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Retrouver sa sérénité après la prestation de Zebulon...

Publié le 28 octobre 2011 par Micheltabanou

La prestation de Sarkozy qui ne sait pas trouver autre argument que de désigner les socialistes de 1983 !! et de 1997/2002 !! comme les responsables de la dégradation économique de la France me laisse indigné par l’utilisation d’une telle ficelle éculée ! Les Tunisiennes vont être voilées et en France c’est Sarkosy qui voile les réalités avec son intégrisme libéral! Sarko le sauveur ne m’a donné que la seule envie de me sauver, de me carapater, d’aller reprendre mon souffle pour les combats de demain… L’issue fut de trouver refuge pour me libérer de cette imprécation sarkosienne en parcourant comme j’aime à le faire en ces circonstances les étagères de la bibliothèque pour y fouiner quelques publications trop longtemps oubliées du regard gourmand de la connaissance…Mon attention s’est portée sur cette revue publiée par Jean-Jacques Pauvert à partir d'octobre 1956 jusqu'au printemps 1959, « Le Surréalisme, même » qui constitue une des revues majeures du surréalisme de l'après-guerre. Cherchant à donner une nouvelle impulsion au mouvement, André Breton y rassemble différentes générations de surréalistes et fait appel à des proches du mouvement comme Pierre Molinier auquel il confie la réalisation de la couverture de numéro 2.

Le titre de cette revue qui ne comptera que 5 numéros est une allusion au projet pictural de Marcel Duchamp "La Mariée mise à nu par ses célibataires, même". La première parution contient un supplément, rarement conservé : Les Détraqués de P.L. Palau. Il s’agit d’une pièce où une institutrice morphinomane, sujette à des crises de folie meurtrière et de perversion sexuelle, sévit dans un collège de jeunes filles bien sous tous rapports… Pièce qui fascinait André Breton et à laquelle il consacre plusieurs pages dans Nadja.

Me laissant guider par le hasard je suis en arrêt devant un texte de Benjamin Péret qui décrit Salvador entre le fameux Barracão du capoeirista dans le quartier de Liberdade et les atmosphères de Bahia. Son Du fond de la forêt”, superbement écrit, où perle, sous sa plume, au milieu de    mantes religieuses, la description poétique d’un état de rêverie d’où le monde matériel, celui de Sarkosy, s’enfuit à tire d’aile… Je veux vous en faire profiter et vous tenter en suivant ce lien : link


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