[Focus] Spartacus : The Blood and Sand : La violence de l’arène !

Aujourd’hui pour varier un peu du registre jeu vidéo, je vous propose une petite parenthèse faite sur ma série du moment : Spartacus : Le sang des gladiateurs, ou plutôt devrais-je dire : Spartacus Blood And Sand (il est préférable que vous reteniez plutôt la seconde dénomination). Pour faire un petit récapitulatif de bonne manière, il s’agit d’une série créée en 2010, toujours en production, composé actuellement de 2 saisons ; mettant en scène un gladiateur autrefois guerrier à la botte des Romains, qui devra prouver sa valeur dans l’arène, s’il veut retrouver sa femme, qui lui a était enlevé. Bon rien de bien clinquant jusqu’à la, mais comme souvent dans la vie il ne faut pas s’arrêter aux apparences.

Je viens de débuter la série donc je ne suis pas encore  rendu bien loin dans les mésaventure de notre chère Spartacus (le pseudo de notre héros), mais après avoir vu les premiers épisodes, il m’était impossible de passé sous silence le plaisir que j’éprouve à regarder cette série. Sous ses airs de série bourrine, ce cache un vrai scénario plutôt bien amené, alors certes on est loin des séries qui mise sur leur scénario (Soprano), mais se n’est pas là que réside l’atout principal de Spartacus. L’histoire nous narre les pérégrinations d’un homme à qui les dieux on fait faux bond, il devra endurer maintes épreuves, si il veut un jour retrouver ce qui lui a était ôter. A travers les épisodes on sera donc les témoins tour à tour, de sa souffrance, de sa volonté ainsi que de son amour pour sa femme, mais surtout de sa violence. Emouvante, parfois dramatique, la série propose son propre cachet à la saveur unique.

Dans la veine du film 300, Spartacus nous offre des effets visuels somptueux. En effet les mises à mort ou autres démenbrages,  sont non seulement très bien réalisés, mais sont surtout merveilleusement bien mis en scène. D’un angle de caméra particulier à un ralentissement soudain en passant par une gicler de sang démesuré, tout est calculé de façon à retranscrire au spectateur toute la violence qui peut se dégager de l’arène. Pour ma part, je trouve que les combats sont d’un qualité supérieur à 300, que pourtant j’affectionne grandement, mais force est de constaté que le désir de zéro censure des réalisateurs amène un vrai plus.

De nombreuses scène nu, voir par moment érotique (du sexe quoi..) viendront agrémenter le tout. Mais ne vous y trompez pas, aucune scènes n’est gratuite, elles apportent leurs pierre à l’édifice, dans le but de retranscrire le plus fidèlement possible, une époque où  les tabous ne sont clairement pas les mêmes que ceux d’aujourd’hui. Bref vous l’aurez compris, cette série m’a faits forte impression, et j’espère que ces quelques lignes vous auront convaincu de regarder ne serais ce que le premier épisode, sur-ce je vais me mater l’épisode 4 !