La Prisonnière du Lac

genre: thriller, suspense
année: 2003
durée: 1h35

l'histoire: Ce qui devait être une lune de miel se transforme en cauchemar pour Julianne qui découvre que son mari ne veut pas la laisser partir. Prisonnière au milieu du nulle part, elle constate que seulement l'un des deux sortira vivant de l'île.

la critique d'Alice In Oliver:

Comment vous parler d'un film qui ne présente aucun intérêt ? La tâche d'un blogueur n'est pas toujours évidente, surtout lorsqu'il s'agit d'évoquer un film vide et ennuyeux. C'est le cas de la Prisonnière du Lac, en anglais, The Devil Pond, réalisé par John Viertel, qui signe ici un thriller bas de gamme, à peine valable un dimanche après-midi sur M6.

Et une fois que l'on a dit cela, on a peu près tout dit sur cet étron-flotteur, dans lequel on retrouve Tara Reid, une actrice certes très belle mais incroyablement médiocre lorsqu'il s'agit de jouer devant la caméra. A ce point de nullité, c'est presque du grand art.
Pourtant, la belle jeune femme incarne ici Julianne, qui vient de se marier avec l'homme de ses rêves.

Tout du moins, le croit-elle puisque les deux tourtereaux partent près d'une maison isolée près d'un lac pour leur lune de miel.
A peine arrivée sur les lieux, le mari de Julianne a un comportement de plus en plus étrange. Ce dernier n'est plus l'époux idéal qu'il était. Pire encore, ce dernier commence à se montrer violent.
Julianne veut quitter les lieux, visiblement responsables des changements d'humeur soudains de son mari.

Mais évidemment, ce dernier ne l'entend pas ainsi. Julianne est bel et bien prisonnière. Vous avez baillé durant le petit résumé de ce film ?
Rassurez-vous, c'est normal ! Une odieuse bouse (manque plus que l'odeur) dénuée de toute tension et de tout suspense. A fuir !

Note: