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Playlist de Décembre #1 : The Beatles, Queen, Simon&Garfunkel;…

Publié le 01 décembre 2011 par Swann

Quand je manque d’inspiration, je fais des playlists. Et quand je manque de temps, je demande aux autre de faire de m’en faire. Aujourd’hui, j’ai demandé à Shaï, camarade de galère au CFPJ de me concocter une playlist de 10 titres. Il aurait voulu en mettre 50 et vu la qualité des chansons choisies, je me dis que c’était un peu idiot de réduire la liste à si peu de morceaux.

« A day in the life », The Beatles.

Il en fallait bien une des Beatles, la base. Le summum de l’alchimie McCartney-Lennon.

 « Innuendo », Queen.

Moins connue que des morceaux comme Bohemian Rhapsody, cette chanson n’en est pas moins sublime. Le passage de guitare espagnole au milieu de la chanson est dingue. Freddie Mercury, best singer ever.

« Starlight in Daden », Ekova.

Un groupe peu connu, mais assez magique et unique au niveau de l’ambiance. La chanteuse, Dierdre Dubois,  est magnétique, divine. Best female singer ever.

« Citizen Erased », Muse.

Mon groupe contemporain préféré. Encore une fois, ma chanson préférée n’est pas la plus connue. Longue, planante, Bellamy au top de sa forme et dans un style qui me sied plus que lors des derniers albums.

« Easily », Red Hot Chili Peppers.

Même constat que la précédente. Eclipsée par des chansons magnifiques comme « Scar Tissue » ou « Otherside » sur le génialissime Californication, celle-ci a ma préférence. Mélodiquement, c’est parfait.

 «The Sound of Silence», Simon and Garfunkel.

Douce, profonde, la ballade parfaite. La voix d’Art Garfunkel est sidérante.

“ Amsterdam”, Jacques Brel.

Exception à la règle. La plus connue de Brel est ma préférée. Les paroles et l’interprétation de Brel viennent d’un autre monde. Poétiquement, c’est une classe au-dessus de tout le reste.

“Nantes”, Barbara. 

La plus noire et triste de cette playlist, mais la voix et la nostalgie de Barbara sont envoûtantes.

“Joga”, Björk. 

La chanson la plus planante de toutes. On s’allonge, on écoute, et c’est parti pour une plongée dans l’univers froid, bizarre, mais addictif de Björk.

“L’Anamour”,  Serge Gainsbourg.

Il en fallait une aussi de Gainsbourg. Son timbre et son style particulier. Sa poésie décalée.


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