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Tout monte, surtout les eaux en ce moment....

Publié le 30 octobre 2011 par Marigotine

 

Mauvais karma.

Même ces trois Bonzes n'ont pu arrêter la volonté des eaux!

          "   Pourtant si près de Dieu "

<b></div>Mauvais karma</b>. Ces trois bonzes font partie de l’armée de bénévoles thaïlandais qui a tenté jusqu’à lundi de sauver Bangkok de la montée des eaux. Mais leurs prières et leurs efforts à mains nues pour ériger des barrières de sacs de sable – telle celle sur laquelle ils cheminent ici – n’y ont rien fait : les digues ont cédé mardi matin, sous la pression de 8 millions de mètres cubes d’eau, qui ont aussitôt envahi le centre-ville et le tarmac de l’aéroport national. Plus d’un tiers du pays est désormais submergé, son économie est paralysée, les réfugiés se comptent par centaines de milliers, les élevages sont décimés, et plus de 350 Thaïlandais y ont d’ores et déjà perdu la vie. Mauvais karma. Ces trois bonzes font partie de l’armée de bénévoles thaïlandais qui a tenté jusqu’à lundi de sauver Bangkok de la montée des eaux. Mais leurs prières et leurs efforts à mains nues pour ériger des barrières de sacs de sable – telle celle sur laquelle ils cheminent ici – n’y ont rien fait : les digues ont cédé mardi matin, sous la pression de 8 millions de mètres cubes d’eau, qui ont aussitôt envahi le centre-ville et le tarmac de l’aéroport national. Plus d’un tiers du pays est désormais submergé, son économie est paralysée, les réfugiés se comptent par centaines de milliers, les élevages sont décimés, et plus de 350 Thaïlandais y ont d’ores et déjà perdu la vie. " title="Tout monte, surtout les eaux en ce moment...." />Mauvais karma. Ces trois bonzes font partie de l’armée de bénévoles thaïlandais qui a tenté jusqu’à lundi de sauver Bangkok de la montée des eaux. Mais leurs prières et leurs efforts à mains nues pour ériger des barrières de sacs de sable – telle celle sur laquelle ils cheminent ici – n’y ont rien fait : les digues ont cédé mardi matin, sous la pression de 8 millions de mètres cubes d’eau, qui ont aussitôt envahi le centre-ville et le tarmac de l’aéroport national. Plus d’un tiers du pays est désormais submergé, son économie est paralysée, les réfugiés se comptent par centaines de milliers, les élevages sont décimés, et plus de 350 Thaïlandais y ont d’ores et déjà perdu la vie. " border="0" /> Ces trois bonzes font partie de l’armée de bénévoles thaïlandais qui a tenté jusqu’à lundi de sauver Bangkok de la montée des eaux. Mais leurs prières et leurs efforts à mains nues pour ériger des barrières de sacs de sable – telle celle sur laquelle ils cheminent ici – n’y ont rien fait : les digues ont cédé mardi matin, sous la pression de 8 millions de mètres cubes d’eau, qui ont aussitôt envahi le centre-ville et le tarmac de l’aéroport national. Plus d’un tiers du pays est désormais submergé, son économie est paralysée, les réfugiés se comptent par centaines de milliers, les élevages sont décimés, et plus de 350 Thaïlandais y ont d’ores et déjà perdu la vie. (Damir Sagoli/REUTERS) La valse des oursons. Danse avec les ours....    Une pure merveille ce cliché!
<b></div>La valse des oursons</b>. Ce magnifique cliché animalier a été pris dans l’un des derniers paradis pour ours bruns, le Parc national de Katmai, à l’ouest de l’Alaska. Plus de2000 plantigrades y profitent d’un gigantesque territoire, truffé de fjords, de vallées glaciaires, de toundras et de plages volcaniques, où abonde en prime leur nourriture préférée : d’énormes colonies de saumons roses du Pacifique, qu’ils s’amusent à happer dans le courant lorsque ces poissons remontent les rivières. D’où l’incroyable sérénité que trahit la posture des trois oursons : on ne sait pas ce qui attire leur attention, mais on devine qu’ils n’ont jamais rien eu à redouter ni de la nature ni des hommes. La valse des oursons. Ce magnifique cliché animalier a été pris dans l’un des derniers paradis pour ours bruns, le Parc national de Katmai, à l’ouest de l’Alaska. Plus de2000 plantigrades y profitent d’un gigantesque territoire, truffé de fjords, de vallées glaciaires, de toundras et de plages volcaniques, où abonde en prime leur nourriture préférée : d’énormes colonies de saumons roses du Pacifique, qu’ils s’amusent à happer dans le courant lorsque ces poissons remontent les rivières. D’où l’incroyable sérénité que trahit la posture des trois oursons : on ne sait pas ce qui attire leur attention, mais on devine qu’ils n’ont jamais rien eu à redouter ni de la nature ni des hommes. " title="Tout monte, surtout les eaux en ce moment...." />La valse des oursons. Ce magnifique cliché animalier a été pris dans l’un des derniers paradis pour ours bruns, le Parc national de Katmai, à l’ouest de l’Alaska. Plus de2000 plantigrades y profitent d’un gigantesque territoire, truffé de fjords, de vallées glaciaires, de toundras et de plages volcaniques, où abonde en prime leur nourriture préférée : d’énormes colonies de saumons roses du Pacifique, qu’ils s’amusent à happer dans le courant lorsque ces poissons remontent les rivières. D’où l’incroyable sérénité que trahit la posture des trois oursons : on ne sait pas ce qui attire leur attention, mais on devine qu’ils n’ont jamais rien eu à redouter ni de la nature ni des hommes. " border="0" /> Ce magnifique cliché animalier a été pris dans l’un des derniers paradis pour ours bruns, le Parc national de Katmai, à l’ouest de l’Alaska. Plus de2000 plantigrades y profitent d’un gigantesque territoire, truffé de fjords, de vallées glaciaires, de toundras et de plages volcaniques, où abonde en prime leur nourriture préférée : d’énormes colonies de saumons roses du Pacifique, qu’ils s’amusent à happer dans le courant lorsque ces poissons remontent les rivières. D’où l’incroyable sérénité que trahit la posture des trois oursons : on ne sait pas ce qui attire leur attention, mais on devine qu’ils n’ont jamais rien eu à redouter ni de la nature ni des hommes. (Thomasd. Mangelsen/Abacapress) In extremis. Jongle avec les "picaillons" la vraie vie de nos polotiques...                         Le bleu te va bien Angela!
<b></div>In extremis</b>. «Je pense que nous avons pu être à la hauteur des attentes et que nous avons fait ce qu'il fallait faire», a déclaré la chancelière allemande Angela Merkel, tandis que Nicolas Sarkozy assurait «que le résultat sera accueilli avec soulagement par le monde entier qui attendait des réponses fortes de la zone euro». Les dirigeants politiques et les marchés ont salué jeudi l'accord conclu dans la douleur à Bruxelles sur le plan anticrise destiné à assurer la survie de la zone euro, mais certains analystes s'interrogeaient toutefois sur la durabilité des solutions trouvées. In extremis. «Je pense que nous avons pu être à la hauteur des attentes et que nous avons fait ce qu'il fallait faire», a déclaré la chancelière allemande Angela Merkel, tandis que Nicolas Sarkozy assurait «que le résultat sera accueilli avec soulagement par le monde entier qui attendait des réponses fortes de la zone euro». Les dirigeants politiques et les marchés ont salué jeudi l'accord conclu dans la douleur à Bruxelles sur le plan anticrise destiné à assurer la survie de la zone euro, mais certains analystes s'interrogeaient toutefois sur la durabilité des solutions trouvées. " title="Tout monte, surtout les eaux en ce moment...." />In extremis. «Je pense que nous avons pu être à la hauteur des attentes et que nous avons fait ce qu'il fallait faire», a déclaré la chancelière allemande Angela Merkel, tandis que Nicolas Sarkozy assurait «que le résultat sera accueilli avec soulagement par le monde entier qui attendait des réponses fortes de la zone euro». Les dirigeants politiques et les marchés ont salué jeudi l'accord conclu dans la douleur à Bruxelles sur le plan anticrise destiné à assurer la survie de la zone euro, mais certains analystes s'interrogeaient toutefois sur la durabilité des solutions trouvées. " border="0" /> «Je pense que nous avons pu être à la hauteur des attentes et que nous avons fait ce qu'il fallait faire», a déclaré la chancelière allemande Angela Merkel, tandis que Nicolas Sarkozy assurait «que le résultat sera accueilli avec soulagement par le monde entier qui attendait des réponses fortes de la zone euro». Les dirigeants politiques et les marchés ont salué jeudi l'accord conclu dans la douleur à Bruxelles sur le plan anticrise destiné à assurer la survie de la zone euro, mais certains analystes s'interrogeaient toutefois sur la durabilité des solutions trouvées. (Fabrizio Bensch/REUTERS) Place Assise. J'suis à votre écoute et j'en parle à Dieu!    T'as vraiment pas autre chose de plus concret à faire....   
<b></div>Place Assise</b>. Trois cents dignitaires religieux du monde entier ont entamé jeudi leur «pèlerinage pour la paix» à l'invitation du pape Benoît XVI en se rendant ensemble de la gare du Vatican jusqu'à Assise par un train spécialement affrété. Imams et pasteurs, rabbins et moines bouddhistes, représentants des cultes des cinq continents, patriarches de toute l'orthodoxie, protestants de nombreuses dénominations, intellectuels du monde non croyant, se sont accordés pour dénoncer les guerres perpétrées au nom de leurs fois, en affirmant qu'elles les trahissaient, alors que le monde est confronté à la montée du fanatisme religieux. Place Assise. Trois cents dignitaires religieux du monde entier ont entamé jeudi leur «pèlerinage pour la paix» à l'invitation du pape Benoît XVI en se rendant ensemble de la gare du Vatican jusqu'à Assise par un train spécialement affrété. Imams et pasteurs, rabbins et moines bouddhistes, représentants des cultes des cinq continents, patriarches de toute l'orthodoxie, protestants de nombreuses dénominations, intellectuels du monde non croyant, se sont accordés pour dénoncer les guerres perpétrées au nom de leurs fois, en affirmant qu'elles les trahissaient, alors que le monde est confronté à la montée du fanatisme religieux. " title="Tout monte, surtout les eaux en ce moment...." />Place Assise. Trois cents dignitaires religieux du monde entier ont entamé jeudi leur «pèlerinage pour la paix» à l'invitation du pape Benoît XVI en se rendant ensemble de la gare du Vatican jusqu'à Assise par un train spécialement affrété. Imams et pasteurs, rabbins et moines bouddhistes, représentants des cultes des cinq continents, patriarches de toute l'orthodoxie, protestants de nombreuses dénominations, intellectuels du monde non croyant, se sont accordés pour dénoncer les guerres perpétrées au nom de leurs fois, en affirmant qu'elles les trahissaient, alors que le monde est confronté à la montée du fanatisme religieux. " border="0" />  Trois cents dignitaires religieux du monde entier ont entamé jeudi leur «pèlerinage pour la paix» à l'invitation du pape Benoît XVI en se rendant ensemble de la gare du Vatican jusqu'à Assise par un train spécialement affrété. Imams et pasteurs, rabbins et moines bouddhistes, représentants des cultes des cinq continents, patriarches de toute l'orthodoxie, protestants de nombreuses dénominations, intellectuels du monde non croyant, se sont accordés pour dénoncer les guerres perpétrées au nom de leurs fois, en affirmant qu'elles les trahissaient, alors que le monde est confronté à la montée du fanatisme religieux. (Abaca) Piste inondable. Alors là, si les avions ont des problèmes avec la montée des eaux....   
<b></div>Piste inondable</b>. Cloué au sol dans l'eau qui ne cesse de monter, cet appareil posé sur la piste d'atterrissage de l'aéroport de Bangkok, la capitale thaïlandaise est pris au piège. Les digues protégeant Bangkok menaçaient de rompre jeudi et les habitants, sur recommandation du gouvernement, fuyaient la capitale thaïlandaise vers le sud. Ces inondations sont les plus graves en un demi-siècle en Thaïlande. Provoquées par des pluies de mousson inhabituellement abondantes, elles ont fait au moins 373 morts depuis mi-juillet et affecté près de 2,5 millions de personnes, dont plus de 113.000 vivent dans des abris et 720.000 ont besoin de soins. Piste inondable. Cloué au sol dans l'eau qui ne cesse de monter, cet appareil posé sur la piste d'atterrissage de l'aéroport de Bangkok, la capitale thaïlandaise est pris au piège. Les digues protégeant Bangkok menaçaient de rompre jeudi et les habitants, sur recommandation du gouvernement, fuyaient la capitale thaïlandaise vers le sud. Ces inondations sont les plus graves en un demi-siècle en Thaïlande. Provoquées par des pluies de mousson inhabituellement abondantes, elles ont fait au moins 373 morts depuis mi-juillet et affecté près de 2,5 millions de personnes, dont plus de 113.000 vivent dans des abris et 720.000 ont besoin de soins. " title="Tout monte, surtout les eaux en ce moment...." />Piste inondable. Cloué au sol dans l'eau qui ne cesse de monter, cet appareil posé sur la piste d'atterrissage de l'aéroport de Bangkok, la capitale thaïlandaise est pris au piège. Les digues protégeant Bangkok menaçaient de rompre jeudi et les habitants, sur recommandation du gouvernement, fuyaient la capitale thaïlandaise vers le sud. Ces inondations sont les plus graves en un demi-siècle en Thaïlande. Provoquées par des pluies de mousson inhabituellement abondantes, elles ont fait au moins 373 morts depuis mi-juillet et affecté près de 2,5 millions de personnes, dont plus de 113.000 vivent dans des abris et 720.000 ont besoin de soins. " border="0" />  Cloué au sol dans l'eau qui ne cesse de monter, cet appareil posé sur la piste d'atterrissage de l'aéroport de Bangkok, la capitale thaïlandaise est pris au piège. Les digues protégeant Bangkok menaçaient de rompre jeudi et les habitants, sur recommandation du gouvernement, fuyaient la capitale thaïlandaise vers le sud. Ces inondations sont les plus graves en un demi-siècle en Thaïlande. Provoquées par des pluies de mousson inhabituellement abondantes, elles ont fait au moins 373 morts depuis mi-juillet et affecté près de 2,5 millions de personnes, dont plus de 113.000 vivent dans des abris et 720.000 ont besoin de soins. (Pornchai Kittiwongsakul/AFP) Marée rouge. Tout monte mêlme la culture des canneberges....
<B></div>Marée rouge</b>. Comme chaque année, de la fin septembre à la fin d'octobre, la récolte des canneberges est un événement au rouge spectaculaire. Et au terme de quatre années de culture, les producteurs de Richmond au Canada sont en effervescence. Cette production nécessite d'énormes quantités d'eau pour protéger les bourgeons contre le gel au printemps et à l'automne, ainsi que les plants pendant l'hiver. Le Canada en produit chaque année 79.000 tonnes sur 3950 hectares. Marée rouge. Comme chaque année, de la fin septembre à la fin d'octobre, la récolte des canneberges est un événement au rouge spectaculaire. Et au terme de quatre années de culture, les producteurs de Richmond au Canada sont en effervescence. Cette production nécessite d'énormes quantités d'eau pour protéger les bourgeons contre le gel au printemps et à l'automne, ainsi que les plants pendant l'hiver. Le Canada en produit chaque année 79.000 tonnes sur 3950 hectares. " title="Tout monte, surtout les eaux en ce moment...." />Marée rouge. Comme chaque année, de la fin septembre à la fin d'octobre, la récolte des canneberges est un événement au rouge spectaculaire. Et au terme de quatre années de culture, les producteurs de Richmond au Canada sont en effervescence. Cette production nécessite d'énormes quantités d'eau pour protéger les bourgeons contre le gel au printemps et à l'automne, ainsi que les plants pendant l'hiver. Le Canada en produit chaque année 79.000 tonnes sur 3950 hectares. " border="0" />  Comme chaque année, de la fin septembre à la fin d'octobre, la récolte des canneberges est un événement au rouge spectaculaire. Et au terme de quatre années de culture, les producteurs de Richmond au Canada sont en effervescence. Cette production nécessite d'énormes quantités d'eau pour protéger les bourgeons contre le gel au printemps et à l'automne, ainsi que les plants pendant l'hiver. Le Canada en produit chaque année 79.000 tonnes sur 3950 hectares. (Brown Adrian/SIPA)

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