'État a fait un bref passage ce matin à la clinique de La Muette (Paris XVIe) où son épouse Carla Bruni-Sarkozy a accouché d'une petite fille, et s'est ensuite conformé à son programme de président-candidat en partant en déplacement en Mayenne. Pour l’heure, on ignore encore le prénom de l’enfant. C'est la première fois qu'un président de la Ve République devient père dans l'exercice de ses fonctions." border="0" /> Nicolas Sarkozy, papa, assure que le bébé et sa maman «vont très bien ! » En costume, écharpe bleu marine et dossiers à la main, le chef de l'État a fait un bref passage ce matin à la clinique de La Muette (Paris XVIe) où son épouse Carla Bruni-Sarkozy a accouché d'une petite fille, et s'est ensuite conformé à son programme de président-candidat en partant en déplacement en Mayenne. Pour l’heure, on ignore encore le prénom de l’enfant. C'est la première fois qu'un président de la Ve République devient père dans l'exercice de ses fonctions. (Thibault Camus/AP/SIPA) La revue de presse est terminée pour aujourd'hui.

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