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Le couple Delerm nous à rendues visite à Bernay alors, le temps est comme interrompus et s'est tant mieux...

Par Unevillemaville2
Le temps semble figé quand je me trouve en leurs compagnies et ce depuis dont je l'ai est rencontré dans les années 80.
Ils sont toujours égaux à eux même tous, les deux aimants écrives.
Le couple Delerm nous à rendues visite à Bernay alors, le temps est comme interrompus et s'est tant mieux...Tous les deux dessinent les maux du monde à leurs manières.
Tous les deux nous disent des choses qui nous offrent alors "Quelques petits plaisirs minuscules".
Ils sont là l'un l'autre dissociable, mais tellement présent aux cotées de l'autre que ce couple d'amants de plume et dans la vie nous berce d'une émotion béate.
Je parle évidemment du couple "Martine et Philippe Delerm".
Oui, "Martine et Philippe Delerm" qui ont accepté de donner tout leur samedi après-midi (le 15 octobre dernier) pour nous enchanter, nous rendre je le redits, les choses simples.
10 ans que la médiathèque et sortit de terre sous l'impulsion de J. Bourdin.
Sorte de cadeau pour son départ à venir.
Cette même médiathèque qui est chère aux cœurs des Bernayens, car installer dans les anciens locaux des moulins "Vivien".
Gros chantier que celui-là.
Et lorsque l'on en voit le terme, on peut dire que ce fut un coup réussi.
Devenue un lieu fréquenter pour tous s'est apports aux multimédias elle fait partie de nous (la population).
On y vient pour lire la presse nationale, régionale et/ou locale, pour lire s'est mails surfé sur le web.
Parfois on y va pour passer quelques moments en sirotent un café dans le hall d'accueil.
Parfois aussi on y va pour lire des livres (le but premier, rire).
On y va aussi pour étudier faire s'est devoirs (du primaire aux lycées).
Parfois on y va aussi pour étudier l'histoire locale, pour se plonger dans les archives patrimoniales locales.
Puis les mamans les papas et surtout les enfants (entre 2 et 10) y vont comme ils vont dans leurs chambres pour lire des livres et partager des moments forts entre conteuses - éducatrices (milieux scolaires) et tout simplement en famille.
Dans ce lieu qui et désormais vouais à la communication toute azimutée on y voit régulièrement des expositions toutes en rapport avec l'art, la littérature.
Des associations extérieures y proposent parfois des choses.
Alors après la poésie de l'ami "Jude Stephan" rude, intérieur, profonde et toute empruntes de douleur nous voici un mois après en compagnie du souci du détail, des mots, des phrases qui raconte l'épluchage de pomme de terre, qui nous comptes comment d'un regard ébahit nous fixons penaud, inquiet parfois, les aiguilles, lourdes aiguilles de l'horloge sur le quai de la gare st Lazare.
Ou mots, ambiances qui nous parlent de tels ou tels personnages dessinés.
Oui, la voix, cette fameuse voix qui enfin annonce, déclame autre chose que "Le train en direction de Rouen va entrer en gare quai 2" cette voix même posée cueillent à bout d'expressions le public conquis riant au regard et à la diction de celle-là.
Oui, elle a dit les mots, les textes de s'est deux-là.
Une alternance d'images, de moments volés à nos vies.
Donc, lecture, projection de vidéo, séance de dédicace à deux sur la même table (ce qui montre leurs habitudes et complicité à s'est deux-là).
On fait de ce samedi après-midi là un moment convivial.
Souhaitons et gageons que la médiathèque entame alors doucement, mais surement sa nouvelle décennie s'en encombre et avec toujours en tête cette volonté de travail fait et offert envers la, les littératures…
Que les services municipaux œuvrent toujours vers celles et ceux qui ont des faibles revenues pour qui les cartes d'emprunts du fond livresque leur soient rendues possibles s'en gêne d'avouer être chômeurs, handicapés moteurs et/ou déficients de lecture, etc., etc.
Enfin, je fais ici un clin d'œil aux personnels qui sont toujours là, prêt à rendre service, à écouter nos demandes s'en sourcillais etc.
Donc lieu agréable calme fait d'un bel écrin entre baies côté rue et verrière - baie donnant sur le square Robert Schumann (plus communément appeler "L'allée des roses).
Oui lovée dans s'est fauteuils rouge chaud on se laisse alors bercer du soleil d'automne qui nous réchauffe le dos et alors ainsi le temps s'arrête et l'on se sent volée, s'envoler "Comme dans les dessins de Folon"……
Photographie : "Dixième anniversaire de la médiathèque municipale de Bernay" montage photos par le citadin octobre 2011®©.
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