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Guild Wars 2 en direct (ou presque) du G-Star

Publié le 14 novembre 2011 par Meidievil @gamerslive

Postés sur le blog d’Arena Net, quelques détails du prochain Guild Wars, le 2 (et sans doute pas le dernier) pour ceux qui suivent, sont tombés dans notre escarcelle après avoir traversé la Terre entière – la moitié en fait – de Corée jusqu’ici. De base, il semblait difficile, pour ne pas dire impossible, de trouver de quoi becqueter quelques infos autrement qu’en coréen. Du coup, c’est M.Flannum [Nd de tatie Hermione: ah oui c'est pas l'homme au chapeau dans Falcon Crest ?], game designer sur ce projet, qui nous introduit, en anglais, à la découverte de ce jeu pour lequel beaucoup d’espoirs sont permis : « Quand nous avons découvert que nous avions l’opportunité d’être mis en avant par Ncsoft cette année au G-Star [à Busan, quelque part en Corée du Sud], nous savions que c’était une opportunité que nous ne pouvions laisser passer ». Pardon pour la traduction catastrophique.

On sait donc qu’ils se sont fendus, à leur corps agonisant, d’une petite démonstration, entre gens de bonne compagnie (malgré notre absence), pour nous exhiber quelques boss, et notamment Tequatl The Sunless, Shadow Behemoth et le Shatterer. Après dix minutes de présentation, les joueurs étaient invités, au travers d’une « démo spéciale », à affronter l’un de ces trois géants. On aimerait d’ailleurs bien voir, un peu, nous aussi. A regrets, ce sera pour plus tard. En sus de cela, et ils semblent en être particulièrement fiers les gredins, c’est l’occasion, la chance, la joie, de découvrir, divinement béats (comme d’hab’), les capacités de customization de son avatar. Ouiii ? Personnellement, ce n’est pas la partie d’un MMO qui me botte le plus (déjà il faudrait que ça me botte les MMO, paraît qu’il y en a qui aiment), mais bon … il faut se démarquer, on ne peut pas tous jouer une Hitomi en karategi. Et pour le coup, en plus du fait qu’on se rapproche de jours en jours de la perfection photographique, c’est assez complet, ce qui m’évitera d’être complètement médisant : nez, bouche, … couleur et style des cheveux, corpulence, taille et couleur de peau.

Bon, c’est bien gentil mais on veut jouer nous, pas se repoudre le nez entre copines ou se retaper le front à coup de botox. Diantre ! On y arrive, on y arrive. Mais d’abord quelques bavardages éclair sur l’interface, baptisée Big Beefy. L’idée ? Mettre des tonnes d’informations importantes dans tous les sens, si j’ai bien compris … oui, parfois je fabule, c’est le drame de ma vie. Pour ceux qui ont pu jouer à la première mouture de ce grand moment du jeu vidéo, l’image ci-dessous vous éclairera un peu plus. Pour les autres ? Déjà on arrête de râler et on se tient sage.

Au niveau des compétences, lesquelles, suivant un schéma pour le moins conventionnel, devaient originellement être acquises contre rétribution, un peu de nouveauté. Qu’est-ce à dire ? D’abord, qu’il faudra bien entendre qu’il y aura deux types de ces compétences. Les premières concernent les armes et M.Flannum le dit lui-même : « Nous nous sommes mis d’accord sur une méthode par laquelle tuer un ennemi avec une arme débloque la compétence pour celle-ci ». Relent de Morrowind ? Peut-être. Et puis il y les autres compétences, dites élites, utilitaires ou de soin, débloquables avec des points dans l’ordre de vos désirs (même les plus intimes). Ces points s’obtiennent par le biais de défis de compétence, de différentes factures : tuer une créature réputée coriace, résoudre des énigmes, finir cul-sec une pinte de champagne…

Et de ne pas conclure. Tout de façon, c’est nul les conclusions.

More fun to come fellows !!


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