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Jayne Mansfield 1967 de Simon Liberati

Par Vicim

Voilà un moment que j'ai fini ce livre mais j'avoue que je n'ai pas beaucoup de temps en ce moment. J'ai eu envie de lire ce roman car l'époque me tentait. Un petit retour dans les années 50, ça vous tente ?

Je tiens à vous préciser que ce roman a terminé dans les 3 préférés de mes élèves.

LIBERATI, Jayne Mansfield 1967

Quid ?

Dand cette Buick boryée se trouvait une femme, une Hollywood movie star de trnte-quatre ans, danseuse nue à Las Vegas, célébrissime sex-symbol des années 50.

Simon Libérati ressussite Jayne Mansfield, l'actrice méconnue la plus photographiée au monde, fouille amoureusement dans les recoins les plus ténébrux de sa vie, retrace ses dernières heures en plein été hippie, lesquelles disent aussi le crépuscule de l'âge d'or hollywoodien. Au programme : perruque-pouf, LSD25, satanisme, chihuahuas, amants cogneurs, vie désaxée, mort à la James Dean, cinq enfants orphelins et saut de l'ange dans l'underground.

Une oraison funèbre et morbid chic dans la droite ligne de Truman Capote et Kenneth Anger.

Mon bavardage...

Ce roman est d'abord un régal à lire. Je trouve que le style est fluide. J'ai vraiment apprécié la description de l'accident au début du roman. J'ai aussi appris à connaître la vie de cette starlette hollywoodienne. Simon Libérati se livre ici à une biographie romanesque. Il nous raconte les deux dernières années de cette femme pulpeuse.

Malgré tout, j'ai l'impression d'être restée sur ma fin. Oui se roman se lit, non on ne passe pas un mauvais moment. En revanche, que vais-je garder de cette lecture ? 

Et vous qu'en avez-vous pensé ? 


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